Principe de Dilbert

Donc : Belkacem. Mais auparavant, une image (retouchée par nos soins) du ministère Valls 2. Tout le monde n’y est pas, mais Le Figaro constate que c’est bien une opération de l’officine fasciste Terra Nova. La destruction de ces officines, aussi pernicieuses que celles des djihadistes, et à l’ordre du jour.

 ASSOCIATION DE MALFAITEURS

Venons-en au Naja, serpent à sornettes. Cette personne s’est faite l’agent de la propagande homosexuelles dans nos écoles, là où devrait –selon les textes fondateurs – régner une neutralité absolue. On ne s’embarrasse pas de scrupules, ni du respect des lois, chez les fascistes. Belkacem est fanatique des gender theories, divagations sans aucun fondement scientifique (nom de Dieu, Vautrin, il vient cet article, oui ?), mais, bien que les sagouins s’en défendent, font bel et bien l’objet de manipulation des consciences dans les écoles. Il suffit de consulter les sites de veille sur cette question. Elle a notamment, en pleine complicité avec son prédécesseur Hamon, fait la propagande des ABCD  de l’égalité, provoquant de très nombreuses réactions, bien légitimes. Naturellement, le Naja a vitupéré et ironisé bêtement sur ces protestations. D’après elle et ses complices, cela viendrait de l’extrême droite. Ben voyons !

Serpent NajaBelkacem est pour « l’égalité » hommes femmes, mais cette égalité a ses limites : elle admet volontiers que les femmes musulmanes soient voilées, voire burquinées, mais elle pousse des cris d’orfraie dès qu’une petite fille joue à la poupée. Que voulez-vous : on ne va pas contre ses gènes ni contre sa culture, et c’est là un grand paradoxe belkacénien.

C’est cela que Laury et Haridelle – pardon : Mussolinito et Batrassyen [cf Alfred] – ont choisi pour « ministre de l’éducation » et même de « l’enseignement supérieur et de la recherche ». Il faut dire que depuis longtemps les cancres se relaient rue de Grenelle au Ministère de l’Éducation. On peut en citer quelques-uns en vrac depuis Christian Fouchet – dont l’erreur avait été de consulter un bourbakiste pour réformer l’enseignement des maths. Dans l’histoire récente, citons Jospin, Lang, et sa complice Ségolène, Ferry le jeune, Châtel, Peilhon, Hamon. On dirait que l’incompétence et la cancritude sont la condition pour diriger ce ministère il est vrai complètement pourri par les syndicats gauchistes. Une exception : Allègre, physicien ayant les pieds sur terre ; c’est la raison pour laquelle les syndicats gauchistes ont eu sa peau. Quelques-uns, comme Ferry le jeune, ont une certaine culture ; la plupart n’ont qu’une culture politique, c’est-à-dire pas de culture du tout.

Mais là, on hérite d’une personne souffrant d’impéritie, avec un déficit culturel exemplaire, et totalement obnubilée par des idées délirantes. Elle l’a montré lors de son passage au grotesque Ministère des droits de la femme (ou quelque chose comme ça) en enchaînant bourde sur bourde – par exemple : demander à un toubib légiste si le contact avec ses patients est important pour son travail. Faut l’faire ! Faut dire qu’un légiste, d’une certaine manière, sait faire « parler » les macchabées.

Bon, ignorante en tout, elle pourra toujours s’appuyer sur des planches pourries, des énarques rédigeant pour elle en langue absconse de douteuses fiches de synthèse. Remarquez, par une idée rocambolesque (une de plus) de Hollande, elle avait été aussi porte-parole du gouvernement. Ce qui signifie que, ne maîtrisant absolument pas les sujets et dépourvue de toute diplomatie, elle débagoulait et faisait rire.

Ergo, on se demande comment elle a pu être promue ministre de l’éducation. C’est un peu beaucoup arbitraire, comme la promotion du poulet label rouge dans les supermarchés, non ? Parce que son parcours culturel, c’est pas trop ça, quoi : ici encore on a un drop-out from school.

Elle arrive à avoir un bac ES en 1995 puis fait un peu de droit, puis vient dans le temple de la crétinitude, Sciences Pô. C’est généralement là qu’échouent de nos jours les péteux incapables de faire autre chose que d’organiser des semaines du genre comme on l’a fait récemment à sciences pô Paris. En tous cas, la pauvre Naja se trouve obligée de travailler un peu après sa licence. Oh ! Pas à faire les chambres dans un hôtel, non : elle devient assistance parlementaire, la pauvre chérie, et doit travailler deux jours par semaine. Halte aux cadences infernales ! comme disaient les gauchistes de mon temps. Mais bien vite elle entre dans un cabinet d’avocats comme grouillot chargé de vérifier la constitutionnalité de certains jugements. Ah ! C’est dur-dur, le privé, surtout pour une petite capricieuse !

Houlà ! C’était craignos pour Belkacem, ce « travail monacal » (sic !) : vite, allons vers ceux qui donnent des prébendes, les socialistes. Justement, Collomb maire de Lyon, usant de son pouvoir discrétionnaire de dépenser l’argent spolié aux contribuables, en fait une chargée de mission. Elle doit mener « des actions pour renforcer la démocratie de proximité la lutte contre les discriminations, la promotion des droits des citoyens ou leur accès à l’emploi et au logement ». Oui, oui, la démocratie de proximité, ce qui veut dire le karchèque pour les souteneurs de murailles et autres parasites. Parce que c’est comme ça qu’on achète des voix, au parti socialiste et ailleurs. Ben la voilà installée !

Installée dans un emploi parasitaire parce que totalement inutile et inefficace. Mais bon… Le vote musulman de Lyon en fait un conseiller régional, elle s’occupe même de … la culture, c’est-à-dire des excentricités des lézards premiers et autres « artistes » autoproclamés. Disons qu’elle s’occupait d’infra-culture, quoi !

En 2007, elle mise sur la bonne bourrique socialiste (mais tocquarde quand-même) qui va la refiler là où elle peut : elle devient une créature de la Dinde du Poitou. Ce qui lui vaut d’être, au sommet de son incompétence, porte-parole du gouvernement de rencontre en 2012.

Comment Soliveau l’a-t-il choisie pour être ministre de l’éducation, par quel chantage Valls a-t-il dû l’accepter, c’est un mystère. Il n’y a évidemment pas de génies dans son panier de crabes, mais tout de même il y a des gens plus instruits et plus compétents qu’elle. C’est sans doute par ce qu’elle est devenue un symbole du ridicule de la gauche : quiconque, par conséquent, critique son idiotie, le caractère loufoque –mais dangereux- de ses prises de position est taxé de misogynie, de racisme, bien entendu aussi. Et s’il était simplement lucide ?

Il n’empêche : le naja illustre bien la chanson de la Foire aux Cancres. Le Cancre conclut sa péroraison : « Je suis le dernier, je passe pour un cuistre / Mais j’m’en fous ch’suis près du radiateur / Et puis comme plus tard, j’veux d’venir ministre / Moins je s’rai calé plus j’aurai d’valeur » Exactement, ma chère ! L’illustration du Principe de Dilbert, selon lequel d’emblée le plus incompétent est propulsé aux plus hautes fonctions. C’est encore plus facile lorsque l’on incarne à la fois l’islam, les lobbies LGBT et le gender. Il va falloir que les Veilleurs, la Manif’ et, finalement, tous les citoyens conscients surveillent l’occupante du ministère de très près. Même s’il est à prévoir qu’elle valsera au prochain remaniement.

C’est ainsi qu’Allah est grand.

Raymond

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