UMPS : business as usual. Vomitorium

decadence« Dieux que de processions, de monômes, de groupes
Que de rassemblements, de cortèges divers
Que de ligues, que de cliques, que de meutes, que de troupes,
Pour un tel inventaire il faudrait un Prévert. »

Et voilà comment par le jeu pervers d’un gouvernement socialiste responsable des dégâts un potentat nullissime réussit, avec l’appui sans faille de la meute médiatique, à faire un rassemblement international.

On dit que trois millions de pleutres et de naïfs ont défilé. Derrière les envoyés d’Erdogan, de l’émir du Quatar, derrière les salafistes de l’UOIF ravis de l’aubaine, derrière Mahmoud Abbas qui donne le nom de terroristes à des rues.

Les imbéciles ont réagi comme l’attendait le manipulateur de l’Élysée. Par opportunisme, tous ceux qui critiquaient la liberté de ton de Charlie Hebdo envers le chamelier infernal se sont soudain déclarés « Charlie ». Des Charlots, oui ! Ils ont cru à un premier énorme mensonge selon lequel les assassins menaçaient la liberté de la presse (mais où est-elle, cette « liberté », je vous le demande ?) alors que ce qui a été frappé c’était la liberté de blasphémer. Ils ont cru à un second énorme mensonge, selon lequel le terrorisme n’avait rien à voir avec l’islam, alors que Mein Korampf est plein de versets appelant à massacrer les infidèles.

Le malfaiteur de l’Élysée a gagné sur toute la ligne, nous voilà revenus en mai 2012 alors que les crétins fêtaient sa victoire. Tout soudain, trois ans de malfaisance, trois ans d’écrasement des entreprises, trois ans de pillage des citoyens ont été amnistiés par la foule bestiale. Et surtout, Hollandouille a réussi à sanctuariser ses chers musulmans, lui l’élu des sept-cents mosquées. Vous verrez, dans peu de temps des « lois » scélérates vont pleuvoir, interdisant le blasphème et la critique de l’islam, par exemple, et des millions d’euros vont pleuvoir sur les banlieues. Business as usual. C’est gagné pour les deux élections de 2015, c’est gagné pour 2017. C’est gagné pour la théorie du genre et toutes les perversions.

Dans l’affaire, le FN a été marginalisé. Désormais, business as usual, la grotesque comédie se jouera, comme par le passé, entre les deux partis-frères siamois, l’UMP et le PS, avec les bureaucrates de Bruxelles pour dicter les lois.

Dimanche 11 janvier 2015 marque la mort de la France. Les terroristes ont gagné. Désormais, il n’y aura plus qu’une province de l’Eurabia portant ce nom, peuplée d’êtres déracinés et soumis. Sauf quelques exceptions comme nous, les gars de ChezRaoul, et un petit nombre d’autres qui essaieront de mener un combat d’arrière-garde :

« Restent écrit Jean-Yves Le Gallou, président de Polémia, que les événements de janvier 2015 montrent l’extraordinaire capacité du Système à rebondir grâce à un contrôle médiatique sans faille. Ils montrent aussi qu’il est aussi vain que naïf de penser parvenir au pouvoir par une entreprise de séduction des médias. Ils montrent enfin la nécessité de structurer et de former sans concessions les acteurs de la France de demain. Ils montrent surtout le rôle déterminant des médias alternatifs et des réseaux sociaux, seules possibilités d’émission d’un autre discours.

Le combat ne fait que commencer. Et ce n’est pas une stratégie bisounours qui permettra de le gagner. »

Laissons la conclusion à notre cher vieux Georges :

« Le pluriel ne vaut rien à l’homme et sitôt qu’on
Est plus de quatre on est une bande de cons. »

Raymond

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