Chaque jour qui passe, les sites de réinformation font état d’agressions et de viols commis par les dits « migrants », c’est-à-dire par les envahisseurs islamiques de l’Europe. Prenons par exemple le cas de cette gamine germano-russe que révèle (parmi d’innombrables autres cas) le site lesObservateurs.ch reprenant une nouvelle de Medias-Presse-Infos. C’est bien loin d’être un « incident » isolé.
Le plus abject, dans de telles affaires, est le silence imposé à la police et aux médias. Reprenons le commentaire de Medias-Presse-Infos : « Hormis la vague d’agressions sexuelles et de viols coordonnée et programmée de la Saint-Sylvestre, depuis des années, les crimes et délits commis en Allemagne par des immigrés et plus récemment par des « réfugiés » sont occultés par les services de police et la grande presse. Comme le rapporte un haut gradé de la police de Francfort (en Hesse) interviewé par le quotidien Bild le 10 janvier 2016, « pour les délits commis par des criminels possédant une nationalité étrangère et qui sont enregistrés dans un centré de réfugiés, nous classons immédiatement le dossier sans suite ». Le policier continue : « Il y a de strictes instructions venant de la hiérarchie pour ne pas reporter les crimes et délits perpétrés par les migrants. Seules des requêtes directes émises par des journalistes ou des médias peuvent être suivies d’effet. »
Comment, dans un pays dont les dirigeants prétendent qu’il est « démocratique » en arrive-t-on à mettre la population, et singulièrement les femmes, en danger ? Tirons un peu sur le fil, pour détricoter ce filet qui emprisonne non seulement le peuple Allemand, mais également la plupart des peuples d’Europe. L’invasion n’est pas nouvelle, il y a des années que des hordes venues du tiers-monde forcent les portes de l’Europe. Dans leur grande majorité, ce sont des bandes d’hommes jeunes (à 85%) et largement islamisés. Des pays dont les dirigeants (sociaux-démocrates et démocrates-chrétiens, principalement, mais aussi ceux de la fausse droite euro-atlantiste) sont taraudés par l’idéologie des « droits-de-l’homme » et de la repentance les laissent entrer, et les entretiennent aux frais des citoyens autochtones. L’espace Schengen ayant détruit les contrôles aux frontières, le mal ne pouvait que se répandre partout où les gouvernements, ne répondant pas aux stipulations du contrat fondant toute société, ont renoncé à exécuter les rôles régaliens des États.
Il n’a a pas de doute, cette idéologie suicidaire, la fausse philanthropie dirait Bastiat, a rencontré l’égoïsme inintelligent des dirigeants des grands monopoles, ceux-ci croyant trouver dans les hordes invasives une main-d’œuvre à bon marché afin d’opérer un « dumping » sur les salaires. Probablement s’y rajoute-t-il l’idéologie du métissage de Coudenhove-Kalergi, c’est-à-dire l’idéologie du grand remplacement des populations autochtones de l’Europe. Dans ce contexte, l’ouverture violente des portes de l’Europe consécutive à la décision démentielle de Merkel a considérablement accéléré le mal. Le résultat est désormais vécu par les populations autochtones : insécurité, harcèlement sexuel, djihadisme, spoliation fiscale accrue au bénéfice de l’envahisseur.
Un organisme envahi par des agents pathogènes réagit en sécrétant des anticorps. Une société envahie réagit très normalement par l’anallactique, qui consiste à demander à l’étranger de s’assimiler à elle, donc adopter ses mœurs et ses lois. Or ce n’est pas du goût des dirigeants européens, qui répondent par une politique synallactique, en essayant de trouver des « compromis raisonnables », admettant le communautarisme puisqu’il n’est pas question de renier sa culture. Autrement dit : on ne demande pas à l’envahisseur de s’adapter à la société forcée de l’accueillir, bien au contraire on demande aux citoyens autochtones de s’adapter à lui. Voilà un fonctionnement réellement sociopathe. Naturellement, malgré le viol des consciences obstinément répété depuis des décennies, cela ne fonctionne pas comme l’espèrent les dirigeants coupables. Une partie croissante du peuple réagit, même si ce n’est pas encore à la mesure de l’agression subie. Les dirigeants corrompus n’entendent pas faire un mea-culpa, ils veulent poursuivre leur entreprise. Mais ils craignent la guerre civile. Leur tactique est donc d’une part de taire les agressions dont se rendent coupables les envahisseurs, et d’autre part de réduire au silence tous ceux qui osent dénoncer l’insécurité et la violation du contrat social. Voilà qui explique à la fois le silence imposé à la police et aux médias et la répression qui s’abat sur les patriotes. Cela se passe semblablement à un sida : les virus sont injectés au corps, mais le système immunitaire est inhibé, les anticorps qu’il produit sont détruits.
Telle est notamment la signification des projets proprement naziformes du gouvernement Allemand, mais, n’en doutons pas, du gouvernement Français également. Non seulement, de plus, manie-t-on l’éteignoir pour cacher la réalité, mais encore mobilise-t-on les imbéciles idéologiques -les « idiots utiles » chers à Lénine- pour trouver des excuses à l’envahisseur agressif. À ces cervelles de colibris, opposons ce bel aphorisme d’Oskar Freysinger : « Introduire une meute de renards dans le poulailler et croire qu’ils vont faire causette avec les poules procède d’une naïveté coupable ».
Cette situation n’est plus tenable, la violence faite aux peuples d’Europe doit cesser, l’envahisseur doit partir. Un « printemps démocratique européen » est hautement désirable. Il ne viendra pas tout seul. Il faut rassembler, et pour rassembler, expliquer et mobiliser. Expliquer : que chaque citoyen conscient combatte le silence, les mensonges, les manipulations des médias et des gouvernements, en faisant toucher du doigt aux gens indécis et peu concernés les dangereuses conséquences de la politique des dirigeants. C’est-à-dire lancer le débat civique partout : dans la famille, dans le voisinage, à l’atelier, au bureau, dans la rue même. C’est le premier moyen de faire croître la dissidence jusqu’à ce qu’elle devienne une force de changement irrésistible.
En même temps, il faut dénoncer. Puisque l’on cache systématiquement les faits, c’est à nous, citoyens, de les débusquer et de les révéler. Toute déprédation, toute agression, perpétrée par l’envahisseur doit être portée par tous les moyens disponibles à la connaissance du public. Nombre de citoyens possèdent des moyens d’enregistrement audiovisuels : téléphones avec fonction vidéo, iPod… Il existe également, vendues à bas prix, des caméras miniatures camouflées en objets usuels. On peut donc produire des documents utilisables par la justice (mais de ce côté-là, il ne faut se faire aucune illusion) mais surtout diffusables sur l’internet, et en cas de blocage de celui-ci, utilisables dans des séances privées de réinformation. Bien sûr, il faut pouvoir également porter assistance aux victimes : le mieux est de se déplacer en groupe, avec un preneur d’images et un groupe d’intervention capable d’évaluer les risques et de prévenir la police.
L’application systématique de cette stratégie sera évidemment réprimée, mais si elle s’étend, elle peut rapidement saturer les capacités répressives de l’adversaire. Les rois seront alors nus, et le mur du silence sera brisé. L’épée de la démocratie s’affûte à la meule de la tyrannie.
Sacha
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !