2018 sera atroce. Chaque décembre, lorsque nous faisons le bilan de l’an agonisant, nous soulignons le fait, parfaitement constatable, que la situation va s’aggravant au fil de la dégradation de la société. Les ans de peste succèdent aux ans de peste sans que le fléau consente une pause. Inutile de s’étendre sur le bilan d’une année 2017 où un coup d’État ourdi dans le cabinet noir élyséen, exécuté par des juges, soutenu par la propagande des médias à la solde des monopoles, a porté au pouvoir un homme en l’air, férocement européâstre, immigrophile, chef de l’agence France des monopoles apatrides bien que sis à Wall-Street. Le pays est administré comme une entreprise par des bureaucrates déments, l’impôt écrase les classes moyennes issues des années de reconstruction, la paysannerie est détruite, l’industrie disparaît. L’ennemi est non seulement toléré, mais protégé, la partition du pays est un fait.
Nous envions les courageux pays du groupe de Visegrád, rejoints depuis peu par l’Autriche. Eux s’opposent à l’invasion, donc à la destruction des identités et même de notre race que les valets des monopoles s’emploient à effacer de la surface de la planète par ethnocide programmé et métissage forcé. Victor Orbán a bien résumé le sens de la résistance : « Nous ne voulons pas que nos marchés de Noël soient renommés, et nous ne voulons absolument pas nous retrancher derrière des blocs de béton. Nous ne voulons pas que nos messes de Noël soient entourées de peur et de détresse. Nous ne voulons pas que nos femmes, nos filles soient harcelées dans la foule du Nouvel An. » « Ils veulent que nous arrêtions d’être ce que nous sommes. Ils veulent que nous devenions ceux que nous ne voulons pas être. Ils veulent que nous nous mélangions à des gens d’un autre monde », a martelé le Premier Ministre de Hongrie. Mais nous, nous ne le voulons pas !
En France, nous sommes très nombreux à penser comme Victor Orbán, mais nous sommes éparpillés façon puzzle. Nous ne pouvons compter ni sur Wauquiez qui tolère encore dans son parti des xénophiles interlopes comme Pécresse et refuse toute alliance à droite. Nous ne pouvons pas davantage compter sur un FN dont la mère supérieure est incapable de ramener son parti sur la voie de l’identité et de la souveraineté, et qui tout autant que Wauquiez refuse l’alliance à droite. Il n’y a pas de force organisée capable de s’opposer efficacement à l’européâstrie de Macron, à l’invasion et au communautarisme de l’envahisseur. La situation est pathétique avant de devenir tragique, ce qu’elle sera en 2018.
Pourtant, la force patriotique, identitaire, souverainiste, existe. Les ennemis de notre peuple, à commencer par ces technocrates qui fixent le prix de la betterave sans savoir faire pousser les radis, en sont parfaitement conscients et font tout pour la tenir divisée, en essayant de la dissoudre dans le gloubi-boulga de l’idéologie bien-pensante. Nous assistons à une formidable offensive de la « correction politique », et nul doute que celle-ci, dans son hallucinant délire de fabrication de « l’homme nouveau », s’intensifiera encore en 2018. L’ami Depardieu ne manque pas de « tweeter » sur le Jacassin : « Dans la période actuelle, on ne peut plus rien dire, plus rien penser. Si ça continue comme cela, on va bientôt rétablir le délit d’opinion. Des artistes comme Desproges ou Coluche seraient aujourd’hui en prison ou au mieux crucifiés sur l’autel de l’inquisition médiatique. »
En effet ! Le CSA est la Gestapo des médias, et les médias sont le Propagandastaffel. Voyez cette officine fasciste que l’on appelle l’audiovisuel public commandé par l’Ernotte raciste anti-blanc, sexiste, anti-vieux ! Voyez la délation venant des abominables « z’assoc’s » prétendument anti-racistes, voyez les délateurs immondes glaner la moindre parole hors des clous de la croix qu’ils imposent et livrer le moindre libre-penseur aux chats-fourrés du syndicat de la magistrature. Voyez le provignement de la délation, encouragé par les hashtags du Jacassin. Toute cette vérole se fourre partout, occupe les moindres recoins de la scène, de l’administration, des services publics. Voyez ces fanatiques harpies féministes, adeptes de la castration des mâles, de la théorie du genre, de la perversion sexuelle érigée en vertu !
On nous a fabriqué un monde de sycophantes, de pervers, de dégénéré.e.s (héhé !), de fisc spoliateur et extorqueur, de mercantis vendant le hareng-saur au prix du caviar et l’essence au prix du N°5 de Chanel, de voleurs, de harceleurs (des vrais), de djihadistes ! Et l’on s’étonne, après, que de moins en moins de gens se sentent en sécurité dans ce pays pourri ? Ah ! Elle est belle, la république ! Ils ont beau brâmer « liberté-égalité-fraternité », c’est le gros mensonge de la Gueuse qui en deux siècles a détruit l’œuvre que nos Rois ont mis un millénaire à construire. Ne nous étonnons-donc point du résultat de cette enquête de la SOFRES :
« Etonnant, non ? » aurait dit Pierre Desproges ? Si la France est le « pays des droits de l’homme », comme ils disent, ce doit être par antiphrase. La fraternité ? Pour eux, c’est le « vivre ensemble » qui fait pulluler l’ennemi dans des territoires perdus mais que le pouvoir inonde de subsides variés. La liberté ? Ce n’est qu’un vain mot, nous sommes sous un totalitarisme honteux qui ne dit pas son nom. Quant à l’égalité, elle est celle que réalise toute tyrannie, c’est-à-dire que tout le monde est également menacé par le bras séculier des princes qui gouvernent. La démocratie ? Mais elle n’est plus, si tant est qu’elle ait existé quelque moment. Le vote est forcé et truqué. Les « droits-de-l’homme », ce sont non ceux de 1789, mais les saletés idéologiques de la cour européenne des droits de l’homme. Ce sont les « droits » de l’énergumène venu du tiers-monde, c’est le culte de l’Autre Suprême, c’est la célébration du vice et de la perversion.
Vous voyez, tout ce fumier des écuries d’Augias nécessite qu’un Hercule des temps modernes dévie l’Alphée et le Pénée -je dirais Pœnia, la punition- pour l’enlever. Aussi, les petits ruisseaux faisant les grandes rivières, je voudrais que tous les courants patriotiques, résistants, dissidents, identitaires, se rejoignent un jour dans un torrent purificateur qui noierait la république et tous ces vauriens qui nous empoisonnent la vie. Je m’intéresse en ce moment au prototype de l’ethnocide, le monstre engendré par un autre monstre, la Terreur mère du génocide de Vendée. Il n’y a que les républicains pour ignorer que la république est dégoulinante de sang et empeste encore l’univers par sa chair corrompue. Les Vendéens du Roi, « ce peuple de géants » comme le reconnut Napoléon, ont commencé par des révoltes spontanées contre la levée en masse (n’oublions pas que la révolution a aussi instauré le principe des grands massacres qu’ont été ensuite les grandes guerres mondiales) et contre la constitution civile du clergé. Peu à peu, la jacquerie s’est trouvé des chefs, et a mené la vie dure, avec des armes improvisées ou capturées, avec la guérilla intelligente menée par Charrette, aux « bleus » à la solde de la bourgeoisie mercantile. Peu s’en fallut que la Vendée ne gagnât. Voilà qui eût heureusement changé le cours des choses.
Serions-nous devenus des nains à côté de ces géants ? Laisserons-nous les tyrans nous empêcher d’être ce que nous sommes et nous forcer à devenir ceux que nous ne voulons pas être ? S’il en allait ainsi, nous mériterions le mépris de l’Histoire. 2018 sera atroce, certes, mais nous n’avons pas le droit de laisser les choses aller leur train et l’ennemi subvertir nos terres. L’insurrection est un devoir sacré.
Sacha
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !