Au fond, les harpies féministes se comportent à peu de choses près comme les musulmans, elles sont pour la séparation des sexes. Là où elles en diffèrent, c’est dans le projet clitocratique des Amazones. Mais comme eux, elles profèrent des interdits ridicules propres à induire des névroses et à préparer une société de refoulés et frustrés. Mais, ô sombres bourriques, qu’elles prennent garde au retour du refoulé.
Tout le monde le sait, une imbécile militante -c’est un pléonasme- a poussé une eurêquation vite reprise par quelques feuilles minables de la bien-pensance. Selon cette gourde, les femmes sont plus petites que les hommes parce que les hommes les auraient privées de la ration de protéine nécessaire à leur développement physique. Et de citer des exemples à faire mourir de rire n’importe quel biologiste : dans la nature les femelles des animaux sont plus grosses que les mâles. J’imagine l’idiote, une bobette diplômée en « sciences humaines », n’ayant aucune connaissance de la vie de la nature parce que calfeutrée en milieu urbain. Car si elle avait un peu regardé la nature, elle verrait exactement le contraire de ce qu’elle assène du haut de son ignorance. Qu’elle aille faire un safari au Kenya -naguère, c’était « tendance » comme on dit dans son microcosme- et elle verrait que le lion est plus balaize que la lionne (même s’il est fainéant). Je crois bien qu’il n’y ait que les hyènes pour faire exception à une distribution des masses corporelles issues de l’évolution chez les fauves.
Sans aller si loin -sans doute pense-t-elle qu’un safari, c’est colonialiste- qu’elle ose se promener dans nos campagnes : le taureau est plus massif que la vache, le faisan que la poule faisane , tandis que chez certains rapaces le mâle (tiercelet) est plus petit que la femelle. Bref : la répartition des masses entre les sexes n’est rien d’autre que le produit d’une lente évolution. L’humain participant de la nature, tout en étant dans l’ambiguïté du Dasein, de l’être, à la fois naturel et culturel , est lui aussi un produit de l’évolution. Que cela ne plaise pas à certains fanatiques prétendant créer un « homme nouveau », c’est un fait, mais c’est pourtant comme cela qu’en a stipulé la loi de la nature. Ce déplaisir des Guides et Illuminés trouve son expression dans les délirantes théories du genre, dans le LGBêtisme et -voilà qui est plus inquiétant- dans l’idéologie transhumaniste, véritable hybris des savants fous prétendant fabriquer techniquement cet « homme-nouveau ». On imagine facilement où de tels délires pourraient conduire notre Espèce.
Bref, la pêche-lune dont je parle, une certaine Priscille Touraille, soi-disant anthropologue adorée de l’Obs(aidé), a bien mérité les moqueries qu’elle s’est attirée par ses propos ridicules et totalement dépourvus de scientificité. « La théorie présentée par Priscille Touraille dans sa thèse de 2005 puis dans son livre Hommes grands, femmes petites (2008) repose sur un nombre préoccupant de sophismes, comporte de nombreuses failles logiques, s’appuie sur une présentation tronquée des mécanismes de la sélection naturelle et est faiblement étayée sur le plan factuel», écrit la jeune Solveig Mineo dans Bellica. Solveig, dont l’article est un bijou, est une jeune femme charmante,
féministe exactement à l’opposé des harpies féministes de gôche genre Priscille qui nous empoisonnent la vie. Ses arguments sont intelligents et frappés au coin du bon sens, écoutez-la dans l’émission Club-TVL sur TV-Libertés.
Nul n’en disconviendra : le soi-disant « féminisme » enragé -de gôche, donc- commence à sérieusement nous courir sur les haricots. Le fait qu’il se prétende progressiste dans une époque où les choix démocratiques sont bafoués par la triste parité lui assure l’oreille des médias de propagande. Le résultat est qu’au moins en milieu urbain, à l’exception des racailles des « territoires perdus », il n’y a presque plus d’hommes mâles véritables. Ces vermines ont réussi à faire de nos jeunes -mâles par le chromosome Y- des tafioles, mazettes androgynes incapables de séduire. Je constate que la maladie n’est pas encore arrivée à ce point dans nos campagnes, mais l’ahurissante judiciarisation du harcèlement , dont personne n’est en réalité capable de définir le champ et le sens, laissant l’interprétation du terme à l’arbitraire des chats-fourrés du syndicat de la magistrature (encore une officine fasciste), y douche quand-même les meilleures volontés. Récapitulons un peu : « théories » du genre sans fondement scientifique, harcèlement par hashtag, écrÉTINure inclusive, matrimoine, fake-news de biologiste de cocktail Tupperware, et même interdiction de la galanterie, tout cela participe d’une œuvre systématique de destruction de la civilisation.
La galanterie, c’était une des gloires de la France, depuis l’âge des troubadours et du roman courtois. Même attachée à la glèbe et partageant, pour cause de misère, le dur labeur de son mari en sus d’être Mère, la femme pouvait être reine dans sa chaumière, dans son village. Quand on est bien élevé, on s’efface devant une dame, on lui tient la porte, on ne lui demande ni son âge ni son poids. Eh bien, figurez-vous que ces attentions sont devenues des marques de sexisme ! C’est ce que clabaude une certaine Claire Serre-Combe, porte-parole de l’association extrémiste « Osez le féminisme ». Le Figaro Madame lui répond de manière fort raisonnable. Car les femmes Femmes sont sensible à ces égards, qu’ils soient de politesse ou de séduction ; pas plus tard qu’hier, une caissière de supermarché m’a remercié en souriant parce que je lui ai évité de manipuler un lourd paquet de bouteille d’eau en lui laissant seulement le soin d’appliquer la « douchette » sur le code-barres. Eh oui, c’est ainsi ! Et croyez-moi, les harpies, je continuerai à avoir ces attentions, et même à payer l’addition au restaurant quand je dînerai avec une dame ou une damoiselle.
Si je devais brosser le portrait de la harpie féministe, outre le fait qu’elle est de « gôche » bobo ou d’extrême-gauche genre femen, je la dépeindrais sous les dehors d’une fausse intellectuelle. J’entends par là une personne à la tête vide à force d’avoir été remplie d’idéologie -le trop-plein a trop bien fonctionné- et surtout la tête mal faite. Imaginez un peu : elle a commencé en classe de première à se gaver de Simone de Beauvoir, peut-être même de Butler, puis ça a continué. Après le bac, elle est entrée en fac de lettres & sciences humaines, est arrivée au Master en sociologie, ou en sémiotique (tout cela, c’est « tendance »), puis elle a obtenu un doctorat, peut-être avec une thèse pleine de vacuité comme celle de Touraille, ou encore une thèse militante en sémiotique dont le thème était l’analyse du discours politique du Front National lors de l’élection présidentielle de (au choix : 2002, 2007… 2017). Elle adore l’Autre Suprême, le tiers-mondiste importé dont elle partage bien entendu la misère imposée par ces salauds de mâles Blancs racistes, sexistes et colonialistes. Et, naturellement, elle n’ose protester contre le sort que ces mythiques néo-prolétaires musulmans réservent à leurs propres femmes : solidarité avec ce qu’on imagine, silence sur ce qui est vrai, réel, contradictoire, et qui dérange.
Ce genre de femme est un repoussoir. Les hommes -les virils- les fuient, parce qu’elles sont insupportables, assommantes, et elles ne trouvent pour les louer que des eunuques entafiolés. Alors elles éprouvent en secret une douloureuse frustration et un dangereux ressentiment. C’est pour cela, je crois, qu’elles s’efforcent à pourrir les relations entre les deux sexes créés par la nature. Elles cumulent les vices et la bêtise des Femmes Savantes et des Précieuses Ridicules. En fait, je dirais que pour la plupart, l’âge aidant, leur ticket naturel de séduction n’est plus valide, s’il l’a jamais été. Et puisqu’elles sont incapables de répondre à l’appel de la nature, elles s’efforcent de nier le naturel en cherchant à imposer une culture de pacotille, celle de l’ambiguïté sexuelle, de la castration du mâle et de l’égalitarisme stupide.
Car que dit la nature ? Quelque chose qui s’est vérifié au cours des millénaires, à savoir que la Femme recherche auprès de l’Homme ce que recherchent la plupart des femelles auprès des mâles de leur espèce : le meilleur choix génétique possible pour perpétuer l’espèce, la protection des petits et du foyer. On aura beau essayer de prouver le contraire, tel est la loi de la nature. On la refond culturellement, bien entendu, mais sans cesser d’y revenir par les biais de la séduction, de l’alliance (du mariage), de la parentalité. On comprend alors que les jeunes femmes ayant les pieds sur terre, droites dans leurs bottes, recherchent les mâles répondant à ce vœu secret, implicite, inconscient, et délaissent les mazettes qu’elles laissent à leurs jeux solitaires de geeks et d’onanistes. Je parlais du ticket périmé : en fait, une Femme est séduisante et active jusque vers 35 ans. Un homme, s’il est suffisamment riche, peut séduire plus longtemps, jusque vers 70 ans -voyez Johnny ou Yves Montand. Au-delà de 35 ans, si une femme n’a pas fondé de foyer, son ticket est périmé, et la plupart des femmes, intelligentes, le savent. Cela paraît dur, mais c’est ainsi. Je ne fréquente évidemment pas les dancings ou thés dansants où se déroulent les bals des déambulateurs, mais je connais les rencontres éphémères que font certains hommes de mon âge avec des femmes solitaires, divorcées, pleines de rancœur et insupportables : c’est invivable. Eh bien ! Je crois que nos harpies féministes savent qu’elles ne font pas le poids devant un corps jeune et une jolie frimousse. Et c’est naturel : l’enfant a besoin d’une Mère jeune pour l’accompagner sur le chemin de l’existence.
Le ressentiment est une chose terrible, il devient criminel lorsqu’il cherche à séparer les deux sexes naturellement complémentaires. Il met en danger et la race et l’espèce. Alors, nous défendrons la séduction et la galanterie, la politesse et l’hommage, contre les idéologies pathologiques. Allez, jeunes Femmes, continuez à être belles, séduisantes, séductibles, on vous adore ! J’en sais quelque chose, si vieux que je sois.
Sacha
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !