Deux ennemis : la caste, le djihad

Marion il y a des victoiresLa caste a encore de beaux jour devant elle, et nous des jours tragiques. Un scrutin à deux tours, c’est une machine à gagner (en trichant) mise en place par la composante fachocialiste sous Coton-Tige (alias Jospinus). Facile : au premier tour, on voit qui battre, au second on fait la combinazione pour le battre. Avec en plus les salopes du Propaganda Staffel payés par les cons qui déclarent leur téléviseur, l’affaire est dans le sac. Et notre démocratie dans le lac. Conséquence : plus la peine de se crever le cul, 2017 est joué et le vainqueur sera le vice-chancelier. De toute façon, lui ou un herpétien, c’est bonnet blanc et blanc bonnet. Tous européâstres, atlantistes, vendus aux musulmans, ennemis de la nation. De la boue gluante et putride. Je ne veux pas dire que les carottes sont cuites : elles le seront si nous ne leur pétons pas la gueule avant.

Citoyens, nous avons deux ennemis : la caste et l’islam. L’axe Washington-Paris-La Mecque. Le turlupin de l’Élysée et son complice le Lapin-Tambour s’entendent pour bramer des slogans sécuritaires, mais il n’en sort rien. On ne ferme pas les frontières, elles sont toujours béantes. On fait des opérations-caméras de police pour faire croire qu’on s’attaque aux fanatiques, mais c’est du pipeau. Autant essayer de vider un étang avec une fourche. On fait mine de bombarder les fellagas en Syrie, mais en faisant gaffe à ne pas leur faire de mal. Ça a autant d’efficacité que d’avoir balancé des tracts sur l’Allemagne nazie pendant la « drôle de guerre ».

Mais on profite de la pagaille créée par l’ennemi musulman pour cogner dur sur les patriotes. Sur ceux qui n’ont pas gobé les couleuvres que les fumelards de la caste veulent leur faire avaler. Les racailles gouvernementales ont beau s’intituler « gauche morale », c’est une bande de rufians immoraux et pervers. Les salafistes ont rendu un sacré service à la caste en lui fournissant un excellent prétexte pour essayer d’étouffer toute opposition nationale.

La preuve : un gauchiste putassier (excusez pour le pléonasme) s’est permis de faire l’amalgame entre l’ « état » islamique et le FN. Les cons, ça ose tout. Le Pen Marine a riposté en publiant des photos de gens massacrés par les fellagas. Histoire de dire : le FN ne fait pas ce genre de dégueulasserie. Elle aurait pu tout aussi bien publier celle des victimes du Bataclan éventrées et égorgées par les ordures, le 13 novembre. Mais là, stop, les fascistes ont interdit cette publication de crainte « d’amalgame ». C’est vrai que les terroristes étaient bouddhistes ! Bref : l’oligophrène Case-Vide a saisi sa flicaille judiciaire pour punir la trublione ! Voilà ce que des cons appellent encore la « démocratie ». Et il y aura bien des flics pour faire des perquises chez MLP et au siège du FN. Quand l’état d’urgence est un état d’exception, c’est qu’il y a eu coup d’État, non ?

Bon, voilà : nous sommes en guerre. Nous connaissons les ennemis. Ce n’est pas avec des votes qu’on parviendra à leur flanquer la pâtée, puisque le système est aussi verrouillé que le dogme musulman. Il ne reste que l’action musclée. Nous n’avons plus le choix.

Raymond

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