L’Erdogan, grand Mamamouchi de l’Europe des trusts

IslamCheval-de-Troie-391x293Il est commun de considérer les dirigeants européâstres comme des « tafioles ». Il est tout aussi commun de penser que ces énergumènes seraient dans le « déni de réalité », coupés des peuples. Certes, si l’on se place du côté de la Raison,  on ne peut qu’être révolté par leur attitude laxiste face à l’invasion. Laxiste ? Pire : complice ! Mais cette attitude est consciente et voulue. Quant à la réalité, ils la connaissent, ils la craignent, ils font semblant de ne pas la voir, mais ça s’arrête là. Ce ne sont pas des imbéciles, ce sont des criminels. En fait, ils mettent obstinément en œuvre un plan très ancien -il remonte au nazisme islamophile avec Hunke, et aux délires racistes anti-Blancs de Kalergi-Coudenhove : le Grand Remplacement. Et pour cela, ils font violence à leurs peuples, les forçant à héberger à leurs frais des hordes barbaro-islamiques. Toute cette tyrannie s’exerçant à grand renforts de lois fascistes, « liberticides », et d’un Trommelfeuer de mensonges déversés à trains d’ondes par leur Propaganda Staffel médiastrique.

Ces ordures, donc, viennent de sacrer l’infâme Erdoğan Grand Mamamouchi de l’Europe occidentale. Qu’est-ce que l’ Erdoğan ? Une pure nuisance musulmane. Ce Tartufe a tous les vices, et sa famille est embringuée dans des trafics et micmacs divers. Il craint la fondation d’une Nation kurde : donc il massacre les Kurdes, soutiens des forces anti-djihadistes en Irak et en Syrie. Ne parlons pas de démocratie sous sa tyrannie : il envoie ses sbires contre le journal d’opposition Zaman (chose que ne ferait même pas Mollusque 1er, il est vrai qu’il n’a pas de presse d’opposition, lui !). Il ordonne à sa cinquième colonne déjà en Europe de créer des communautés turcomanes sur place. Et surtout, surtout, il est, avec les rois fainéants de Saoudie et du Qatar, l’actif soutien des criminels fanatiques de « l’état » islamique.

Ce n’est pas par hasard que les territoires de prédation islamique se situent principalement à la frontière turque, à travers laquelle les assassins fanatiques reçoivent aide et assistance. On le sait : armes et pétrole islamiques font la navette sur cette frontière, les nervis criminels ont des bases de replis chez l’ Erdoğan, d’où ils partent et où ils sont soignés (échappant à une mort bien méritée !).

Et l’Erdoğan, s’il ne dispose pas de la bombe nucléaire, détient une arme formidable : l’envahisseur, baptisé « migrant » ou « réfugié ». Cela ne devrait pas être une arme : regardons la carte ! Cette maudite Turquie, ennemi héréditaire depuis plus de cinq siècles, n’a que deux frontières terrestres avec l’Europe occidentale : une avec la Bulgarie, l’autre avec la Grèce. Si les européâstres en avaient la volonté, il ne serait pas très difficile d’y dépêcher des forces armées pour les verrouiller -même si les grecs de Tsipras n’étaient pas d’accord. De même qu’il ne serait pas très difficile de boucler la Mer Égée pour stopper les hardis « navigateurs » lancés à la conquête de l’Europe.

Les millions d’envahisseurs ne présentent pas en soi une force de chantage. Mais ils le sont devenus. Pourquoi ? Parce que si stratégiquement on peut verrouiller les frontières et la mer, politiquement l’Europe est asservie. La Turquie est membre de l’Otan, comme la Grèce (son ennemie héréditaire mais néanmoins complice actuelle) et la subversion islamique de l’Europe fait partie des objectifs des monopoles de Wall-Street. Une Europe forte serait un compétiteur économique gênant. Or l’islamisme ne produit pas d’économies fortes, dans le contraire, cela se saurait. Donc l’Europe ne doit pas s’opposer à la Turquie. Il est aussi à prendre en compte l’angélisme morbide des européâstres, qui n’est en fait qu’une façade, mais très utile pour priver les peuples européens de défense morale. C’est le faux-nez de la vieille démente Merkel, qui a tout misé sur le « sommet » euro-turc pour prétendument « régler le problème des migrants » qui déverse son flot barbare sur la Grèce complice, mais se trouve très légitimement bloqué à la frontière par des pays raisonnables comme la Macédoine. Merkel et ses européâstres savent parfaitement quels sont les risques à souper avec le diable Erdoğan. Mais ils « négocient » quand-même : des millions d’euros en prime (en fait, c’est de la monnaie de singe) et surtout, surtout ! la reprise des négociations sur l’entrée des turcomans musulmans, cheval de Troie de l’islam, dans l’UE. Ce n’est pas de l’aveuglement : c’est de la traîtrise consciente, pure, condamnable à mort.

L’ Erdoğan est donc de manière inouïe, parfaitement indue et révoltante en position de force, comme l’était Hitler à Munich. Il méprise (et il a raison !) ces européâstres venus à genoux lui demander son intercession. À lui qui laisse passer l’envahisseur ! J’aimerais qu’en fricotant avec cet ignoble tyran les européâstres signent l’arrêt de mort du machin européen ; mais plus sûrement, c’est notre arrêt de mort qu’ils signent. On ne peut à leur égard reprendre les paroles du Christ : « pardonne-leur, Père, ils ne savent pas ce qu’ils font ». Oh ! Si ! Ils savent parfaitement ce qu’ils font, ce que veulent l’Onu, l’Otan, les monopoles de Wall-Street ! La Justice voudrait qu’ils subissent le châtiment suprême. Car ils ne sont pas innocents.

Le plus ahurissant dans cette affaire est le fait que le monsieur tout blanc de Rome, pape jésuite -et l’on sait combien la Compagnie, très franc-maçonne à sa façon, a nui jadis et nuit toujours – pousse à la roue pour démobiliser les chrétiens qui, légitimement, se sentent menacés. Il a parlé « d’invasion arabe ». Excellent, mais… aussitôt il fait de sa déclaration un pétard mouillé : « Combien d’invasions l’Europe a connues tout au long de son histoire ! Elle a toujours su […] aller de l’avant pour se trouver ensuite comme agrandie par l’échange entre les cultures. » Et le propagandiste du Vatican : « Le pape n’a pas parlé d’une invasion violente ou préoccupante. » Ben tiens ! Je voudrais bien qu’on m’explique ce que j’ai à gagner de ne voir que des fantômes noirs dans les rues, d’être sans cesse espionné parce que soupçonné d’incorrection religieuse, de bouffer du mouton et de lever cinq fois par jour le cul au ciel en prononçant rom..lom rom allahu akbar ! Le pape ? Mais pourquoi donc Benoît XVI a-t-il abdiqué ? Après quelles infâmes pressions ?

Alors voilà : si personne ne réagit violemment, dans dix ans c’est fichu ! Moi, à la rigueur, je m’en fous, je serai parti en fumée d’ici-là, mais je pense à mes enfants, à NOS enfants, privés de patrie, privés d’autonomie, devenus des esclaves d’idoles : Allah et le Marché. Tenez, vous voulez savoir le point d’origine de cette chienlit ? Un jour, j’avais mis au point un logiciel d’intelligence artificielle. Il fonctionnait très bien, mais un cousin (par alliance) auquel je l’avais montré, après m’avoir félicité, me dit : « mais si tu ne peux pas le vendre, il ne vaut rien ! » Pigé ? Le mercantilisme s’autorise tout, et surtout de tuer ceux qui pourraient le concurrencer.. ou ne pas croire en lui.

Bref : je ne vois pour le moment que des révoltes sporadiques, mais pas la puissante lame de fond qui pourrait balayer toute cette racaille européâstre islamophile, à commencer par nos propres « gouvernants ». It’s still time, brothers, mais nous n’avons plus guère d’années devant nous si nous ne prenons pas maintenant la voie de la rébellion.

Sacha

Share
Cette entrée a été publiée dans A la Une. Vous pouvez la mettre en favoris avec ce permalien.

Les commentaires sont fermés.