Lu sur Boulevard Voltaire (commentaires de Raymond en italiques):
Face au radicalisme musulman, virilisons la France !
À longueur de reportages ou d’émissions, on s’interroge. Qu’est-ce qui pousse de jeunes Français, immigrés ou de souche, à se convertir à l’islam radical et à partir combattre en Syrie et en Irak ? Ségrégation, décrochage scolaire, apartheid, laxisme, tout y passe pour expliquer le phénomène. Pourtant, la solution est beaucoup plus simple. La seule raison est la mort de la virilité française. [Disons : c’est un des facteurs déterminants, mais il n’est pas suffisant.]
Depuis 50 ans, la France, convertie de force au politiquement correct, se féminise de plus en plus. Tolérance, droits de l’homme, ouverture, charité, pacifisme, diversité, indulgence, indignation de Charlie. Petit à petit, même les plus rétifs ont été contaminés. La violence nous fait horreur, nous baissons les yeux par peur d’une éventuelle bagarre, nous condamnons les grèves qui dégénèrent, le macho nous fait honte, le hooligan aussi. [Admettons que ce soit vrai pour une majorité, mais nous sommes quelques-uns à ne pas céder à ces délires de chiots pissant de peur !]
Dans le même temps, les notions de religion, de patrie, d’honneur, de noblesse, de courage, de sens collectif, de guerre, même de rapport de force ont disparu de notre vocabulaire. L’idéaliste est un enfant, le militant un suspect, le religieux un veau. Nous sommes tous devenus des « fiottes ». [Conséquence logique d’un monde où les gens consomment comme des porcs à l’engrais, dépendent en tout de l’État, où les médias, l’école, bref, les auxiliaires du Big Brother sévissent à chaque minutes. Un monde qui a désormais peur du silence et de la réflexion.]
La conversion forcée au « fiottisme » s’est faite doucement, progressivement, sans douleur. Par la culture, le cinéma, la presse… tout le monde nous a expliqué pourquoi le viril devait disparaître. Nous sommes passé de Lino Ventura à Justin Bieber, de Marcel Cerdan à David Beckham, de Belmondo à Robert Pattinson. L’androgénie, les jeans slim et les T-shirts moulants ont remplacé l’idéal marxiste du prolétaire sûr de sa force ou celui, aristocrate, de l’officier parachutiste noble et courageux. Seul reste l’Homo festivus cher à Philippe Muray, sans valeur et sans destin. [C’est une bonne illustration de la fiotte. On les ferait tomber le cul par terre rien qu’en éternuant.]
Dans le même temps s’installaient en France des immigrés d’Afrique du Nord issus d’une culture forte, religieuse, communautaire, patriarcale et virile. Relégués dans les périphéries, ils n’ont pas été « intégrés » à cette spirale infernale qui émascule les Français de souche. Pour eux, la société européenne est décadente. Elle ressemble à un marigot putride et vulgaire fait de blasphème, de pornographie, de féminisme de caniveau et de nihilisme blasé. Toute transcendance, tout esprit de nation ayant disparu ils ont sciemment refusé de « participer » à ce délire, d’être en contact avec cette étrange maladie. Les plus téméraires se contentent juste de racketter ces « petits babtous fragiles » qui n’osent plus se défendre à mains nues. Notre manque de virilité nous a empêchés d’apporter une réponse forte et définitive à ces vagues d’immigration. Forts, nous n’aurions jamais cédé sur les valeurs de la France. Mais quelles valeurs, puisque nous n’en avons plus ? [Parfaitement exact. Le barbare l’emporte toujours sur le porc gavé décadent, et cela détermine sa stratégie de conquête, comme expliqué dans un livre, le Mein Kampf des djihadistes, « Gestion de la Barbarie » de Abu Bakr Naji, Éditions de Paris. Mais on ne peut pas contester le jugement que portent nos ennemis sur l’état des sociétés européennes décadentes : c’est aussi le nôtre !]
Forcément quand ces jeunes paumés de banlieue, mêlés avec quelques idéalistes français tout aussi paumés, à la recherche d’une cause forte, ont croisé la route de l’islam radical, ce fut le coup de foudre. Enfin un projet politique et religieux fort, capable de réenchanter le réel. Chaque nouvelle exaction était le signe de la vie. Ils comprennent la joie des soudards dans les pays dévastés. Ils redécouvrent avec plaisir la guerre, la violence, la puissance d’avoir un fusil d’assaut chargé dans les mains et le lot de testostérone et d’exaltation qui l’accompagne. À une époque, un jeune idéaliste rêvant de mort glorieuse et d’héroïsme s’engageait dans la Légion et allait mourir pour une certaine idée de la France dans les rizières. Maintenant, son idée de la France est si triste qu’il préfère mourir pour l’islam dans le désert. [Il y a certainement, hélas, de ça. Quand on y réfléchit bien, il n’y a plus d’énormité à commettre, plus d’empire à se tailler, plus de tombeau à délivrer. Rien que des conneries superficielles et des frère-zhuminations bovines, le caddy plein de saloperies empoisonnées, l’écran géant allumé dès son lever. Une société de pédales.]
Nous sommes les seuls responsables de cette légion de Français folle furieuse qui se bat en Syrie et qui nous fait si peur. Nous, et uniquement nous, avec nos yeux baissés et notre fiottisme culturel. François Hollande voulait réenchanter le rêve français. Sauf que tant que le rêve français sera Yann Barthès en lieu et place du général Bigeard, le djihadisme prospérera. [D’accord avec cette conclusion]
Henri Mattei pour Boulevard Voltaire
C’est très précisément le vice fondamental de l’idéologie qui empoisonne tout l’Occident : le commerce sans belligérance, la consommation à outrance, l’effacement des frontières, la perte du contrôle de soi, l’hédonisme pourri. L’avouerais-je ? Parfois, je suis titillé par cette idée que l’effondrement de cette civilisation décadente ne serait pas une si mauvaise chose. Nous, les irréductibles, rêvons aussi d’une société virile, où le courage, la responsabilité et le mérite seraient inscrits au fronton des édifices, mais sans la prosternation hypocrite devant un dieu mythique.
Raymond
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !