Bastonnades

AchmedDonc… Saint-Uber, dit « Jupinet » a fait la tournée des couscoussiers dans le 9-3 et autres territoires perdus de la République. Sans aucun doute protégé par une armée de gorilles et mis en face d’une claque triée sur le volet, à qui on aura un peu graissé la patte. Et bien entendu, l’enchevêtrement des caméras du Propagandastaffel pour célébrer la gloire de celui qu’« on » a hissé au pouvoir à la suite d’un coup d’État médiatico-judiciaire. Question de légitimité, on fait mieux ! Bref : il s’agissait d’une pure promenade de propagande. Ah ! La République aurait failli de ne pas avoir réussi à intégrer ces hordes dans son giron ! Si j’étais de Loué, je lui dirais : « et mon cul, c’est du poulet ? » Il existe depuis je ne sais quel prétendu « président » un truc appelé « politique de la ville ». Des milliards gaspillés pour, paraît-il, assainir des cités où jadis on entassait sans se soucier de leur bien-être les prolétaires autochtones. Des « centres culturels », des « aires de jeux », des ceci et des cela, invariablement livrés au vandalisme des racailles. Et un incroyable laxisme judiciaire face aux méfaits de ces mêmes racailles. Or, ce que promet Saint-Uber, c’est une nouvelle politique exactement calquée sur la précédente : l’argent spolié aux citoyens autochtones et travailleurs sera déversé une fois de plus en pure perte dans ces cours des Miracles.

C’est que le Jupinet, comme ses prédécesseurs, espère bien acheter la « paix sociale » et calmer les djihadistes réels ou potentiels. Pour un peu, je le traiterais d’imbécile, mais il est loin d’en être un, d’imbécile. Il sait que ce que je vais dire est vrai : il n’y a pas moyen de faire coexister deux cultures fondamentalement opposées dans la même aire géographique et politique. Il sait que l’ennemi est là, conquérant, dans nos cités. Il sait que le « vivrensemble » est une pure foutaise inventée par des imbéciles et exploitée par des margoulins. Nous autres le savions déjà, et en avons reçu la démonstration fracassante délivrée par les djihadistes.

Nous en avons reçu confirmation aussi -c’est nouveau- par l’excellent travail de Serafín Fanjul à propos du mythe moderne d’Al-Andaluz (l’Espagne imaginaire des « trois cultures » chère aux traîtres). Notre vieux Vautrin s’est emparé de l’ouvrage (« Al-Andaluz, l’invention d’un mythe », l’Artilleur éditeur) et je suis sûr que quelque jour il le commentera pour vous. Pour en revenir au présent, le passé -TOUT LE PASSÉ- nous montre qu’entre deux cultures fondamentalement antagonistes, il n’y a pas de cœxistence possible. Et Saint-Uber le sait, mais il ne fait qu’obéir à ses maîtres monopolistes avides de profits réalisés sur la ruine des nations. Donc il continuera à nourrir à nos frais le nid de vipères islamiques. Un État digne de ce nom aurait réglé depuis longtemps le problème par l’expulsion massive des fauteurs de troubles, en dépit des caquetages, menaces, pressions et tentatives de subversion des monopoles et de leurs valets européâstres. Enfin, voilà : nous savons désormais ce qu’il ne faut PAS faire pour en finir avec l’hydre djihadiste.

À y bien réfléchir, notre situation est tragique, du fait que nous n’avons plus aucune souveraineté. Car tout acte d’indépendance serait immédiatement puni par les monopoles. Notre dette est tellement élevée qu’elle frappe désormais non plus nos enfants, mais nos petits-enfants. Et, contrairement à des pays intelligents comme le Japon, cette dette ne nous appartient pas ; elle est propriété des créanciers internationaux, ces monopoles vampires, immondes, que sont les grandes banques du genre Morgan, Goldmann-Sachs et autres flibustiers, faux-monnayeurs et coupe-bourses. Les banksters nous mettent le couteau sous la gorge : si tu bouges, t’es mort ! Ils ne nous laissent pas le choix : c’est l’Europe de Bruxelles-Berlin ET les envahisseurs, sinon couic ! C’est pourquoi nous devons remuer ciel et terre pour que Jupinet ne vende pas nos armées à l’Allemagne : on pourra peut-être essayer de nous étrangler, comme les monopoles s’y essaient (en pure perte, heureusement !) contre la Russie, mais si nous gardons nos bombes atomiques, un gouvernement populaire national pourrait toujours leur répondre : si couic, BANG ! Au fond, nos royaumes d’Asturies et d’Aragon d’après l’invasion de 711, ce sont peut-être les pays de Visegrád d’où, s’ils s’adossent à la Russie, pourrait repartir la Reconquísta.

Revenons-en à l’actualité. Un peu défraîchie, la nouvelle selon laquelle le pervers magnat de presse bien-pensante Bergé a été rappelé à Satan. Mais les confessions de son ancien chauffeur et amant jettent un éclairage édifiant sur ce personnage qui souhaitait qu’une bombe explosât lors de la Manif’ contre le « mariage » des messieurs-dames. Ce sinistre personnage appelait à l’attentat, donc au meurtre : il n’a jamais été poursuivi. En tous cas, la révélation n’a pas l’air de passionner les médias du Propagandastaffel : silence radio-télé, nous dit-on, ou presque. Au moins, les Québécois, eux, n’ont pas eu à taire les turpitudes du magnat des lgbt : une longue émission y est consacrée. Je me demande bien pourquoi le lien est difficile à trouver sur Daily Motion ! Naturellement, il se trouve des salauds pour le défendre. Un autre sinistre personnage a un trop court temps eu les honneurs embarrassés des merdiats : le frère Tariq Ramadan. Ce qui est cocasse, c’est qu’il subit les effets de bord (involontaires pour le coup !) du hastag anti-mâles (Vautrin me souffle un mot savant : arrhénophobe qui veut dire « détestant les mâles », mais spécifiquement les mâles Blancs). On dirait bien que le « vertueux » prêcheur de l’islamVos ex patre diabolo estis « moderne » fait aussi partie des suidés invoquées par les bacchantes échevelées. Consternation dans les milieux islamophiles, rage protectrice du « Benêt » de Médiapart (Edwy P., selon la cellule élyséenne de la Gendarmerie sous Mitterrand) qui a pour l’énergumène les yeux de Chimène pour Rodrigue. Encore un imbécile qui ne sait pas ce qu’est l’institutionnelle taqya ni que l’islam est par nature irréformable. Il devrait nous lire, de temps à autre. Bon, pour le Tariq (mis en congé d’Oxford où il s’était incrusté comme « fellow » grâce à des diplômes douteux !), attendons que la justice suive son cours. Ça demandera du temps, le prêcheur de charia n’étant pas mal-pensant.

Remarquez, en se baladant sur la Toile, on découvre des âneries monstrueuses, comme par exemple que la Terre est plate comme une soucoupe (avec la tasse et la cuillère, sans doute ?), mais le plus grand nombre vient de la bien-pensance. Tenez, une qui vaut son pesant de cacahuètes : une idiote utile, appelée Guttierez, PhD Education (Curriculum and Instruction) de l’université de Chicago et présentement professeur à l’University of Illinois at Urbana-Champaign, a eu une eurêquassion : les mathématiques, voilà qui perpétue le privilège des Blancs ! En gros, c’est un truc, ces maths, tellement culturellement marqué et compliqué, que les « pôv’ Nèg’ » et les « Chicanos » n’y entravent que pouic. Ergo : il faut « simplifier » les maths pour les mettre à la portée des minorités si affreusement opprimées par les Blancs. On aura tout vu, tout entendu, dans ce siècle de décadence de l’Occident. Bon, cela vient d’une imbécile qui sévit dans une fac de « sciences humaines » : qui est passé par là sait ce que ça vaut. Ce genre d’officine produit des Butler et leurs délires sur le genre. Mais le summum de la connerie est atteint. Le mur du Çon. Ne sait-elle pas, l’inepte bourrique acalculique, que les Asiatiques se débrouillent aussi bien que les Blancs en maths, et que les mathématiciens des Indes (ah… peut-être sont-ce des Aryens ?) sont de géniaux algébristes ? Allons plus loin : comme la totalité des adeptes de la « discrimination positive », l’idiote ne voit pas qu’en proférant une telle ânerie, en réalité elle… comment disent les gauchistes, déjà ? Ah oui : elle « stigmatise » ses protégés dont elle insinue en douce qu’ils seraient trop bêtes pour comprendre ne serait-ce qu’une transformée de Laplace (encore un vieux mec, mâle, Blanc, évidemment !). Aucun doute : le sénat universitaire la suivra, et on va crétiniser les matheux toutes races confondues de l’Université de l’Illinois et d’autres aux States. Moi, à la place des banksters, j’aurais la frousse, parce que ça marque le déclin du savoir aux USA, annonçant la fin de l’impérialisme de Wall-Street.

Bon, pour finir, je vous propose d’écouter une homélie. Si, si ! C’est le Père Boulad, un curé de choc qui parle :


(Homélie du Père Boulad)

Comme, à part Pascal, sommes tous athées dans notre Camorra, le lecteur pourra s’étonner que nous laissions la parole à un ecclésiastique. Mais, d’une part, nous apprécions la critique sous-jacente mais combien perceptible qu’il fait des têtes mitrées (qui ne sont pas des têtes chercheuses !) de l’épiscopat principalement Français, et du Bergoglio romain, tous grands lèche-babouches de Mahom. Et d’autre part, nous verrions d’un bon œil réapparaître un christianisme de combat s’opposant aux mahométans. Nous avons besoin de toutes les forces disponibles pour combattre l’hydre dont il faut trancher toutes les têtes. Héraklès n’y suffisait pas, il lui fallait encore l’aide de la Déesse aux yeux pers, Athéna, et de Iolos. Nous, nous souhaitons la coopération entre la Rose et le Réséda, celui qui croit au Ciel et celui qui n’y croit pas, pour délivrer la Belle prisonnière de l’ennemi.

HARO ET BASTONNADE !

Raymond

Ps de Vautrin : Je n’ai pas encore tout lu du livre de Fanjul, mais déjà j’ai autant de plaisir intellectuel à le lire que j’en eus lors de la lecture de l’ouvrage de Gouguenheim, « Aristote au Mont Saint-Michel ». Lisez « Al-Andaluz, l’invention d’un Mythe », chez l’Artilleur. 28 euros : le prix s’oublie, la qualité reste.

Share
Cette entrée a été publiée dans A la Une. Vous pouvez la mettre en favoris avec ce permalien.

Les commentaires sont fermés.