Avec Macron, les monopoles essaient d’acheter la France !

Flag2Nous atteignons le fond du ridicule. Ou le ridicule des fonds ? Récapitulons : les partis -ah ! ceux-là ! – ont cru intelligent et ont présenté comme « démocratique » de jouer aux Américains en fabriquant des « primaires » qui ont tourné en eau de boudin. Ne parlons pas de celle de la gauche, laquelle a abouti à présenter pour candidat un concentré de gauchisme démagogue et fumeur de hachich. Celle de la droite a éliminé un traître avéré (traité de Lisbonne) et mis sur la touche un islamophile qui vaut encore moins. L’ennui est que le candidat désigné par la droite molle traîne des tas de casseroles après soi, et que quelqu’un s’est empressé d’en faire part à un hebdomadaire satirique mais gauchiste. Alors que le lauréat commençait péniblement une campagne, il faudra que la droite molle trouve, comme disent certains, un « plan B ». Je vous fiche mon billet que ce sera le pire d’entre eux, européâstre, atlantiste et lèche-babouches : Ali Juppé.

Mais il faut s’élever au-dessus de la tourbe politique française, pour comprendre ce qui se passe. Partout en Occident, la politique mondialiste des monopoles a créé des catastrophes : dettes, désindustrialisation par relocalisations, immigration voulue et invasive, chômage. Les peuples réagissent, demandent des frontières, s’opposent à l’invasion des barbares, refusent les diktats de la commission buxelloise composée de technocrates mondialistes non élus. C’est la raison de l’existence du groupe de Visegrád, de la montée du parti national aux Pays-Bas, du Brexit. De l’autre côté, les effets du mondialisme monopolistique ont créé un refus chez les délaissés de la « rust belt », la ceinture de friches industrielles, les excès de la politique des démocrates de l’Obama ayant fait le reste, le peuple des États-Unis a élu le président Trump.

Il est certain que le « Brexit », à l’horreur des mondialistes et des européâstres qui avaient prophétisé la ruine du Royaume Uni, a été une secousse tellurique de très haute intensité. Les monopoles ont donc décidé d’actionner toutes les forces politiques à leur solde pour que leur système ne soit pas davantage ébranlé. Ils n’ont pas eu assez de temps pour travailler le peuple Yankee, mais ils savaient qu’en Europe il fallait réagir très rapidement. Concernant la France, les années passées ont vu se dessiner un puissant mouvement patriotique, alimenté par les méfaits du régime de Hollande et par l’invasion : il fallait allumer un contrefeu. Or, parlant de feu, les monopoles ont mis deux fers au feu. Le premier était Ali Juppé : le vieux repris de justice n’a cependant pas passé les feux de la rampe. Fillon devenait donc la bête à abattre, et nul doute que les forces occultes -peut-être des services secrets- ont œuvré à le déboulonner. Le second est un personnage interlope, banquier chez Rothschild, arrivé à Bercy comme des cheveux sur de la soupe. Les monopoles avaient placé directement dans le gouvernement un agent zélé.

Je dis que son arrivée, sa démission, et l’ahurissant succès mondain de son mouvement étaient programmés. Les monopoles ont introduit une arme de destruction massive, le Macron. Il se passe un phénomène qui avait plusieurs fois fait long feu dans l’histoire de nos cinquante dernières années, la création de toutes pièces d’une prétendue « troisième force ». Il faudrait être politiquement naïf pour prendre le macronisme pour un mouvement implanté dans le peuple. C’est tout le contraire : Macron, créature des monopoles, a tous les dehors de cette caste apatride, déracinée, âpre au gain, pouvant intervenir partout parce que n’étant, en fin de compte, de nulle part. Si l’on n’est pas convaincu, il suffit de regarder qui finance ce mouvement et qui l’aide puissamment. Nous trouvons l’écume de la finance apatride, des Bergé, des monopolistes du CAC40, des propriétaires de médias de propagande. On ne trouve un tel « crowdfunding » politique que dans la campagne de la Clinton ! On peut ainsi, sans parti politique avéré, louer un quatier général de 800 mètres carrés rue de l’Abbé-Groult, à Paris (XVe), (22000 euros selon L’Express) et tenir un meeting à la Mutualité coûtant 300 000 euros. Ce n’est qu’un début. Et la baudruche enfle, attirant dans son orbite des transfuges du socialisme hollandien et des juppéistes rageurs.

Naturellement, personne parmi les « autorités » ne s’intéresse sérieusement à ce fluxCapitaliste constant d’argent qui coule dans les caisses d’En Marche !. Pas plus qu’aux barbotages dans l’enveloppe de représentation du ministère de l’Économie lors de la gouvernance de Macron. Pas plus qu’aux quelque 2,5 millions d’euros gagnés par Macron chez Rothschild alors que l’énergumène fait état d’un patrimoine singulièrement modeste. Manifestement, la Haute autorité pour la transparence de la vie publique et le parquet financier n’ont d’yeux que pour Fillon. Et l’on cache le coup de main donné par le gouvernement pour organiser le séjour de Macron au Liban où il a levé des fonds.  Vous avez dit complot ?

Eh bien, OUI, il y a complot de la haute finance spéculatrice apatride, des monopoles, en un mot, et des larbins qui les servent dans la caste, pour faire main-basse sur la France. Au pire, se disent-ils, si un accident mettait Macron hors course (mais toutes les précautions sont prises pour que cela n’arrive pas !), on remettra Ali Juppé comme autre fer au feu. Je l’affirme : une mainmise totale des monopoles sur la France est en train de se préparer. Mais regardez donc : le parti nationaliste (FN) ne trouve pas de prêteurs, tandis que Macron et sa bande de gangsters en sont déjà à veiller à ne pas dépasser la somme des « dons » permise par la loi. Comprenez : à planquer l’excédent ! Autrement dit : on est en train d’acheter la France !

Notre Peuple court un danger extrême, celui d’être définitivement privé de ses frontières, asservi au mondialisme monopoliste, déraciné, remplacé. Se poursuivront les délocalisations, donc le chômage, la perte définitive de notre pouvoir législatif et tous les maux dont nous avons souffert sous la présidence de Hollande, mais élevés à la puissance deux. Voilà l’enjeu véritable de cette parodie de démocratie que l’on appelle élection présidentielle. Ah ! Comme nous sommes tombés bas !

Nous n’en sortirons pas si notre peuple n’a plus l’instinct de survie. Ce n’est pas dans les urnes que réside le salut, le système est truqué. La seule solution, je ne cesse de le dire depuis des années, est l’insurrection, quelque forme qu’elle puisse prendre. Faute de quoi, tout sera perdu. Macron ne doit pas passer. Ni Ali Juppé !

Sacha

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