Du rififi femen chez les barbus


Vos ex patre diabolo estisOn rigole bien, des fois. Par exemple, l’association de malfaiteurs appelée UOIF tenait congrès au Bourget. Pour le coup, ils avaient invité ce fils de Satan à la dialectique mielleuse, champion de la taqia, j’ai nommé le petit-fils de Saïd Ramadan, Tariq. Il est écrit dans la Genèse : « Le serpent était le plus rusé de tous les animaux des champs, que l’Éternel Dieu avait faits. » Ce Tariq-là est certainement aussi rusé que le Serpent, mais c’est indubitablement une de ces créatures infernales à qui conviennent bien les fulminations de Saint Jean, l’Aigle de Pathmos : « « Vos ex patre diabolo estis : et desideria patris vestri vultis facere. Ille homicida erat ab initio, et in veritate non stetit : quia non est veritas in eo : cum loquitur mendacium, ex propriis loquitur, quia mendax est, et pater ejus. ». Traduisons, puisqu’il n’y a plus guère de latinistes : « Le père dont vous êtes issus, c’est le diable, et vous voulez accomplir les desseins de votre père. Il a été homicide dès le commencement, et n’est point demeuré dans la vérité, parce qu’il n’y a point de vérité en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fonds, car il est menteur et père du mensonge. »

Bon, l’habile propagateur de la doctrine des frères musulmans pérorait donc tranquillement devant un parterre recueilli de barbus animés des pires intentions, lorsqu’une silhouette emburquée s’approcha et, jetant à bas l’habit d’apiculteur, apparut telle qu’en elle-même alors la caméra la figea : dépoitraillée, c’était une impure femen ! Horreur et abomination ! Sur ce, deux ou trois autres trubliones surgirent dans la salle, délivrant des blanc seins au nez et à la barbe mal peignée des zélateurs du chamelier infernal. Quelle profanation ! S’ensuivit un plaisant hourvari au cours duquel les impudiques femelles furent proprement expulsées par la garde rapprochée.

Ne boudons pas notre plaisir, et dégustons la scène tant qu’elle est encore à portée du public, car il ne fait pas de doute qu’elle disparaîtra de l’internet à la suite de pressions.  Pour ma part, j’ai enregistré cette passionnante altercation. N’allez pas croire que je sois partisan des « femen ». Ce sont des énergumènes complètement déjantées, perverses à cervelles de pois-chiches, nettement fascistes, soutenues par des personnages extrêmement douteux (on parle, bien évidemment de Sorros, on oublie la mairie de Paris, entre autres). Mais jusqu’ici, elles s’attaquaient uniquement à la chrétienté, que l’on se souvienne des abominations et déprédations de ces harpies folles, notamment à Notre-Dame de Paris. Enfin, pas exactement, il y avait eu crêpage de chignon entre une ex-femen et une emburquée, et un boxon organisé dans un bureau de vote chez les ottomans à Constantinople (l’Istambul des ottomans d’Hitlerdogan). Mais c’est la première fois qu’elles s’attaquent aux barbus, en France, et à l’occasion d’un colloque bien-pensant sur… la place de la femme dans l’islam !

Je rigole, néanmoins, lorsque les cagots barbus hurlent au scandale, les idiots utiles gauchistes leur faisant écho en vociférations. Car le vrai scandale est d’avoir autorisé la tenue en France, au Bourget, d’un rassemblement de personnages dangereux. Les frérots, en effet, figurent sur la liste noire des organisations terroristes. Ce sont de véritables criminels, ils tiennent le conseil français du culte musulman, ils empoisonnent de leur propagande les territoires perdus de la république. Bref : ils sont l’ennemi. C’est donc une énorme faute de part des gouvernants de laisser ces olibrius caqueter en toute liberté. Mais ne nous en étonnons pas, il y a belle lurette que nous connaissons la collusion entre la gauche et l’ennemi, puisque l’officine fasciste Terra Nova prône l’utilisation d’étroits mosquétaires comme force électorale d’appoint. Ceci étant d’ailleurs valable pour les gauchistes comme pour la fausse droite de l’Herpès, la « droiche ». Après, on chouinera sur les morts des attentats !

Pour terminer, je recommande la lecture sur Breizh Info, de l’interview de Lina Murr Nehmé,  franco-libanaise, professeur à l’Université Libanaise à Beyrouth. Elle est spécialiste de l’Islam, historienne et politologue.

Raymond

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