Secousses

Diablesse et angeletteCommençons par féliciter Karine Lemarchand qui a tweeté au nez des rances ménades, le jour dédié par les imbéciles onusien à La Femme (laquelle ???) :

« En cette Journée de la femme, j’envoie toute ma tendresse aux hommes aimants et respectueux, sans le regard desquels nous ne nous sentirions pas autant femmes #merci #viveleshommes #apaisement. »

Karine s’est déjà attiré la haine des salauds pour n’avoir pas ostracisé Mme Le Pen dans son émission « Une ambition intime ». Bon, il paraît que Karine est un poil gauchiste et qu’elle patricote un peu avec un rappeur plutôt douteux, mais d’abord ce n’est pas sûr, et ensuite on s’en fout : chacun vit sa vie comme il l’entend. Espérons seulement que Karine n’aura pas à se plaindre de son énergumène pour violence. Enfin, bon… Le touitt de Karine est excellent et rappelle à ces vieilles peaux de harengs ultra-féministe que dans la vie, il y a deux sexes complémentaires et que le regard et le respect de l’un vaut pour l’autre. Ça, c’est la muleta agitée au mufle des bacchantes, ce qui a valu à Karine un flot de haine. La bonne vieille haine des laissées pour compte moitié (ou totalement) gouines. Pauvres zombies ridicules, on ne peut même pas avoir de compassion pour leur stupidité incurable.

Au fait, nous n’avons rien à faire des « journées de… », et à part quelques abrutis officiels, personne n’en a à secouer. C’est simplement l’occasion pour les imbéciles de ressasser de sempiternelles idioties creuses, une cœliodoxie comme le dit Vautrin.

Bon… C’est marrant : les Italiens ont très massivement voté CONTRE l’entité européâstre (et non contre une Europe des Nations !). L’entité européâstre, c’est Bruxelles et ses commissaires technocrates non élus et responsables devant personne, c’est un parlement croupion travaillé par des groupes de pression (« lobbies » disent les technoricains), c’est la vieille chancelière démente et son rival, le jeunot Jupinet élyséen, c’est l’ivrogne Junkers, c’est les monopoles, la ruine et l’invasion. De ce côté-là, les Italiens sont servis, merci ! Elle était belle, Pamela Mastropietro, et les barbares l’ont dépecée. Ruine, chômage, invasion, misère, crimes de sang : les Italiens en ont ras la casquette.

Alors ils ont renvoyé le Jupinet local, Rienzi, à ses chères études. Et avec lui le socialisme qui fait tant de mal. L’ami Jovanovic s’est rendu en Italie, lui, le jour du vote, contrairement à ses « confrères » qui se contentent du gloubi-boulga suri de l’AFP (agence française de propagande). Il est enthousiaste. Moi je suis content aussi : après l’Autriche, l’Italie semble réagir contre l’invasion et ses séquelles. Un tel évènement, rappelle Jovanovic, n’est même pas imaginable en France, où le scrutin est uninominal à deux tours, c’est-à-dire contraire à la démocratie qui exige un scrutin à la proportionnelle. Question de stabilité gouvernementale ? Bah ! L’Italie et restée longtemps sans gouvernement, l’Allemagne aussi ; ce qui montre qu’un gouvernement n’est peut-être pas si indispensable qu’on le croit. Chez nous, avec un président élu au suffrage universel, et chef des Armées, la stabilité est suffisamment fondée pour que soit protégée la continuité de l’État et assurée la Défense. Pour le reste, il n’y aurait théoriquement aucun inconvénient à élire le parlement à la proportionnelle. Hé, Macron, tu entends ? (Réponse élyséenne : « parle à mon cul, ma tête est malade ! » « Eh bien, dis-je, vas en pets ! »)

Revenons à nos Italiens, qui n’ont fait que le plus facile. Naturellement, le machin européâstre, qui s’efforce de minimiser l’affaire italienne, notamment en ordonnant à ses médiastres de se taire, est à la manœuvre. Car, en plus des quatre pays de Visegrád, de l’Autriche et même des provinces Baltes qui ne veulent pas condamner la Pologne, c’est une banderille de plus plantée dans le flanc du taureau vicelard qui enleva Europe. Donc on va jusqu’à magouiller avec le Vatican (là, c’est du joli ! Il faut dire que le Bergoglio islamophile est a-do-ré par les européâstres). Il faut s’attendre à toutes les menaces, tous les chantages, toutes les corruptions contre l’Italie afin que rien ne change.

Il serait catastrophique que les vainqueurs de cette élection s’endorment sur leurs lauriers. Je ne sais pas trop ce que vaut le mouvement Cinque Stelle, vu de loin ça semble chèvre-chou-loup ; les deux droites ne suffisent pas à faire une coalition ; mais ces trois entités sont normalement contre la politique d’invasion et contre les européâstres. Par conséquent, une élection c’est comme au rugby : on marque un essai, mais il faut le transformer. Et pour cela, il ne faut pas du tout faire confiance aux chefs de partis ; l’exemple de la Grèce l’a prouvé. C’est aux Italiens de pousser les « leaders » l’épée dans le dos pour imposer une alliance solide et un gouvernement décidé à régler les comptes avec l’entité européâstre et sa politique d’ethnocide migratoire. Sinon, « à partir de dorénavant ce sera comme d’habitude », comme disait un ministre. Et ce serait bien ennuyeux pour toute l’Europe, qui a un besoin urgent de chamboulement puis de reconstruction sur des bases nationales et identitaires.

Raymond

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