Canards et coin-coins

Ce n’est pas parce qu’une feuille de chou comme le New-York Times s’efforce de démontrer que la personne vraisemblablement agressée par Déballe-Son-Kiki serait une vilaine gueuse trempant dans des affaires louches, qu’il s’agirait d’une vérité première et tellement irréfutable que le tribunal devrait la prendre pour parole d’Evangile et prononcer la relaxe pure et simple du prévenu.

C’est cependant ce que semblent penser -et qu’affirment du reste à grands sons de trompe- les journalistes gauchistes de France-info et, naturellement, les zozialistes strauβ-kahniens. On espère sans doute le retour du Messie, pour mettre fin au combat des petits chefaillons de Solférino et assurer à la mondialisation du grand capital la victoire à la prochaine présidentielle. En fait, le capital  financier apatride aurait deux champions de la forfaiture s’affrontant dans un pseudo-Kriegspiel qui en mettrait plein la vue au seigneur Peuple, une fois de plus le cocu magnifique.

Sauf que l’on sait maintenant, par d’autres voies, que l’incontinent Déballe-Son-Kiki n’est pas digne de gouverner, lui qui n’a pas d’empire sur lui-même. Enfin, espérons que les juges américains ne se laisseront pas duper par ce qui apparaît nettement comme une kolossale manoeuvre ourdie à grands renforts de millions de dollars !

Raymond. 

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