L’argent spolié qui sert à asservir

Aymeric Caron la hyèneL’audiovisuel public : un encombrant et inutile machin, qui coûte, qui coûte ! C’est la propriété des gauchistes, sans nul doute, et tout citoyen un peu conscient sait qu’en fait, il s’agit d’une officine de propagande, un Propaganda Staffel, comme nous ne cessons de le répéter ici. C’est le moyen pour la caste politique de réaliser son rêve : des sujets apathiques, avachis devant l’écran géant, électro-encéphalogramme plat, se gavant de la guimauve pourrie où culmine, avec plus belle la vie, la culture au niveau zéro, se laissant docilement instiller les idées anti-françaises et pro-islam par des hyènes putrides du genre Caron ou Askolovitch. Un puissant moyen, donc d’asservissement. Il est évident que l’existence même de l’idiot-visuel public est un scandale, et que nous n’avons nullement besoin de ça.

Ce n’est pas tout. On sait que des fonds publics servent à financer des films de propagande lénifiante du genre Samba (qui, heureusement, fait un bide). On apprend aussi que France2, la chaîne gouvernementale du mensonge et de l’hypocrisie, finance des films ouvertement pro-islam. C’est ce que dénonce l’hebdomadaire Minute dans un article intituté : « Qu’Allah bénisse la France et ses contribuables ! »

« Lundi prochain à Strasbourg sera projeté en avant-première Qu’Allah bénisse la France. C’est un film du rappeur et écrivain Abd Al Malik. Son propos est de faire la promotion de l’islam. Or ce film de propagande est coproduit par France 2, avec l’argent des contribuables, qui dans leur grande majorité sont encore catholiques. »

Ce film sortira au niveau national le 10 décembre prochain raconte, « le parcours de Régis, enfant d’immigrés, noir, surdoué, élevé par sa mère catholique avec ses deux frères, dans une cité de Strasbourg. » Passons sur le « surdoué » ! Le gugusse suit le parcours classique des racailles : délinquance, rap et islam. Car le Régis se convertit à la RATP de Daech et finit en Abd Al Malik. Pas de doute, c’est bien un parcours de « surdoué », tendance protozoaire. Oh ! Il prétend ne pas suivre les barbus, qui empêchent de chanter, lui est « soufiste », il appartient à cette chapelle de l’islam qui se prétend basée sur la spiritualité et l’ésotérisme. Quiconque a lu le coran sait à quoi s’en tenir avec ladite spiritualité. Mais c’est à signaler : on veut nous servir l’islam « digestible » en potage aux asperges, pour mieux faire passer l’autre, celui de nature diabolique, qui massacre. « Ce qui prouve que derrière un soufi on peut toujours trouver un djihadiste… » commente Minute avec juste raison.

Mais le scandale est celui-ci, je cite : « Quand le film a reçu l’agrément du CNC (Centre national du cinéma), son devis était de 2 498 260 euros.
Or dans un document adressé au conseil régional d’Alsace (afin d’obtenir une subvention), le budget s’élevait cette fois à 3 582 434 euros. Une différence de plus d’un million d’euros ! Comment a-t-elle été comblée ? Le 27 juin 2013, la société Les Films du Kiosque, à l’origine du film, a signé un accord de coproduction avec Fran­ce 2 Cinéma, filiale du groupe France Télévisions. On peut donc en déduire que (car le formulaire sur le site de « France 2 Cinéma », que nous avons rempli pour obtenir les chiffres exacts est à ce jour resté sans réponse) que l’arrivée de ce partenaire de poids, et du service public, a fait tomber un million d’euros dans les caisses de la production. Directement, via le contrat signé par France 2 Cinéma, et indirectement, via une participation exceptionnelle de France 2.

A ce contrat en or, il faut ajouter d’au­tres subsides et avantages. Qu’Allah bénisse la France a reçu 75 000 euros de subvention de la région Alsace et 80 000 euros de la Communauté ur­baine de Strasbourg. Le CNC a aussi versé son écot. Dès décembre 2011, il a accordé une « aide au développement de projets de films de long métrage », puis en 2 014 une « avance sur recettes après réalisation », ainsi qu’une « aide complémentaire à la production », pour un montant total qu’on peut estimer à 125 000 euros (car le CNC ne communique pas le détail des aides qu’il accorde).

Le film a également bénéficié du « fi­nancement Sofica » : c’est un placement qu’une banque propose à ses clients pour financer le cinéma, sans leur dire quels films en profitent… Epargnants, apprenez ainsi que si vous avez souscrit au fond de placement « Image 7 », proposé par la Banque postale, vous avez à l’insu de votre plein gré financé Qu’Allah bénisse la France ! Enfin, bonus, le film a obtenu le label « CIC » : le Crédit d’impôt cinéma. Ce dispositif permet aux producteurs de payer moins d’impôts…

Au final, vu la multiplicité des aides et avantages accordés, difficile de chiffrer précisément combien d’argent public a été injecté pour produire ce film.
Mais si on avance un pourcentage de 50 %, on ne doit pas être loin du compte… Allah peut bénir les contribuables français. »  Fin de citation.

Après cela, on ne s’étonnera pas que le « service de la redevance audio-visuelle » harcèle les citoyens qui n’ont pas de récepteur de télévoyeurisme chez eux. D’abord, parce que pour les créatures de Bercy, il est impensable, scandaleux, voire subversif, de ne pas s’abrutir devant un écran. Ensuite, parce que selon le non-droit de ce pays en ruine, tout sujet est a priori coupable : donc déclarer ne pas disposer de téléviseur ou dispositif assimilé (eh oui : une carte tv sur votre ordi, et paf ! on vous taxe) est nécessairement une tentative de fraude. On menace de vous faire payer une amende, on menace de violer votre domicile pour vérifier la véracité de vos déclarations. Méthodes fascistes, auxquelles tout citoyen non télévoyeur doit résister par la force si nécessaire.

Enfin, parce qu’un État gavé d’argent spolié aux citoyens ne peut pas se passer de taxer pour redistribuer à des tas de parasites. Et, ma foi, si la redistribution passe par le financement de navets propagandistes comme ce « film », on comprend la hargne du Propaganda Staffel lorsqu’il rencontre de vrais citoyens qui résistent à l’intoxication. La pensée libre le met en rage, car elle compromet les desseins de la caste politique qui sont : la destruction de la Nation, l’asservissement du pays à la loi de l’étranger et à la charia.

Le devoir du citoyen n’est pas de frauder : le fait même de posséder un téléviseur est une compromission avec le Propaganda Staffel. Le devoir, il est de ne pas posséder de téléviseur « ou assimilé » et de rechercher le renseignement sur les sites de réinformation. Le devoir est de faire obstacle par tous les moyens à l’asservissement. Mort à l’idiot-visuel public, et ostracisme contre les salauds qui financent des navets propagandistes avec l’argent extorqué aux contribuables !

Raymond

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