Snif snif brexit

HorS dEurope2Ouais… Après le référendum remporté par le « Brexit », les masques tombent. Tout ce que l’Occident compte de totalitaires, de dégénérés, d’européâstres, de bisounours hurle, tempête, éructe, déverse des torrents d’injures et de haine à l’encontre du vaillant peuple Britannique qui a choisi l’Indépendance. On a même inventé une « pétition »-bidon signée par des milliers de Nord-Coréens, 32 000 habitants du Vatican (population : 800 ecclésiastiques), Napoléon Bonaparte et Wonderwoman ! Car c’est comme ça, en EURSS : « t’as mal voté, manant, tu vas revoter comme on te dit ! » Voilà tout le fonds de démocratie de ce conglomérat ouest-européen de vauriens.

La caste européâstre réagit comme une Paramécie titillée par un brin de fil de verre : elle se rétracte, elle se tortille dans tous les sens. La bulle dans laquelle est enfermée la caste, bien séparée des Peuples, menace de crever. Voilà-t-il pas que les vilains, les manants, le « seigneur peuple » n’est pas d’accord avec tous ces guides et illuminés qui Savent et mènent les peuples sur la voie de la prospérité, notamment en important de la main d’œuvre inqualifiable. Haro sur les Anglais ! Haro sur les Peuples ! Haro sur la démocratie ! Plus jamais de référendum ! Il est indécent que les Peuples à qui la caste extorque ses moyens de subsistance aient à décider eux-mêmes de leur sort, eux qui puent la sueur, sont bêtes, ivrognes, racistes et j’en passe.

Cela suffit. Le parallèle avec la Paramécie s’arrête à ses réactions aux sollicitations titillatrices. La caste, elle, dispose des médias pour semer la terreur, d’un appareil législatif incontrôlé pour museler la démocratie. La caste tue lorsque ses intérêts sont menacés. Attendons-nous à de grandes saloperies dans les mois qui viennent.

Maintenant une histoire :

Les européâstres, lorsqu’ils tiennent congrès, ont pour habitude de laisser leur anus à l’entrée de la salle. Question d’odeur, eux qui ne respirent que des sous-produits de distillats du pétrole. Ce qu’ils firent le 23 juin, comme d’habitude. Mais soudain, le Brexit souleva une formidable rafale qui dispersa les anus, ce qui fait que chaque européâstre fut incapable de recouvrer son appareil. Panique ! Ils durent, par conséquent, se contenter de l’anus leur tombant sous la main, chose, on en conviendra, fort malséante. Et depuis, les européâstres ne cessent de se flairer le cul, dans l’espoir de retrouver leur anus.

Bon, s’ils se contentaient de faire cela, nous n’aurions pas de raison de nous inquiéter !

Raymond

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