Réagissez, bande de lopettes !

Grippe aviaireLes fanatiques musulmans -excusez le pléonasme- ont encore fait des leurs à Londres. Le ramdam est décidément un mois propice à l’observation des règles coraniques. Mme Le Pen a posté sur Tweeter : « Combien d’attentats avant de considérer le fondamentalisme islamiste comme un totalitarisme barbare et l’éradiquer de nos pays ? MLP » Eh bien ! Les putes médiatiques d’Europe 1, sans doute relayées par d’autres médias du Propagandastaffel, couinent parce que MLP n’a pas eu un mot pour les victimes, tandis que le mæstrichien Macron s’est fendu d’un pleurnichant « Face à cette nouvelle tragédie, la France est plus que jamais aux côtés du Royaume-Uni. Mes pensées vont aux victimes et à leurs proches ».

Ben tiens ! L’hypocrisie macro-mæstrichienne ! On ouvre les vannes de l’invasion, on SAIT qu’il y a des terroristes dans le flot invasif, on refuse de fermer les frontières, on tolère -voire on favorise- des communautés tribales où les tueurs vivent comme des poissons dans l’eau, et lorsque cette politique puante donne ses fruits sanglants, on chouine sur le sort des victimes !

Insupportable ! Pour le coup, MLP a raison d’appeler à l’action. Car il est parfaitement vain de chouiner sur les victimes. Un peuple qui tolère l’envahisseur, et qui élit et tolère des gouvernants appelant l’invasion et ne faisant rien pour protéger les citoyens est très exactement COMPLICE de ses bourreaux. Le recto-humanisme et la compassion sentent la boucherie côté mouton.

Jean-Patrick Grumberg écrit  pour Dreuz Info :

« Avec ce nouvel attentat, je vois déjà apparaître sur Twitter des messages d’amour, des appels à l’inclusion et à la tolérance. Pas de rage, non. Pas de révolte– surtout pas de révolte. Pas de haine, non, la haine n’est pas correcte.

Allez-vous vous laisser longtemps massacrer en chantant Imagine ?

Vous avez des enfants, ils sont la cible préférée des jihadistes parce que ce sont des cibles faciles, et vous ne dites rien ?

Vous avez subi un tel lavage de cerveau, que vous avez accepté l’idée qu’il n’y a rien à faire, que vous devez accepter ?

Mais si vous acceptez, les islamistes vont vous exterminer !

Je ne comprends pas, je ne comprends vraiment pas pourquoi vous ne descendez pas dans les rues pour exiger qu’on vous protège– vraiment, qu’on vous sauve la vie– vraiment.

Vous manifestez pour vos avantages acquis et pas pour l’avantage d’être en vie ? Vivre n’est pas un avantage acquis méritant d’être protégé ?

Vous êtes un million à protester contre le MariagePourTous et zéro contre le MassacrePourTous ?

Je ne comprends pas, je ne comprends vraiment pas pourquoi vous ne descendez pas dans les rues exiger de vos gouvernements qu’ils vous protègent pour de vrai. Qu’ils assurent votre protection au lieu de vous dire que la société moderne doit vivre avec les attentats. Qu’ils agissent avec la plus grande fermeté, au lieu de dénoncer les attentats avec la plus grande fermeté.

Sur votre sol se trouvent les auteurs des prochains attentats terroristes, et vous n’exigez pas qu’ils soient enfermés pour que vos enfants ne soient pas les prochaines victimes ? Vous avez à ce point accepté la fatalité, perdu tout instinct de vie ?

Pourquoi ? Au nom du respect des droits de l’homme ? Au nom de la présomption d’innocence ? Pour être politiquement corrects parce que les terroristes sont musulmans et que c’est islamophobe de dénoncer les musulmans ? Parce que les futurs terroristes– dont la plupart sont connus– n’ont encore commis aucun crime et que la loi ne prévoit pas l’emprisonnement préventif ?

Un mot pour ceux qui vous traitent dislamophobes : ils vivent dans le passé. Parler dislamophobie en 1970 avant les attentats, avant 9/11, je peux lentendre. Aujourdhui, avec les vagues djihadistes, les fichés S, ISIS, les massacres de Nice, de San Bernardino, du marathon de Boston, du Bataclan, de Jérusalem, et les armées européennes qui bombardent l’Etat islamique, ceux qui vous traitent d’islamophobes ont un décalage de temps– ou ils viennent d’arriver de Mars.

Souvenez-vous, le président français Hollande disait qu’il s’agit d’une guerre livrée contre l’Occident.

Je n’invente rien. Vous l’avez entendu, ce n’est pas un fantasme de la fachosphère, ce n’est pas un discours de haine islamophobe, ce n’est pas de l’incitation raciste : «C’est un acte de guerre commis par une armée terroriste» disait Hollande après un des nombreux attentats– à quoi bon vous dire lequel, ils se suivent et se ressemblent.

L’état d’urgence est en vigueur en France. Dans quel quartier, dans quelle ville, dans quelle zone, la guerre ?

Où sont les lois d’exception de période de guerre ? Où sont les tribunaux militaires des périodes de guerre ? Où vos gouvernements livrent-ils bataille ? Au Mali où l’armée française tue les islamistes ? En Irak et en Syrie, où la France participe à l’élimination de l’Etat islamique ? Et rien en France ? Mais c’est en France qu’on vous tue ! Pas au Mali, pas en Irak, pas en Syrie.

Laissez-moi répéter car c’est important : les islamistes vous tuent en France, et c’est à plusieurs milliers de kilomètres de la France que le gouvernement envoie l’armée lutter contre les islamistes ? Pareil pour la Grande-Bretagne, l’Allemagne, la Belgique, les Pays-Bas…

Vous êtes visés car vous êtes les cibles parfaites, impuissantes, sans la moindre protection de vos gouvernements.

Vos dirigeants politiques, vos élites, vous expliquent que vous devez accepter le terrorisme. C’est facile et confortable lorsqu’on vit protégé par des policiers armés 24 h sur 24.

Je vous le dis, si vous continuez à déposer des fleurs et allumer des bougies, à ouvrir les bras aux migrants dont vos gouvernements ne contrôlent ni l’identité ni le passé, facilitant ainsi l’infiltration de terroristes, si vous continuez à dire que l’islam n’a rien à voir avec le terrorisme, les djihadistes vont vous décimer.

Si vous ne demandez rien à vos gouvernements, soyez certains que vous n’obtiendrez rien.

Comme me le dit Renaud Camus, « mieux vaut se faire massacrer que se faire traiter de facho par Laurent Ruquier ».

Vous laissez vos médias parler de «personnes radicalisées» sans expliquer : radicalisés par qui, par quoi, à quoi, pour quelle raison, par quelle idéologie, quels textes. Vous les laissez encore et encore vous dire que l’islam est une religion de paix, au lieu d’exiger d’ouvrir un vrai débat de société sur cette radicalisation, sur les bienfaits ou méfaits de l’islam, sa compatibilité ou son incompatibilité avec la démocratie, les valeurs occidentales ? Si vous ne demandez pas qu’on parle de l’immigration et de tous les sujets qui tournent autour, les jihadistes vont vous décimer.

Si vous n’exigez pas des lois d’exception, si vous n’exigez pas d’être protégés des fiches S, qu’ils soient emprisonnés, que les imams de haine soient expulsés, les radicaux enfermés, les jihadistes qui reviennent des zones de combat expulsés ou enfermés à vie car le poison jihadiste ne s’extrait pas en rééducation, l’islam va vous décimer.

C’est si difficile à comprendre ?

Vous vivez dans des Etats démocratiques. Vos gouvernements vous doivent la sécurité, c’est une de leurs fonctions régaliennes. Agissez démocratiquement, mais agissez !

Manifestez-vous, manifestez massivement pour exiger, pour obtenir la protection de vos vies à laquelle vous avez droit, celles de vos enfants.

Manifestez jusqu’à ce que vos gouvernements agissent. Ou mourez dans l’amour et sans haine.

C’est ce qu’ils vous recommandent, et c’est tellement plus facile pour eux. 1»

Nous sommes parfaitement d’accord. Mais peut-on simplement « demander » aux mæstrichiens de garde de faire quelque chose, en l’occurrence de faire jouer à l’État qui nous coûte si cher son rôle régalien de protection des citoyens ? Il ne faut pas seulement demander, il faut IMPOSER par tous les moyens possibles, y compris sous la menace d’une insurrection. Et si l’État aux mains des mæstrichiens mondialistes ne réagit pas, ou réagit contre les patriotes, il faudra bien que les citoyens s’arment pour se tirer seuls d’affaire. L’ENNEMI A NOTRE HAINE, et c’est parfaitement sain.

Toi qu’on prend pour Zeus, Jupinet, à bon entendeur, salut !

Raymond

(1)   © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

NDLR : L’adjectif « mæstrichien », très euphonique, est emprunté à Michel Onfray. L’essayer, c’est l’adopter !

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