Bien-pensants, je vous hais !

Anticons new (small)Je parle contre la bien-pensance perverse qui inonde les ondes et les transforme en un torrent de purin. À cette différence, qui n’est pas une « différence près » : le riche purin amende la terre, la fiente gauchiste la rend stérile.

On me dit qu’un certain Lepers, obscur tâcheron de la bien-pensance médiatique, aurait commis sur la chaîne publique du Propaganda Staffel, financée par l’argent extorqué aux contribuables, un poulet visant à « déconstruire » l’équation délinquance = immigration. Fort bien : il n’en est pas moins vrai que la majorité (60% ou plus) de la population carcérale) est étrangère et que sur la totalité de cette population, au moins 50% sont musulmans.

La « déconstruction », c’est le clivage. Admissible en matière d’anthropologie, elle est inadmissible en matière de politique politicienne. Car alors, elle signifie : « destruction ». Lepers est évidemment un sagouin, comme le sont tous les bien-pensants, sans exception. Il participe à la destruction sociale, et en cela c’est un traître qui mérite le sort des traîtres.

Je viens de recevoir ce matin un ouvrage précieux : « La Théorie du genre », sous-titré « ou le monde rêvé des anges » du Professeur Bérénice Levet, Professeur de philosophie à Polytechnique (excusez du peu !). Je n’en ai encore lu que quelques pages, mais déjà je me sens en harmonie avec cette Dame, qui n’a rien à voir avec les « bobottes », les « femen », Belkacem et autres perverses au cerveau endommagé. L’un d’entre nous vous en reparlera peut-être, après lecture et analyse.

En fait, considérant l’effet pernicieux de la « bien-pensance », la rage me prend et j’ai envie de régler des comptes. En reprenant un critique de l’Immonde, pourtant peu compatible avec mes idées, mais pas si bête, je lis : « C’est prévisible : la philosophe ­Bérénice Levet (…) sera tenue ici ou là pour réactionnaire, rétrograde, crypto-machiste. Elle sera sans doute taxée d’amie des hétérobeaufs et de La Manif pour tous, d’ennemie des femmes, d’homophobe, d’alliée objective de la domination des puissants sur les faibles et les minoritaires. » Un condensé des ignominies proférées par la « bien-pensance », et bien rendu par l’auteur, qui doit en connaître un rayon sur la question.

La première réaction est de constater que le monde bobo-gauchiste réagit avec des réflexes pavloviens, sans jamais faire appel à l’intellect. Ce qui est normal : l’idéologie bobo-gauchistes est à la réflexion ce que la soupe est à la moustache : une dégoulinade assez écœurante. Alors je vais balancer à la tête de ces imbéciles quelques vérités premières.

1- « réactionnaire » : c’est celui qui souhaite le retour au statu quo ante. Mais c’est très exactement ce qu’en matière sociale souhaitent les gens nostalgiques de l’État-nounou, grand pourvoyeur de protection et de prébendes. C’est très exactement l’attitude des bobos soixante-huitards qui se sont taillé des niches où ils vivent d’argent public. Ces parasites-là bloquent la participation des jeunes générations et en font des chômeurs. Vérifiez, je vous prie !

2- « Crypto-machiste ». Voilà un terme imbécile. En Amérique du Sud, un « macho » est un homme, un vrai, pas une lopette soumies aux caprices du bovarysme féminin. Le rôle de l’homme mâle est celui de la guerre, de la protection de la famille, de l’approvisionnement de celle-ci. C’est basé sur des critères non culturels mais naturels. Les « amazones » ont toujours été des êtres pervers et parfaitement mythiques. Il n’y a aucune raison d’être « crypto »  et toutes les raisons d’être « macho »… quand on le peut, c’’est-à-dire quand nulle perversion s’est instillée dans les esprits.

3- « Hétérobauf »  n’est nullement un état condamnable. Je laisse au déviant Cabu la responsabilité du terme infâmant de « beauf’ », lui qui oublie que justement ce sont plutôt les gauchistes qui réagissent avec leurs tripes immondes plutôt que les « conservateurs ». Selon les critères gauchistes, être « homophobe » marque d’infamie. Stupidité lamentable, car « phobos » désigne la peur, et il n’y a pas de raison d’avoir peur des déviants. Ce qu’il faut craindre, c’est le pouvoir que leur confèrent à la fois les groupes de pression financés par des milliardaires comme Bergé et la propagande gouvernementale, Taubira et Belkacem en tête : car ainsi ils instillent leur perversion dans la société et, préférentiellement, pas le biais de l’école (qui a perdu l’honneur de la majuscule). Ce qu’il faut craindre, c’est la perversion du lien social qu’entraîne immanquablement le contact avec ces gens-là. On ne banalise pas la schizophrénie : pourquoi banalise-t-on l’ homosexualité en faisant croire que c’est un « choix culturel » ? Après tout, pourquoi les schizophrènes n’auraient-ils pas eux aussi le « droit au délire », tant qu’on y est ?

4- « Ennemi des femmes » : mais par la non-vertu du féminisme, les femmes sont effectivement devenues ennemies des hommes ! Le bovarysme s’oppose très précisément à la perduration du contrat familial, il n’est plus possible d’avoir des rapports normaux entre sexes, c’est une perversion qui tue l’espèce. Aussi ne s’étonnera-t-on pas du nombre de divorces, de recomposition et sur-composition des familles, au détriment des enfants, de hurlements au « harcèlement sexuel » et ainsi de suite : trop de femmes sont devenues des Diane, la chasteté en moins et l’imbécillité en plus. Le féminisme est une peste du temps, et menace la société.

5- Quant aux « puissants » et aux « faibles », je rigole ! L’égalité est très précisément l’état d’entropie maximum d’une société. Le faible est faible ? C’est de sa faute, à moins que la nature l’ait rendu brehaigne. Mais la question n’est pas là : ici il s’agit des femmes ! Comme si c’était le « sexe faible » ! Qui ne connaît pas l’Histoire ne connaît pas la puissance des femmes, qui ont toujours tenu les hommes par la queue, et ce n’est pas qu’une image ! Et maintenant qu’elles ont obtenu bêtement « l’égalité », elles se plaignent de n’être plus respectées ? Eh bien ! Elles connaissent le sort des hommes, et c’est bien fait ! J’espère qu’elles ramassent désormais autant de coups par le groin que les hommes. Mais les hommes sont encore trop chevaleresques : comme Hercule aux pieds de cette garce d’Omphale. Et puis on a fabriqué des « lois » discriminatoires permettant aux Emma Bovary de faire n’importe quoi sans ramasser un taquet en retour, alors….

Bon, j’ai épuisé la citation. Mais donc si je me proclame, avec fierté, et en déféquant sur la bien-pensance tout en utilisant ses mots ridicules : » macho », « homophobe », « misogyne », je suis aussi « islamophobe » au degré suprême.

Oui : je suis islamophobe. Et là, le « phobos » s’impose, car je crains la barbarie de l’islam, ses fanatiques assassins, son hypocrisie, son totalitarisme. Je suis islamophobe comme les bien-pensants sont antisémites. Car ces salauds marchent avec les pires criminels qui veulent la destruction d’Israël, le seul bastion du monde occidental contre la barbarie. Quand je vois combien de « parlements », des merdeux assis, entendent reconnaître l’entité palesto, qui a reçu les plus grandes sommes per capita pour construire un État et qui a employé cet argent pour enrichir des pourris et nourrir la guerre du hamas, je me dis qu’il y a quelque chose de vraiment, vraiment, pourri ! Tout ce que méritent ces ordures des parlements d’Europe, c’est le supplice du pal, très apprécié des islamiques.

Voilà : gens de la bien-pensance, je vous hais et souhaite votre destruction. Malheureusement, les peuples de l’ouest de notre continent sont devenus trop lâches, des tafioles peureuses, pour vous infliger ce que vous méritez. Dommage, surtout pour les jeunes générations ! Car en fait, la décadence et l’avilissement de notre civilisation, que les délires de la bien-pensance provoquent, sont l’étape ultime avant la charia. Le maître barbu est proche !

Raymond.

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