Oui, nous écrivons peu. Au fond, nous restons dans l’entre-soi, ne nous lisent que les citoyens déjà convaincus de la justesse de nos idées et de nos thèses (qu’ils en soient néanmoins remerciés). Les autres… Dans la majorité des cas, notre discours se fracasse contre le caillou que les fanas de l’écran plat et du plateau-TV arrosé de bibine possèdent entre les oreilles ; c’est prêcher au Titanic qu’il ne faut pas sombrer et essayer de sauver les meubles. On connaît la suite. Et puis il y a toute la bobosphère, l’islamo-fachosphère, la pathosphère des infirmes cérébraux, qui se pincent le nez dès qu’un site dit la réalité des faits têtus qui résistent à la propagande.
Il ne se passe pas un jour sans que les médias résistants ne fassent état de quelque fourberie, de quelque prévarication, de quelque crime. On finit par faire le bilan : dans « leur » monde platonicien, tout le monde est moche, tout le monde est méchant. Voyez les âneries insultantes proférées par cet adolescent attardé de Jupinet ; voyez ses trahisons de l’intérêt national dont l’affaire Alsthom est un exemple frappant. Ne nous attardons pas à égrener les sagouineries célébrées par les médias du Propagandastaffel comme de « grandes avancées » dans le sens d’un « progrès » : cela n’aurait rien d’intéressant si ce n’était tragique.
Je veux néanmoins pointer du doigt pour désigner une nouvelle atteinte à notre culture. Une de plus, et ce n’est pas fini, tant une bande de ruffians s’emploient à saper les « murs porteurs » de toute la société, au point qu’aucune reconstruction ne serait possible. Une horde de bacchantes prétendument « féministes » s’en prend à l’orthographie en prétendant instaurer « l’écriture inclusive ». Premièrement, ces ânesses (que les pacifiques équidés femelles me pardonnent, c’est un tic de langue remontant au Moyen Âge et à la réfutation des thèses d’Al-Biruni dit Aliboron qui, au passage, était loin d’être un âne) témoignent d’un « féminisme » bien étrange, uniquement orienté contre les mâles Européens Blancs, mais ignorant superbement les us et coutumes des adeptes du chamelier infernal ; mieux : leur trouvant les excuses les plus biscornues.
Secundo, ces ménades échevelées et les ânes bâtés qui les accompagnent vivent en dehors de toute logique. J’avais dans un lointain article expliqué que « différence » n’est pas « inégalité », longtemps avant qu’Onfray me donne raison. Oui, nous sommes de nature et de culture, et c’est précisément des dispositions cérébrales naturelles (le néocortex) qui nous permettent de faire de la culture. Inutile de s’appesantir sur la question : le corps de l’homme n’est pas celui de la femme, et jusqu’à ce que les Dr Frankenstein n’aient perpétré leurs méfaits, la question ne se posait pas. Tout au plus tentait-on parfois de rabattre les faits de culture sur les faits de nature, et croyait-on -du moins certains épigones d’Auguste Comte le croyaient-ils) que la culture ce n’était que la nature en plus compliqué. Toutefois le néocortex marque un seuil de l’humain. Mais se frappant le crâne en criant « eurêka », on s’est dit qu’après tout il n’y avait en l’Homme que du « culturel ». C’est venu assez tôt, au XIXe siècle, où les disciples du paranoïaque Rousseau ont commencé à dire que la culture corrompait la bonne nature ; on a excusé les criminels en transférant la culpabilité de l’assassin à la société. Bref, de fil en aiguille on a rabattu le culturel sur le naturel et attribué à une société nécessairement mauvaise la cause des carences en vitamines.
Il n’y a pas d’inégalité naturelles, seulement des différences ; mais nos Aliboron pétris d’idéologie ortho-humaniste (ou recto-humaniste, comme vous voudrez) eurent vite fait, par un glissement sémantique parfaitement illogique, de faire passer les différences pour des inégalités. Tous les délires généristes -ceux des théories du genre- et du féminisme imbécile découlent de là. L’argument en creux est ce sophisme : le corps de la femme et celui de l’homme diffèrent, DONC c’est une inégalité, d’où la nécessité d’ignorer cette différence de nature et de laisser librement chaque individu choisir son genre. Comme on le sait, cela donne des manipulations à coups de chirurgie et d’hormones, mais aussi un embrigadement des enfants. Autrement dit : une tératogénèse, fabrication de monstres. Ce serait à rire si ce n’était tragique.
Bon : à partir de ces prémisses délirantes, on a commencé par féminiser les noms de fonctions, qui par nature sont épicènes : « la ministre », « la juge », « l’écrivaine », « l’auteure » et autres imbécillités ne plaisant qu’aux dégénérés du bulbe. Mais du coup, les bacchantes veulent aller plus loin et s’en prennent à l’orthographie de la langue. C’est tout à fait les édits des Précieuses Ridicules : « Nous avons pris chacune une haine mortelle/ Pour un nombre de mots, soit ou verbes, ou noms/Que mutuellement nous nous abandonnons/Contre eux nous préparons de mortelles sentences/Et nous devons ouvrir nos doctes conférences/Par les proscriptions de tous ces mots divers/Dont nous voulons purger et la prose et les vers. » Cette fois, les Précieuses Ménades Ridicules prétendent compliquer l’orthographie du Français en ajoutant l’inclusion des genres.
Une fois de plus, ce serait à rire si ce n’était tragiquement ridicule. Les administrations -des singes banards (ou singes cornus) qui n’existent que par nos impôts et qui nous asservissent avec obstination- entendent appliquer ces édits imbéciles. Curieusement, l’Académie ne semble pas réagir, les momies du Quai Conti ayant trop peur d’être politiquement incorrectes. Un éditeur -Nathan pour ne pas le nommer- ose proposer aux écoliers un poulet infect assaisonné à l’écriture « inclusive ». Comme si l’École n’était pas déjà le lieu de l’ignorance ! Naturellement, l’Université (je crois que quelques ménades universitaires ont donné le ton, vous trouverez sans doute leurs noms sur l’Internet) emboîte le pas. Ceci n’a rien d’étonnant : les sorbonagres et sorbonicoles passent leur temps (payé par nos impôts) à produire des stupidités. Quiconque connaît ce milieu sait à quoi s’en tenir, la science a depuis longtemps déserté les campus de « sciences humaines » et malheureusement l’idéologie délétère gagne les facultés de sciences véritables. Adoncques, plusieurs établissements sorbonicoles ont décidé (en vertu de quoi ? Mais de l’idéologie génériste, évidemment !) d’utiliser dans leurs papiers administratifs cette écriture d’ilotes et d’illettrés. Ah mince ! On ne peut pas écrire inclusivement « ilotes », mais regardez ce que donne « illettré.e.s »
J’enrage ! J’espère que notre Peuple -enfin, ce qu’il en reste ! ne sera pas assez idiot pour suivre le mouvement. Encore suis-je porté à en douter, tellement le « politiquement correct » a décérébré les citoyens pour n’en faire que des sujets ubérisés. Quoi qu’il en soit, je retournerai corrigé tout document administratif perverti par ce qu’il faut bien appeler l’« écrÉTINure » en l’accompagnant d’un commentaire persifleur. J’invite tous les citoyens à suivre mon exemple. Mais il faut aller plus loin. Car nous en avons assez, par-dessus la tête, du « politiquement correct », de ses mensonges, de ses délires, de sa tyrannie. Donc, puisqu’il est question de correction, je propose de corriger du bâton tous ces foutriquet.te.s (hi ! hi !) qui veulent nous rendre définitivement idiots. Ils le méritent mille fois, car c’est une bande de con.ne.s (j’adore retourner leurs armes contre eux !).
Sacha
Share
Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !