La baudruche perverse dégonflée

Anim_patate-1L’affaire du «sapin-sextoy» vandalisé fait le tour du monde, titre le Fig’. Il ne faudrait pas exagérer, tout de même : elle fait le tour de la petite cour des politiques et médiastres pervers de « chez nous » (bien qu’ils soient d’ailleurs) et de l’Amérique. Je doute fort que les Russes ou les Chinois, voire les Indiens et même nos ennemis musulmans y trouvent à redire. Ce n’est donc qu’une tempête dans le verre d’eau sale des gauchistes.

Le fait est que cette exhibition scato-pornographique place Vendôme était symbolique : à deux pas du Ministère de madame Taubira, garde des sceaux, qui, on s’en souviendra très longtemps, a fait voter une loi perverse, un « plug-in » pour pervers amateurs de plaisir anal, c’était le couronnement d’une action de déstructuration du pays.

Ajoutons que le dénommé Mccarthy est fou, il suffit de regarder ses « œuvres ». Mais nous sommes dans une société où les pseudo-élites appliquent le principe des sorcières de Macbeth : « Fair is foul, and foul is fair », le bon est mauvais et le mauvais est bon. L’épouvantable décadence des beaux arts devait mener nécessairement conduire les responsables pervers de la Mairie de Paris, sous la houlette de la dame Hija de Nada, à exposer un gigantesque instrument de perversion. Non pas pour « choquer le bourgeois » comme au temps des potaches, mais pour faire connaître au Peuple la domination d’une caste politique perverse.

Gloire à celui –ou à ceux- qui ont dégonflé l’ignoble baudruche ! Et réjouissons-nous que le fou, furieux, ait décidé de retirer son infâme exhibition, dégoûté de ce peuple Français décidément bouché, incapable d’apprécier l’art pervers. Qu’il aille la faire voir ailleurs, son « œuvre », bien que sa place à lui serait dans un hôpital psychiatrique.

« La France se meurt. La France est morte» conclut tristement le livre d’ Éric Zemmour. Peut-être, mais le cadavre bouge encore !

Sacha 

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