Heures sombres. Certainement plus sombres encore que du temps de l’occupation, car il y avait alors des Français Libres, une poignée d’héroïques combattants aux côtés de l’Angleterre, et peu à peu de courageux maquisards semant la peur chez l’ennemi et dans les rangs des collabos. Il y avait alors un espoir, car, disait le Général, « il y a dans l’univers tous les moyens pour écraser un jour nos ennemis ». Aujourd’hui, qu’en est-il ?
Nous avons tout perdu : notre culture, notre souveraineté, notre indépendance, bradées par une caste politique que nous avons eu l’imprudence, l’aveuglement, de laisser opérer une alternance de façade sous couvert d’une « démocratie » illusoire. Cette caste agit dans la continuité, conformément aux directives et à l’idéologie de groupes monopolistes apatrides. Nos lois ? Nos parlementaires ne font que des règlements en conformité avec les directives des commissaires de Bruxelles. Les instances apatrides de l’Europe contrôlent tout, et s’il s’avérait que par extraordinaire une loi sage venait à être votée, la cour européenne des « droits de l’homme » viendrait très vite l’abroger. Notre souveraineté ? Nous n’avons plus de frontières, et nous subissons une vague invasive sans précédent, déclenchée par l’égarement d’une chancelière allemande, soutenue par la caste politique qui, selon les directives de l’officine fasciste Terra-Nova, espère en faire une puissance électorale d’appoint et une réserve de chômeurs pour peser sur les salaires. Nous n’avons même plus la maîtrise de nos budgets nationaux, soumis à la censure bruxelloise.
Notre sécurité ? Il y a deux décennies qu’elle est mise à mal par la caste, qui n’a cessé de réduire notre Armée à la mendicité, de porter en-deçà du minimum les effectifs de police et de gendarmerie. L’État n’est plus en mesure d’assurer ses rôles régaliens de défense nationale et de sécurité intérieure. Notre justice ? Elle protège le criminel et punit la victime. Notre économie ? Le choix délibéré d’acheter la « paix sociale » au prix fort a ruiné nos entreprises, dont les plus stratégiques mêmes doivent se vendre aux monopoles étrangers. On provoque ainsi le chômage et la misère. Ce processus mortifère n’est pas près de s’arrêter.
Nous voilà face à deux dangers mortels : le totalitarisme socialiste et la charia islamique, la seconde devant l’emporter peut-être à très court terme si nous n’opposons pas une force populaire conséquente au processus de dépérissement.
Le gouvernement de rencontre qui nous torture depuis 2012, porté au pouvoir par la médiocrité de Sarkozy et l’imbécile courte vue d’une partie des électeurs, craint les conséquences de sa politique. Cela explique qu’il n’ait pas hésité à sacrifier ses pions à l’occasion du second tour des élections régionales : que périsse la Nation plutôt que périsse une idée, hurlait le terroriste Saint-Just. Cela explique aussi que, sous couvert d’« état d’urgence », le socialisme s’apprête à instaurer un état d’exception. Les criminels islamiques ont fourni un excellent prétexte au socialisme pour tenter de rendre pérenne sa domination sur notre Peuple. Comme sous le régime de Vichy, le socialisme, ennemi de la démocratie, s’apprête à ruiner toutes les liberté, toute l’autonomie qui peuvent exister encore dans ce pays. La police politique est en marche, et dès lors n’importe quel citoyen peut s’attendre, s’il a des velléités d’opposition, à voir débarquer chez lui la Gestapo socialiste et à être déféré, sous la contrainte et en urgence, devant la police judiciaire. Car l’état d’exception n’est pas dirigé contre un ennemi pourtant bien défini, mais dont le pouvoir exploite les crimes pour ligoter les citoyens, il est dirigé contre ce Peuple qui en a assez de souffrir et d’être soumis à la tyrannie. Attendons-nous à voir se multiplier le nombre de prisonniers politiques.
Attendons-nous aussi à voir se multiplier les attentats islamiques. On ne peut chasser deux lièvres à la fois : si la priorité des socialistes est de museler le Peuple, l’ennemi est sûr d’avoir les coudées franches. Bien entendu, les malfaiteurs de l’Elysée et de Matignon entendent jouer du syndrome de Madrid : plus il y aura d’attentats, plus les lâches seront tentés de se réfugier sous l’aile de vampire d’un pouvoir qui feint de les protéger alors qu’il les livre au couteau. Ainsi firent les Espagnols en élisant Zapatero.
Nous entrons dans la nuit totalitaire. Mais l’Histoire nous apprend que la vie, vaille que vaille, poursuit son cours. Une tyrannie finit par connaître sa fin, même s’il faut des siècles pour cela. Dans l’obscure catacombe, il y a des hommes qui disent « non » ! Il s’allume de fragiles lumières. La dissidence est dans la culture humaine, heureusement. La personne résiste toujours à l’assujettissement. Nos ennemis, socialistes et musulmans fanatiques, le savent. Ils ont senti, dimanche 6 décembre dernier, le puissant souffle de la colère du Peuple. Ils n’ont de cesse de l’étouffer, avec la complicité de l’autre composante de la caste, la fausse « droite » molle du Lapin-Tambour. Si l’on en juge par le mauvais augure du sondage, ils y réussiront dimanche prochain. Mais rien ne sera réglé. Sans doute connaîtrons-nous encore cinq ans de tyrannie socialiste, peut-être la France vendue à l’encan sera-t-elle torturée à mort par l’ennemi islamique aussi bien que par ses dirigeants.
Mais nous savons notre devoir : la résistance. Malgré la répression, le nombre de refuzniks ne pourra que croître. Il viendra un jour où les barreaux des prisons seront brisés. C’est dans la logique humaine. Les dissidents, comme l’avait dit Soljenitsyne à Philippe de Villiers, passeront de l’Est à l’Ouest. Le jour venu, leur incombera la lourde tâche de toute une France à reconstruire. L’heure n’est pas au désespoir, elle est à la lutte. Sans compromis, sans pitié pour les traîtres. Le chemin sera dur, nous aurons de la sueur, du sang et des larmes, les prisons seront bondées de dissidents. Mais un jour nous sortirons en pleine lumière. Vive la France ! Vivre la France Libre !
Sacha
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !