Chanteur ridicule et rappeur raciste

bidaleOuf, soulagé ! L’énergumène fémelin Bilal n’est que quatorzième à l’Eurovision. Il paraît que les téléspectateurs avaient élu la Norvège, mais que les gentils organisateurs n’avaient pas trouvé la chanson norvégienne assez politiquement correcte. Logique en ce siècle pervers. On me dit aussi que des pro-palestos auraient essayé de semer le boxon. Bon, je ne fais que répéter ce qu’on raconte, je n’ai pas la télévision et l’aurais-je, je n’eusse pas perdu du temps à regarder un spectacle navrant. Navrant, parce que la correction politique pourrit tout et parce que la chanson est tellement pérave de nos jours que ce serait un supplice d’écouter des braillements de chats la queue prise dans une porte.

Soulagé aussi parce qu’imaginez un instant la victoire du/de la Bilal : le monde aurait associé la France à une perruche non-genrée. Mieux : « on » aurait invité.e (yark ! yark !) l’individu.e (si, si !) à l’Élysée, un Macron les yeux brillants l’eût décoré(e) de la Légion d’Honneur. Sur ce point, la Légion d’Honneur, on la donne depuis des lustres à tellement d’antimilitaristes, de croquants, d’escrocs, de pédales, que le pauvre Empereur doit se retourner dans son sarcophage aux Invalides ! De fait, ledit/ladite Bilal cochait toutes les cases de la bien-pensance : tarlouze, importé d’Afrique du Nord, chansons débiles, et que sais-je encore. Donc il représentait les LGBT-machinchoses et surtout pas, surtout pas ! la France. Oui, je sais : la France est à la ramasse, mais tout de même il doit bien y vivre encore des gens dignes, non ?

Bref, le « grand n’importe quoi », comme aussi proposer la gamine narvalo Greta pour le prix Nobel de la paix, naguère donné à l’Obama avant même qu’il ait commencé à méfaire. Question « chanteurs », je n’ose même pas décerner ce titre à l’ordure dénommée Nick Conrad. Cette saloperie récidive dans l’incitation au massacre des Blancs. Après, on viendra nous dire que le racisme anti-Blancs n’existe pas et que les outrances verbales et picturales de l’infect rappeur sont excusables parce que ce serait « de l’art ». De l’art ? « Mon cul ! » dirait Zazie. C’est bel et bien une incitation à la haine raciale, et la sous-humanité des quartiers de non-droit l’entend bien ainsi. Après avoir été symboliquement rappelé à la loi -5000 € d’amende- pour inciter à pendre les Blancs et massacrer leurs enfants, la vermine Nick Conrad remet le couvert. Chiche qu’il n’aura encore qu’une peine symbolique. Il mérite d’être coxé par les patriotes et de recevoir une bonne râclée. Haro & bastonnade !

Raymond

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