Nuit et bouillasse

gauchisteDepuis quelques temps les gazettes et étranges lucarnes du Propaganda Staffel parlent de manifestations répétées et nocturnes dites « nuit debout ».

Personnellement, je trouve l’appellation très euphonique : « nuit de boue » ou encore (je) « nuis debout ». « Debout » étant bien entendu une plaisanterie, car les bobos en question sont généralement couchés devant l’islam. Et, naturellement, couchés devant le travail, dont ils connaissent le mot, mais certainement pas la chose. Le prétexte initial était l’insignifiant projet de loi dit « du travail » à l’occasion duquel Mollusque 1er a sacrifié la malheureuse -mais tout de même incompétente- El Khomri (prononcer le « Kh » comme la jota espagnole de « debajo » ou le « ch » allemand de « Bach », la pauvre femme souffrant d’être appelée « El Konnerie »).

Bref : un article parmi tant d’autres, paru chez lesObservateurs.ch décrit assez bien cette bande de dinosaures qui se croient encore au Cambrien industriel de « Germinal » et ont pris pour prétexte un projet de loi très en-deçà de ce qu’exigerait le redressement économique pour entamer une veillée funèbre, celle de tout le pays. Évidemment, comme tout ce qui est gauchiste, l’affaire déborde à la « podemos » espagnole (en réalité « manoseamos », nous tripotons) et, au fil des divagations, l’observateur avisé retrouve les antiennes que la gauche révolutionnaire champagne-caviar répète comme des mantras depuis presque cinquante ans. Voyez par exemple ce reportage sur BouvelardVoltaire. La gauche ne se renouvelle pas ! La « droiche » non-plus, remarquons-le tout de même.

On remarquera aussi que ces crânes de piafs bénéficient de toutes les mansuétudes. À commencer par celle des gouvernementaux ; ah ! S’ils étaient des « Veilleurs » protestant contre la loi perverse, sur lesquels l’infâme Taubira faisait lâcher les molosses de la police politique ! Non : ici, malgré l’état d’urgence, on recommence à polluer chaque nuit sans nulle tracasserie. On est de gôche ou on ne l’est pas ! Et on est utile… au pouvoir de gauche. Comment cela ? Facile à comprendre : le Code du Travail, c’est comme le coran, c’est un dieu qui nous l’a écrit, il ne faut pas y toucher. Mais la réalité est que ledit coran cégétiste s’avère nuisible, comme l’autre : faisons donc semblant de vouloir l’amender, afin de provoquer l’ire des fanatiques qui imposeront le noli tangere. Le refus venant de gôche, il est sacré, que voulez-vous que j’y fasse, m’âme Michu, moi Mollusque, moi Valls, je suis de bonne volonté, mais les oulémas de la gôche s’y opposent ! Allez : vous allez voter pour moi en 2017, hein, puisque j’ai essayé de bien faire !

La mansuétude est aussi, naturellement, celle des médias de propagande. Je n’en parlerai même pas, regardez chaque semaine l’excellente émission I-médias sur TVLibertés.

Bon : comme j’aime à le dire avec le vieux Cicéron : qui prodest ? Il faut de la logistique pour cela, donc de l’argent. Je ne serais pas étonné de voir derrière cette stupidité des milliardaires socialistes : Pigasse, Bergé et autres. Ces gargouilles sont de tous les combats d’arrière-garde, de toutes les nuisances. Et, derrière eux, l’infâme Soros. On me dira que je n’en ai aucune preuve : bah ! Dès qu’il y a du gauchisme, des manifestations perverses soutenues financièrement, Soros y est sûrement pour quelque chose !

Je m’étonnais que des idées aussi ringardes, décadentes et néfastes, que sont les idées de « nuit de boue » aient pu perdurer tant d’années. En fait, je constate avec horreur, tristesse et abomination, qu’elles sont en grande partie celles des européâstres, eurocrates, immigrophiles et autres coyotes à foie jaune. Elles indiquent à coup sûr la décadence. Est décadente une société où les adultes sont restés enfants. Le bobo, c’est le sale gosse de deux ans qui se roule par terre en braillant dans un supermarché parce qu’on lui refuse un compère-loriot quelconque. Pour en faire un homme, il lui faut alors une bonne fessée : il se calme et apprend la frustration, chose très nécessaire à l’équilibre. Qu’Attila-Chou, le bobo attardé, rencontre Sœur Marie-Thérèse des Batignolles, qu’elle le baffe, au moins ! Vous allez penser que je suis « dégueulasse », mais parfois je me dis que si les fellagas donnaient une bonne leçon à tous ces hédonistes pervers… Bah ! Ils trouveraient encore des excuses aux assassins !

Pauvre France !

Sacha

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