Rossons les cuistres et cuistrines !

afp2Figurez-vous que chez Jupinet, au palais élyséen, on a croqué la galette des « rois et des reines », selon les illettrés de l’AFP (Agence Française de Propagande). Je ne suis pas croyant, mais étant tout de même de culture occidentale, j’ai entendu parler de l’Épiphanie. Épiphaneia, chez les vieux Grecs, signifiait la compréhension soudaine de quelque chose. C’est à croire qu’en « haut » lieu macronique, on a dû comprendre quelque chose : si c’était vrai, cela tiendrait du miracle. Mais bien sûr, pour les Chrétiens, c’est l’arrivée à Bethléem  des mages qui, paraît-il, auraient détecté dans les astres la naissance de Jésus. On nous raconte cela depuis l’enfance, c’est la légende dorée du Christianisme et l’occasion de bouffer des galettes rassies à la frangipane (pouah !) en buvant éventuellement une gouliche de roteux.

Bon, mais je ne savais pas que les astrologues chargés d’or, de myrrhe et d’encens étaient accompagnés par leurs moitiés. Imaginez l’huissier à la porte de l’étable annonçant : « Leurs Majestés le roi Melchior et la reine Melchiorine, la roi Gaspar et la reine Gasparette, le roi Baltazar et la reine Baltazar de l’Hôtel-de-Ville ! » Cela aurait fait braire l’âne de la Crèche : pas très sérieux, hein ? Attendez : il paraît que dans la galette Rothschild des Macron, il n’y avait pas même de fève ; sans doute voulait-on éviter de couronner le roi/la reine des con.ne.s ? (Hin ! hin ! Comme c’est bon de retourner l’écrÉTINure contre ses suppôts !).

En guise d’épiphanie, on comprend tout soudain que nous vivons dans un monde de débiles mentaux. Les harpies du « féminisme » et les tafioles qui les soutiennent ont fabriqué des monstres, et pas seulement linguistiques. Ces gougnasses gouinasses ont tellement pourri les rapports entre hommes et femmes qu’à la longue notre race est menacée d’extinction. Sales connes ! Heureusement que nous pouvons saluer au passage quelques femmes intelligentes, dont Mme Catherine Deneuve, lesquelles ont réagi dans une tribune (malheureusement publiée dans l’Immonde) contre les hystériques refusant jusqu’à la galanterie masculine, sans parler de la séduction.

L’attitude de ce qu’on appelle « bien-pensance », en réalité d’un fascisme qui pour être mou n’en est pas moins totalitaire, est objectivement ethnocidaire. Car vous le remarquerez : les perverses féministes extrémistes haïssent toute forme, naturelle et sociale, de rapports entre hommes mâles et femmes femelles Pour ces démentes, l’idéal est la fécondation in vitro (PMA) et le recours à des esclaves porteuses (GPA) afin de satisfaire un prétendu « droit à l’enfant » de paires homosexuelles. Pour les gens normaux, bas les pattes et que ça ne se reproduise plus ! Ah, pardon : tout ce que l’on interdit aux Blancs, surtout le viol et la drague, on le permet aux grands oiseaux de couleur importés, sous prétexte que (au choix ou en totalité) ils sont victimes du colonialisme, vivent la misère sexuelle, et pisque c’est dans leur culture y a rien à dire. Eux ont le droit de se reproduire et de se métisser, au besoin par la force. Elles sont comme ça, ces harpies sans cervelle.

Tout cela va son train. On négroïse à tour de bras, chez les anglo-saxons, les pervers d’Hollywood et la BBC te vous ripolinent en noir les personnages des œuvres littéraires du passé : Arthur, le roi Arthur, va bien être issu des minorités visibles, comme Lancelot l’est déjà. Et pourquoi pas Krestos, aussi ? J’apprends que la BBC s’apprête à tourner « Les Misérables » avec un Jean Valjean issu de l’Afrique profonde. Je n’aime pas ce pleurnichard républicain de Hugo, mais tout de même : imaginerait-on qu’au XIXe siècle un policier Français pût être autre chose que Blanc et Français ? Voilà la perversion de la culture et des mœurs, en plein ! Il est vrai que Londres a un mahométan pour maire, alors… On se demande comment les British ont pu avoir le courage de voter le Brexit. Bon, donc « LES MISÉ’’ABLES » sera tourné sur l’île, mais aussi en Belgique et en France. J’espère que des patriotes interviendront afin d’en pourrir le tournage.

Je comprends Alain Delon, et je partage entièrement son point de vue, lorsqu’il déclare à Rottweiller dans Pourri-Match : « je hais cette époque, je la vomis», « Il y a ces êtres que je hais. Tout est faux, tout est faussé. Il n’y a plus de respect, plus de parole donnée. Il n’y a que l’argent qui compte. On entend parler de crimes à longueur de journée. Je sais que je quitterai ce monde sans regrets. » Oui, ce monde occidental en pleine décadence, en plein ethnocide de la race Blanche, est une ordure putride qui pue jusqu’aux étoiles. Mais avant de partir, nous devons penser à ceux de nos enfants qui n’ont pas été contaminés : nous devons les protéger contre toutes les démences de ce siècle. Et, camarades, citoyens, il n’y a pas trente-six solutions ! Pas de votes, car c’est, comme nous le savons tous, de l’arnaque. Seule la violence insurrectionnelle a quelque chance de réussir ; de toute façon, dès que les Bravo-Sierra et November-Sierra des ZAB passeront à l’action, nous aurons la guerre civile. En attendant, nous pouvons graduer la riposte et commencer par la bastonnade. J’ai un fort joli bâton en bois très dur, long de 140mm et de 20mm de diamètre. Il ne me sert pas à marcher, mais il peut s’avérer fort utile pour caresser les reins de c.elles.eux (hin !! hin !) qui essaieraient de m’entraîner dans l’auto-flagellation, la haine de ma race, la pédérastie, la société ouverte de cette ordure de Soros. Bref : j’entends cogner sur des « êtres que je hais ». Et je vous invite à vous munir d’une canne a pommeau lesté, pas seulement pour vous défendre, mais pour rosser et châtier ces êtres dégénérés.

Raymond

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