Nous n’écrivons plus guère. Il est vrai que l’actualité repasse les plats et que rien d’enthousiasmant ne vient bousculer le rythme des jours. Car on ne peut pas qualifier d’enthousiasmante la tempête ayant, la semaine dernière, agité le verre d’eau du Palais Bourbon. Une vraie farce digne des pires moments de la IIIe république : sur une loi somme toute extrêmement édulcorée et ne représentant que le centième des réformes à mener pour tirer le pays du bourbier économique, les ultras du Parti Spoliateur, fidèles à la démagogie ancestrale de la gauche, ont mené la bronca contre Macron. En effet, l’ouverture de commerces douze dimanches par mois, c’est pour ces gens-là une abominable mesure libérale : on n’aime pas le travail, quand on est de gauche. Libérer les transports en autocar, privatiser la gestion de quelques aéroports, réduire les délais de entre deux examens du permis de conduire, c’est certainement installer les principes de Bastia et Hayek au balcon de l’économie ! Ridicules dinosaures du Cambrien industriel ! Valls a eu raison d’utiliser le 49-3, car, si petites, si insignifiantes soient-elles, ces mesures vont dans le bon sens.
La droite assise, celle qui mange à la gamelle parlementaire, s’est couverte de ridicule. Davantage encore : d’infamie, en s’alliant aux staliniens et aux trotskystes, donc à la fraction la plus totalitaire de cette assemblée pour déposer une motion de censure dont il était couru d’avance qu’elle ne pouvait pas passer. On a donc vu des UMPistes, des FNmen, des cocos et des bas-du-front de gauche s’agiter vainement. Heureusement que nous ne sommes pas sous un régime parlementaire – bien trop de crétins le regrettent pourtant – sinon nous aurions eu une de ces chienlits dont la France a souffert depuis 1870 jusqu’à 1958, car il n’y a aucun parti de la caste politique capable de mener à bien une politique économique sérieuse. Quant à l’UMP, ce parti à la dérive a voté contre des mesures que lui-même aurait dû prendre s’il était au pouvoir. Les caciques de chez Sarkozy savent bien qu’il faudra quelque jour ramener la retraite à 65 ans, libérer la procédure de licenciement etc… Alors à quoi rime de faire de l’opposition pour l’opposition ? « Quand les grands partis politiques commencent à s’attiédir dans leurs amours sans s’adoucir dans leurs haines, et en arrivent enfin à ce point de désirer moins réussir qu’empêcher le succès de leurs adversaires, il faut se préparer à la servitude ; le maître est proche », écrivait Tocqueville (L’ancien régime et la Révolution).
Le maître est peut-être plus proche qu’on ne le pense ! Ce n’est probablement pas le squatter de l’Élysée, qui veut se donner des aires de chef de guerre – comme si un civil pouvait l’être – et de grand diplomate qui pourrait prétendre à l’être, même si l’idée le hante. Traîner ses guêtres à Kiev et Minsk ne suffit pas à faire oublier la vassalité de fait à l’égard d’Obama qui désigne un ennemi imaginaire et fait un pacte avec le diable iranien. Le véritable impétrant à la tyrannie, sis dans nos banlieues et sur les terres massacrées par l’état islamique ne se donne même plus la peine, lui, de s’avancer masqué. Il est vrai que le gouvernement et pratiquement l’ensemble des castes politique et médiatique s’efforcent de l’occulter. On veut bien prononcer l’islam comme segment du mot composé : « islamophobe » pour noter d’infamie les clairvoyants qui ont pris la peine de lire le coran. Mais on évite de parler « d’état islamique », on préfère l’acronyme Daesch qui veut dire la même chose, mais en langue chamelière. Langue qu’au passage l’on voudrait bien faire apprendre aux petits Gaulois dès la maternelle. On gave le peuple à la pilule Padamalgam et on s’efforce de lui faire croire que c’est lui le responsable du terrorisme parce qu’il pratiquerait un « apartheid » contre les chers (ô combien !) musulmans. Au fond, c’est cela, cet esprit dhimmi du 11 janvier que ne cesse d’invoquer Hollande au nom de la République. On prépare ainsi, pour le plus grand plaisir des bobos stupidissimes, un état de servitude. Car rien n’est plus incompatible avec la démocratie et l’autonomie des personnes que la théocratie musulmane qui, au contraire, est bien compatible avec la « république », puisqu’il existe des « républiques islamistes ». Au fond, Hollande et sa clique ont raison de prétendre que l’islam et la république ne sont pas incompatibles, car la république n’est pas à confondre avec la démocratie.
Si le bobo moyen n’était pas si oligophrène, il comprendrait que ce qui se prépare est très exactement à l’opposé de son idéal hédoniste : le blocage total de tout, la surveillance constante des uns par les autres, les interdits arbitraires systématiques, et pour unique livre le coran, pour unique pensée l’islam, non pas le « sois parfait » initial, mais le « sois soumis » des VIIIe et IXe siècles. Avec tout ce qu’entraîne l’islam, c’est-à-dire le sous-développement, la déshérence des sciences (on nous a raconté des tas de mensonges sur les sciences dans « l’âge d’or » islamique), bref : la castration de la pensée, l’esclavage, la mise sous clés des femmes etc… Si c’est là l’horizon indépassable des bobos et de leurs castes politique et médiatique, autant tirer le rideau et incendier le théâtre !
Sacha
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !