Arrêtez les bouffonneries !

hollande au cannabis (2)Le prétendu « pouvoir exécutif » (qui, comme l’écrit C. Vanneste, « n’en finit pas d’exécuter le pays ») achève le prétendu mandat de Mollusque 1er (dit « Flamby », « Captain Wreck », « Soliveau le Magnifique » et j’en passe) dans la plus échevelée des bouffonneries.

La catastrophe nationale a deux aspects : la guerre musulmane et la ruine économique. Concernant la première, nous avons tout déjà dit ; non seulement le « pouvoir » renonce à exercer le rôle régalien de l’État d’assurer la sécurité des citoyens, mais encore il protège l’ennemi et en renforce les effectifs en acceptant l’invasion voulue par la bande à Merkel. N’y revenons pas : il faudra que cela se solde quelque jour.

La ruine économique, même ceux qui n’ont qu’une vague idée de l’économie la vivent dans leur chair. Nous devons avoir quelque onze millions d’inemployés toutes catégories confondues ; l’impôt saigne l’entreprise et le citoyen, le tissu industriel est totalement délité. Quelqu’un au gouvernement a dû avoir une lueur de lucidité et conclu qu’il fallait peut-être faire une timide tentative pour amender l’ubuesque « code du travail » ; de là le projet dit « El Khomery » appelé « loi travail ». C’était compter sans les dinosaures apparatchiks des syndicats (4% des travailleurs, comme représentativité c’est plutôt léger) et les bobos oligophrènes de « nuit de boue ».

Un vrai gouvernement aurait botté les fesses à tous ces écervelés psalmodiant leur catéchisme en détruisant un pavage ayant coûté, me dit-on, vingt-quatre millions d’euros. On peut lire au sujet de cette faune démente un bon article paru chez Boulevard Voltaire : « Ici, à l’économie politique, on propose de créer un fonds de soutien pour les SCOPS, géré par les syndicats. Ou encore de changer de Constitution, de cultiver l’impossible et donc de cultiver l’impayé. Les autocollants « pour la fin de l’hétéro-patriarcat » côtoient les demandes de « Maalox » (contre le reflux gastrique) pour les migrants amalgamés aux réfugiés, mais également la recherche de caméras et de tickets de transport… usagés ! La Laïcité n’est pas oubliée. Ni les drapeaux de la CNT, « syndicat révolutionnaire et anarcho-syndicaliste ». Sans omettre l’abolition des loyers, le SMIC à 1.500 € nets, l’expropriation des grandes fortunes et, évidemment, la semaine des 25 heures. Je suis surpris de ne pas y voir les anti-OGM, mais j’ai peut-être mal cherché. » Ça, c’est du réalisme ! Avec des idées aussi mirobolantes, nous voilà assurés de faire face aux défis de l’économie mondiale !

Il faut dire qu’il y a place de la Gueuse du beau linge qui sèche en mouillant les cordes (ou singe qui lèche…) : Gris-Ne-Pisse, Attacks, Drwâ au Logement, et naturellement les inévitables pervers LGBT. Et comme d’habitude, les extrêmes-gauchistes du Parti Spoliateur (ou Salafiste) et leur UNEF poussent lycéens et étudiants vers les « actions ». Il est curieux, disons-le au passage, que des garnements habitués à ne rien faire parlent « d’action » quand ils se mettent en grève ! On ne veut pas de la « loi travail », on veut l’hédonisme gratuit, laïque et obligatoire. Aux frais des « capitalistes », c’est-à-dire en fait à ceux du cochon de contribuable.

Le pire est que ça marche ! Il faut dire qu’il y a l’échéance électorale de 2017 et que Mollusque 1er, au fond du puits, espère bien remonter en surface et continuer à massacrer le pays. Donc on cède, sans avoir montré la moindre velléité de rappeler les trublions à l’ordre. Dame ! Ce ne sont pas les « fascistes » de la Manif’, hein ? Donc on va leur donner 450 à 500 millions d’euros d’argent public. Le permis à l’école, l’aide au logement, la bourse … après les études (!), la mutuelle et même une « garantie des revenus ». Et, pourquoi pas, la dépénalisation du cannabis -il a dû s’en consommer des quintaux lors des nuits de boue.

Naturellement, avec une dette sidérale, l’État ne dispose pas du premier sou de cette démagogie. Qu’importe ! On va taxer … les CDD. Je ne digère pas les sigles bureaucratiques, mais ce « c’est Dédé » doit vouloir dire « contrats (de travail) à durée déterminée ». Autrement dit, on va encore taxer les seuls établissements capables de créer de la richesse, les entreprises. Faisons un pari peu risqué : il n’y aura pas davantage de contrats à durée indéterminée, et de moins en moins de « Dédé », donc de plus en plus de chômage. Bref, la machine à ruiner se dope à l’achat de paix civile et s’emballe. J’espère qu’elle va exploser !

Oh mais ! Attendez ! Mollusque 1er va, me dit-on, s’adresser à son bon peuple de sans-dents demain jeudi 14, devant un parterre de « dialoguistes » soigneusement triés sur le volet par la bande à Ernotte. Naturellement, je recommande le boycott de ce théâtre de propagande ; je parie sur une faible écoute, fasse la Bonne Mère que j’aie raison ! Les divagations du pitre élyséen ne méritent pas d’être écoutées, selon le vieux principe du droit romain : « nemo auditur propiam turpitudinem allegans » (on n’écoutera pas celui qui se plaint de sa propre turpitude). Je souhaite même que des brouilleurs soient activés au moment où le tyran commencera à éructer ses âneries.

C’est le boxon, somme toute, organisé par ceux-là même qui pourchassent les clients des dames vivant de pain de fesse. Un comble ! Ceci dit (ou « ce sidi », pour faire plus « tendance »), du côté de la « droiche » la bouffonnerie se donne aussi en spectacle avec l’imbécile élection « primaire ». Remarquez que c’est bel et bien un réflexe « primaire » que de proposer une bonne vingtaine de menus différents pour tenter de sauver le festin de la caste politique au moyen d’une fausse « alternance ». Voyez ici la pauvreté des professions de foi, la plus réaliste étant celle d’Hervé Mariton, malheureusement il est atlantiste ; or ce n’est pas à Washington que doit se décider la politique de la France. C’est la preuve, en tous cas, que la droiche est parfaitement incapable de proposer autre chose qu’une alternance de façade au socialisme. Étatisme, atlantisme, européâtrie, immigrophilie… et même une NKM, l’imbécile, qui fraye avec « nuit de boue » !

Les patriotes ont vraiment à se faire des cheveux blancs : puisque le FN s’obstine dans un programme économique étatiste et s’imagine pouvoir gagner tout seul la présidentielle, il n’y a aucun espoir de sortir du cercle maléfique. À moins que l’initiative de Robert Ménard n’apporte une nouvelle dimension politique à droite – disons : ne fasse naître une droite véritable. Le Rendez-Vous de Béziers est fixé pour les 27, 28 et 29 mai. « Comme vous, sans doute, dit Robert Ménard, nous sommes des millions de Français à nous interroger, des millions de Français exaspérés des reniements et des reculades, las de l’atmosphère d’agonie nationale que nous respirons depuis tant d’années.

Alors, il est temps de se poser les bonnes questions et d’y apporter de vraies réponses. Pour ne plus se tromper et pour ne plus l’être.

Qu’est-ce que la droite ? Que veulent ceux qui s’en réclament ? Et, surtout, que ne veulent-ils plus ? Famille, identité, économie, Europe… nous aborderons tous les sujets et, surtout, vous aurez la parole.

La parole pour envoyer un message à tous ceux qui briguent nos suffrages, pour leur dire : voici précisément les idées que vous devez défendre, les propositions sur lesquelles vous devrez vous engager. Voici le programme minimum de salut public pour le quinquennat à venir ! »

C’est peut-être un peu court pour changer le cours des divagations et stopper les bouffonneries en 2017, mais cela vaut la peine d’essayer. Nous serons à Béziers. Venez-y aussi, nombreux. Il faut bien commencer par quelque chose de positif, ne serait-ce que de se trouver, de se reconnaître, de saisir les mains qui se tendent dans l’obscurité.

Courage ! On les aura !

Sacha

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