Falorni nie la réalité

Oh mais
Olivier Falorni : député bien-pensant, détestant tout ce qui est considéré comme -phobe selon une habitude politicarde, médiastrique et ridicule bien établie. Or cet énergumène se démène, voyez pourquoi : le 23 avril, les catholiques de Civitas — dont l’objectif est de « rechristianiser la France », « promouvoir et défendre la souveraineté et l’identité nationale et chrétienne de la France en s’inspirant de la doctrine sociale de l’Eglise, du droit naturel et des valeurs patriotiques, morales et civilisationnelles indispensables à la renaissance nationale » — ont reçu leur agrément de parti politique. L’avis, publié dans le « Journal officiel », est sans équivoque.

Bon : je n’ai pas de tendresse spéciale pour les religieux, et de la rechristianisassion, à la mode inquisitoriale, je n’en veux pas : par contre, je reconnais les racines gréco-latines, celtiques et chrétiennes, de notre société en voie de naufrage. Donc Civitas n’est pas dans mes fréquentations, mais du moins leur reconnais-je la légitimité notamment lorsque cette organisation s’insurge contre ce qui est réellement une pathologie, l’ « homosexualité » (syndesténie), et sa banalisation-reconnaissance par les instances politiques. Si l’on n’est pas convaincu de la folie (perversion, mais, en plus moderne, altération, c’est-à-dire pathologie du lien social) des syndesténiques, il suffit de lire les délires sur les sites LGBT et de regarder les images des « gay-prides » pour s’en rendre compte.

Olivier Falorni n’a pourtant pas hésité, mardi, en séance plénière de l’Assemblée nationale, à comparer Civitas à l’intégrisme islamiste, dénonçant cet agrément comme un scandale. « Le contribuable n’a pas à financer le fonctionnement d’une association qui prône la discrimination, prêche la haine, conteste la démocratie », concluant son intervention par un « Je ne peux pas accepter qu’on ait, demain, des bulletins de vote Civitas d’un parti qui dénonce l’homofolie ». Triste crétin ! Bon : reprenons :

- « Le contribuable n’a pas à financer le fonctionnement d’une association qui prône la discrimination, prêche la haine, conteste la démocratie ». Caramba ! Mais cela désigne parfaitement l’ensemble des associations dites « antiracistes », de la Licra à SOS-Racisme en passant par des tas de groupuscules grassement rétribués avec l’argent extorqué aux citoyens. Qui conteste la démocratie ? Exactement ceux-là qui contestent la libre expression de leurs adversaires. L’exemple des commentaires haineux  de la part du jacobinisme à l’encontre du « Brexit », des idées identitaires, du refus de l’invasion,  en sont un bel exemple. Autrement dit, l’énergumène Falorni conteste… son propre camp, mais il ne s’en rend même pas compte ! Ce sont les mêmes « progressistes » qui prônent la discrimination « positive », prêchent la haine des Français « de souche », entendent bien en finir avec la démocratie et le référendum.

- « Je ne peux pas accepter qu’on ait, demain, des bulletins de vote Civitas d’un parti qui dénonce l’homofolie ». Mais le grave problème est que l’on a enlevé la syndesténie (l’homosexualité, mal nommée) de la liste des pathologies. Or quiconque a travaillé avec des syndesténiques sait qu’ils ont de graves difficultés de relation sociale. Il n’y a que les mercantis pour s’y coller, car les homos sont riches et consomment beaucoup, sans mesure. On a interdit les études psychiatriques sur la syndesténie, un exemple d’anathème moderne portant sur la science. Cela ne change rien au fait que le syndesténique est un malade, c’est ce que le sieur Falorni appelle « homofolie ». Eh bien, sire Falorni, il faudra t’en contenter, car parmi les bulletins de vote nocifs à notre société, il y a tous ceux de ta coterie !

Nous en avons assez de ces perversions, folies, qui ont l’oreille de « politiques » à cervelles de pois-chiches. Remettre en cause la négation du caractère pathologique de la syndesténie n’a rien à voir avec la proscription religieuse de l’homosexualité. Sieur Falorni, les gens sensés n’irons jamais pendre un cancéreux, ni un syndesténique, car on ne tue pas un malade : on essaie de le guérir. Le musulman, lui, assassine le malade. La différence est de taille, et seul un con ne peut pas la voir. Alors foutez la paix à Civitas, ce parti n’est pas pire que le NPA ni que les « antifas ».

À bon entendeur, salut !

Sacha

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