Anti-mythe

Le « conseil constitutionnel » est une assemblée de vieilles barbes dhimmis, c’est un fait. On ne peut que s’en rendre compte en lisant ce que Le Figaro révèle des blablateries du président dudit conseil, M. Debré. Je cite le journal :

« Le président du Conseil constitutionnel, Jean-Louis Debré, a estimé aujourd’hui sur Radio J que la France devait « accepter l’immigration légale », car c’est « une terre d’accueil » et parce qu’elle en a « besoin ».. »

Interrogé sur la volonté affichée par le ministre de l’Intérieur Claude Guéant de faire passer l’immigration légale en France de 200.000 à 180.000 personnes par an, il s’est refusé à « commenter l’action de tel ou tel ministre » tout en soulignant que « la France est une terre d’immigration ». « Il faut accepter l’immigration légale (…) conformément à la tradition française. Et nous avons besoin d’immigration. La France a toujours été une terre d’asile, d’accueil, c’est notre tradition, notre honneur. Simplement, il faut que les hommes et les femmes qui viennent sur notre territoire respectent les lois de la République », a poursuivi Jean-Louis Debré. »

Vraiment ? Premièrement, on se demande en quoi nous aurions besoin d’importer des personnages sans qualification. Si encore nous importions des cerveaux, ingénieurs, chercheurs, informaticiens, cela se comprendrait, car dans ces domaines-là, nous sommes largement déficitaires, consécutivement à l’échec de l’éducation nationale. Mais il faudrait consentir à payer le prix de hauts salaires. Nous ne le pouvons, et nombre de personnes hautement qualifiées, venues de l’Est de l’Europe, après avoir végété dans des emplois sans commune mesure avec leur niveau de formation, finissent par aller voir ailleurs. Alors que nous restet-il ? Des illettrés, en majorité psalmodieurs de sourates, et sans influence sur la productivité générale (qui est déjà bien basse). Ceux-là grossissent les rangs des chômeurs, et beaucoup vivent d’expédients aussi bien que de subsides publics, et ne cessent de chouiner pour en avoir plus. Cette immigration-là est un poids mort social. Sans compter le developpement du communautarisme, l’arrogance des revendications religieuses, la délinquance aussi. Il faut être président du conseil constitutionnel pour ne pas voir cette réalité que le Français de base vit chaque jour.

La France a trop longtemps été une terre d’immigration; elle ne peut plus l’être. Il n’est pas question de laisser s’opérer un remplacement de population, car c’est un véritable crime contre les autochtones et aussi contre ceux qui, venus d’ailleurs, ont honnêtement adhéré à nos valeurs. Il n’est plus question de continuer à servir de l’argent public à des prieurs de rues. Que l’on se mette bien cela dans la tête, M. le président du CC : nous n’avons PAS besoin de cette immigration-là. Quant à la France « terre d’asile.. » Vous souvient-il d’un lieu appelé Neauphle-Le-Château où la République abritait cet imam qui s’est emparé de l’Iran et en a fait un foyer de totalitarisme ? Ignorez-vous que des étrangers protégés par nos lois vont ensuite accomplir des stages de terrorisme dans des pays islamistes ? Ne comprenez-vous pas que de dangereux fauteurs de subversion franchissent chaque jour nos frontières ? Ensuite, nous ne sommes pas traditionnellement une terre d’asile : souvenez-vous combien de nos philosophes, combien de nos politiques ont trouvé asile de l’autre côté de la Manche pour se mettre à l’abri des persécutions politiques menées sur notre propre sol ? Je crois même que bientôt, devant l’avalanche de lois liberticides, les mal-pensants comme nous-autres n’auront d’autre solution que l’exil ou le maquis.

Ne parlez pas à ce propos de « notre honneur ». Est-il honorable d’être des cocus magnifiques ? Est-il honorable de dépouiller son propre peuple pour habiller des gens qui ne visent qu’à l’éliminer ? Allons donc ! Il est vrai que l’honneur a fichu le camp de chez nous il y a soixante-et-onze ans lorsque les Panzern de Guderian ont fait faire à notre armée antédiluvienne la course à l’échalotte. Alors que l’on ne vienne pas nous bassiner avec de fausses lunes qui ne sont plus que poupins en papier.

Enfin, il ne suffit pas de souhaiter que l’allochtone respecte les lois de la République. Encore faut-il lui imposer le respect de ces lois; en finir avec le communautarisme, avec le refus de l’instruction publique -qui ne manque pas de se remarquer dans les écoles- avec l’incapacité ou le refus de parler notre langue, bref.. avec tout ce que nous constatons chaque jour et que vous semblez ignorer. Les voeux pieux, monsieur le Président du CC, c’est de la rigolade. Le plus curieux est encore que vous osiez tenir de tels propos alors que montent dans le peuple une prise de conscience et un agacement perceptibles dans la faveur dont jouit le Front National au sein les couches laborieuses de la population. Décidément, les zombies qui hantent les ors de la République n’ont rien compris.

La caste politique se prépare des lendemains de cuite, je pense. Car le discours frères-zhuministe ne fait plus recette que chez les bobos. Le Peuple se défend comme il peut, et voit bien combien il est trahi par les pseudo-élites. Gare au réveil !

Raymond.