Les climatolâtres vont attraper un chaud-et-froid !

Hé ! La Thunberg ! Hé ! La Nouvian ! Vous savez quoi ? Le glacier du Groenland Jakobshavn Isbrae est en train de grossir vite fait ! Associated Press l’annonce, et je trouve sur un blog climatosceptique des détails intéressants, je cite :

« La NASA vient de constater que l’un des glaciers de la Terre qui a rétréci le plus rapidement grossit à nouveau.

28 Mars 2019 , Rédigé par motarcs

« Sale affaire » pour les adeptes réchauffistes disciples de la religion du CO² humain seul coupable du « réchauffement » : Selon une nouvelle étude de la NASA, un glacier du Groenland, qui était auparavant l’un des glaciers qui rétrécissaient le plus rapidement de la planète, est en pleine croissance. L’étude, publiée lundi dans Nature Geoscience (1), rapporte que le glacier Jakobshavn Isbrae est en croissance depuis 2016.

Le glacier du Groenland Jakobshavn Isbrae est gigantesque. Il fait environ 60 km de long et près de 2 km d’épaisseur. Il est célèbre parmi les glaciers, car il a coulé le Titanic.

Dans l’étude récente de la NASA, ce glacier de Jakobshavn était l’un des glaciers qui rétrécissent le plus rapidement sur Terre. Et il est de nouveau en croissance.

• Vers 2012, ce glacier reculait d’environ 2,5 km et il continuait à s’amincir de près de 40 mètres par an (2).
• Depuis 2 ans, il grossit et épaissit à peu près à la même vitesse.
• Ala Khazendar, un des glaciologues de la NASA chargé du projet Oceans Melting Greenland (OMG), a mentionné que l’eau de Disko Bay, où Jakobshavn frappe l’océan, est environ 3,6°C plus froide qu’il y a quelques années. C’est d’autant plus important qu’environ 90 % de la chaleur piégée par les gaz à effet de serre se retrouvent dans les océans.
• Jason Box, spécialiste des glaces et du climat au Groenland, qui ne faisait pas partie de l’étude, a déclaré à Associated Press que cette découverte « était en quelque sorte une surprise ».

« On s’était habitués à une sorte d’emballement du système », a dit Box, qui a ajouté que ce glacier est « sans doute le plus important glacier du Groenland parce qu’il rejette le plus de glace de l’hémisphère nord ».

« Au début, on n’y croyait pas. Nous avions à peu près supposé que Jakobshavn continuerait comme il l’avait fait au cours des 20 dernières années », a dit M. Khazendar.

Plus notablement, l’étude a établi un lien entre la nouvelle croissance du glacier et le refroidissement des eaux océaniques dans la baie de Disko, sur la côte ouest du Groenland.

Dans le détail, la revue scientifique indique que :

L’altimétrie aéroportée et l’imagerie satellitaire montrent que depuis 2016, Jakobshavn progresse à nouveau, et il s’épaissit.

Nous faisons le lien entre ces changements et le refroidissement simultané des eaux océaniques de la baie Disko qui débordent dans le fjord glaciaire Ilulissat.

La température de l’océan dans les 250 m supérieurs de la baie s’est refroidie à des niveaux jamais vus depuis le milieu des années 1980.

Les observations et la modélisation retracent l’origine de ce refroidissement à des pertes de chaleur hivernales anormales dans le courant frontalier qui circule autour de la moitié sud du Groenland.

1. Nature
2. Sky met weather

(Fin de citation)

Dis-donc, Nouvian, les gars de la NASA seraient eux aussi complètement « dingues », selon toi ? Je parie que tu ne crois pas que la NASA a envoyé des hommes marcher sur la Lune ?

Bon : naturellement, amis lecteurs, vous ne trouverez guère trace de l’information dans les médias du Propaganda Staffel : pour eux, il ne faut surtout pas écorner le dogme du Réchauffement, encore moins celui, concomitant, du diable CO₂. Preuve que la climatolâtrie est une religion d’imbéciles pilotés par des arnaqueurs ⁽¹⁾.

Une hirondelle ne fait pas le printemps, dit-on, mais enfin depuis 1998 un tas de phénomènes, de mesures aussi, montrent que les ordinateurs du GIEC fonctionnent à la politique et non à la logique.

Raymond

⁽¹⁾ Tenez, j’ai suivi sur RT l’émission C’EST CASH, animée par l’adorable Estelle Farge et Olivier Delamarche, consacrée à l’euro. Eh bien, un type se qualifiant d’ « économiste » a trouvé le moyen de faire entrer « le climat » dans la problématique monétaire. Il fallait le faire !