Ras le bol du racolage !

Gwanchef smallBon, on en a fini avec le raout de commémoration du D-Day. Ces cérémonies auront permis au squatter de l’Élysée de faire croire qu’il était encore un tout petit peu quelque chose, en attendant sa réélection en 2017 par manque de concurrents. En tous cas, il a pu montrer que l’éducation – la politesse – n’est pas son fort, ni celui des socialistes. Ainsi au dîner officiel (je ne sais plus lequel), tandis qu’Élizabeth II cherchait encore sa place (il ne devait sans doute pas y avoir d’aide protocolaire prévue), le Gros avait déjà le cul sur sa chaise. Il ne sait pas que dans une réception, les hommes s’assoient à table APRÈS que les femmes soient installées. Rustre !

Mais on en a vu une bonne aussi, offerte par la taspée Hija de Nada, soi-disant maire de Paris. Il pleuvait, et l’Âne marchait dans la rue, de conserve avec la Reine. Survint une averse : la vieille souveraine déploya elle-même un parapluie qu’elle porta, tandis que la bourrique était abritée par un parapluie porté par un sbire fonctionnaire. On ne se mouche pas du coude, chez les socialistes ! Je propose qu’Élizabeth devienne reine de France, on apprendrait peut-être les bonnes manières dans la caste bobo-pervers. Et, pourquoi pas, l’humilité. Mais je pense que les socialistes sont d’indécrottables rufians et que seul le rasoir national pourra nous en débarrasser.

Alors bien sûr, Soliveau-le-minuscule traîne ses guêtres à Tulle (je ne sais pas s’il est allé à Oradour) alors qu’on sait que les plus fervents collabos venaient de la gauche. Qu’importe ? On fait flèche de tout bois, quand on traîne une décote tellement abyssale qu’elle se situe à la profondeur du gaz de schiste. Notamment on joue sur l’ignorance crasse des français en matière d’histoire. On a fait oublier, notamment, que la Résistance ne comportait tout au plus que 15 000 hommes (en 1944 !) qui ont sauvé l’honneur et qu’il y avait 40 millions sinon de collabos, au moins d’attentistes.

Et que le D-Day était réellement une invasion : on allait remplacer un occupant par un autre. Remarquez, il a mieux valu les américains que les hordes de Staline, d’accord. Mais l’AMGOT (Allied Military Governement of Territories) était bel et bien un système de mise sous tutelle colonisatrice. De Gaulle s’y est opposé : il avait raison. Bref, et pour en revenir au D-Day, c’était l’occasion de rendre l’hommage-lige des vassaux au suzerain yankee à la remorque duquel nous a remis le Morfalou. On a oublié aussi de dire que s’il y a eu le Jour le Plus Long, c’est parce que nos armées, mal équipées, insuffisamment préparées, très mal commandées, ont fait la course à l’échalote en 1940 devant les Panzern de Guderian. Et j’enrage de voir sur les vieux documentaires le lâche soulagement des foules en août 44 qui, trois mois avant, acclamaient Pétain.

Tout cela me débecte. On nous a mis échec et mat en dix jours, et nous ne nous sommes jamais relevés. La prochaine étape, c’est la disparition pure et simple dans la umma salafiste. Ce pays court de honte en ignominie. Tenez : on commence à nous emmerder avec le mundial. Le fouteballe, ce jeu d’ilotes et d’illettrés, envahit tout pour un temps, et je redoute d’entendre des imbéciles brailler « ON a gagné ». « On », c’est un con. Car les braillards n’auront, que je sache, pas mouillé leur chemise à courir derrière une vessie en cuir. Ils en laissent le soin à une bande de mercenaires dont la plupart n’ont de français que le maillot. Ce que je souhaite : que les « bleus » soient virés d’emblée et qu’on nous foute la paix. Les jeux du cirque, c’est pour les décadents. Si l’on veut s’occuper, il y a de quoi : retrousser les manches, foutre en l’air ce stupide modèle français qui nous fait crever, retrouver le chemin de l’indépendance.

Tout le reste n’est que littérature et propagande.

Raymond.

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