Lorsqu’il arriva la saison des trahisons et des prisons

traitreL’énergumène Sarkozy, qui fit voter la loi constitutionnelle n° 2007-238 du 23 février 2007, a supprimé la notion de haute trahison. Le prétexte était le suivant : la notion de haute trahison n’est pas clairement définie. Pardi ! Comme s’il était impossible de lui donner un contenu juridique précis ! Depuis, l’article 68 (nouveau) de la Constitution raconte que « Le Président de la République ne peut être destitué qu’en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ». C’est encore moins définitoire que la notion de haute trahison. Prudent, Morfalou !

Conservons cette notion de haute trahison, elle n’a rien d’obsolète et pourrait resservir quelque jour. Il est vrai que l’énergumène en question a effectivement commis des actes de haute trahison. Sans parler de ses compromissions avec le Qatar et la Libye (qui relèveraient plutôt de la prévarication ou de la concussion), la violation de la volonté populaire exprimée par référendum en mais 2005 constitue bien un acte de haute trahison, puisqu’elle a asservi la France aux diktats de l’UE, la privant définitivement de sa souveraineté. Complices : 3/5 du congrès parlementaire. Cette même privation de souveraineté résulte également du retour de la France dans l’organisation militaire de l’OTAN. La dévastation de la Libye, avec la complicité du Britannique Tony Blair, par sa conséquence présente -l’invasion mettant en danger notre peuple- et peut-être par ses motifs cachés faisant actuellement l’objet d’une enquête judiciaire relève du même crime.

Comment qualifier autrement que de haute trahison des actions délibérées de destruction ou de vente à l’étranger de secteurs stratégiques de l’économie nationale ? De ce crime, l’énergumène Macron est sans nul doute responsable. Souvenons-nous de la vente du secteur Énergie d’Alstom à l’Américain General Electrics : nos centrales nucléaires, nos sous-marins, notre (hélas) unique porte-avion dépendent pour leur fonctionnement du bon-vouloir des États-Unis. Une analyse fine des abandons de secteurs stratégiques qu’il serait trop long de développer ici établit très clairement que l’étranger, singulièrement les États-Unis, dispose d’un formidable moyen économique de pression sur une France qui aurait des velléités d’indépendance et de non-alignement. Autres exemples de haute trahison, bien analysés par les patriotes : le traité Franco-Allemand d’Aix-La-Chapelle où Macron a donné toutes les garanties à l’Allemagne en ne recevant rien en échange -nous irions jusqu’à mettre nos armes à la disposition de l’Allemagne et Macron est prêt à brader le siège de la France au Conseil de Sécurité de l’ONU- et le traité de Marrakech ouvrant les vannes au torrent invasif appelé « immigration ».

Nul doute que l’ardélion (1) de l’Élysée nous en réserve d’autres ; pourquoi se gênerait-il, puisque la haute trahison n’existe plus dans la Constitution ? Certes, mais tout cela nous montre que la haute trahison, la forfaiture, la prévarication et la concussion, même si elles sont aujourd’hui déniées par les juristes, n’en continuent pas moins d’exister, d’être pratiquées systématiquement par les gens au pouvoir, et d’être ressenties plus ou moins consciemment dans l’esprit et dans la mémoire du Peuple, appelant à la punition de ceux qui les commettent.

L’exemple venant de « haut », en fait de très « bas » moralement, la trahison est banalisée, signe évident de décadence d’un pays. Elle ne le fut pas toujours, tout dépendant les circonstances historiques. Par exemple, des personnages de la littérature ou de l’histoire, tels Ganelon, le connétable de Bourbon, Iago, Laval, sont légitimement honnis. Mais de nos jours, elle prolifère ; le traître et le sycophante (2) tiennent le haut du pavé, ont pignon sur rue, bénéficient du laxisme judiciaire et même sont encensés, tel Cédric Herrou, passeur de migrants illégaux. Le Peuple, qui ne perd pas le nord, déteste légitimement les ONG contribuant à l’ethnocide des Européens autochtones, appelle tout aussi légitimement la Mort sur la tête de Soros et des cancrelats de l’Open Society, traîtres à notre civilisation.

Un exemple récent d’apologie de la trahison vient de nous être donné par l’énergumène Bayou, nouveau Führer de EELV. Ce décérébré a tenu à remercier ses parents de lui avoir donné « le goût de l’engagement et de la désobéissance. » Certes, il est engagé dans un totalitarisme de pastèque stalinienne visant à encager les citoyens par la volonté démente des escrologistes thermolâtres (3). Il désobéit en attendant de devenir un jour ministre ou président, lorsqu’il sera en mesure de faire obéir un peuple aux oukases de sa bande de voyous. Mais, plus grave : « ma mère était porteuse de valise pour le FLN algérien et évidemment si je suis là devant vous, c’est un bon mélange des deux, radical et festif ». Est-ce de la niaiserie ou du cynisme ?

On peut avoir les idées que l’on veut, mais trahir son pays au profit de l’ennemi est sans conteste l’acte le plus vil qu’il soit. De ce point de vue, la bande des « porteurs de valises », les réseaux Jeanson et Curiel, constituent un ramassis d’immondes traîtres dont l’Histoire gardera l’infâmie en souvenir. Je renvoie ceux qui ignorent ou ne savent pas grand-chose sur cette abomination à la lecture du numéro spécial de Valeurs Actuelles (4). Naturellement, toute la soi-disant intelligentsia, évidemment de gôche, a pris le parti du FLN. Vous trouverez, page 33 de cet hors-série, la liste de quelques-uns de ces idiots utiles -tous n’étant pas « porteurs de valise » – qui ont contribué à installer à Alger un régime islamo-militaire tyrannique dont aujourd’hui le peuple Algérien aspire à se débarrasser. Les réseaux en question transportaient en Suisse ou en Espagne l’argent extorqué aux travailleurs arabo-berbères travaillant en France. Leurs agents constituaient une cohorte interlope et bigarrée de trotskystes, chrétiens « progressistes », puis progressivement communistes, socialistes et ainsi de suite. On les appelait, justement, les FL, « frères larbins ». On croirait la liste des invités à une émission politique de la télévision publique de l’époque macronienne ! Leurs descendants constituent aujourd’hui le soi-disant « camp du bien ».

L’argent ainsi convoyé servait à acheter des armes, fabriquer des bombes, à tuer des Français de souche ou d’origine musulmane, dont des soldats de notre Armée grossie du contingent rappelé. « Peu importe !, leur disait leur conscience dévoyée, puisque notre cause est juste ! » L’idéologie gauchiste sert à justifier tous les crimes, il en va encore ainsi de nos jours. Des salauds continuent à glorifier ces traîtres, les Maillot, Audin, Iveton, Alleg, et leurs thuriféraires tels Sartre et Fanon. Vérifiez, SVP.

Bref : l’énergumène Bayou et la majorité de ses affidés sont les dignes héritiers de tous ces intoxiqués d’idéologie ortho-humaniste (5) qui ont trahi la France et contribué à tuer des Français. L’Enfer, on le constate, est pavé de bonnes intentions folles. Voilà qui éclaire les escrologistes d’une lumière sinistre, mais aussi voilà qui prouve par les faits que la trahison est devenue tellement courante depuis 1940 qu’elle est banalisée. Ce qui ne lui enlève rien de son caractère criminel.

 Résister, c’est s’opposer par tous les moyens à la trahison, quelque forme qu’elle prenne. Soljenitsyne évoquait, dans l’Archipel du Goulag, la manière dont les prisonniers politiques se débarrassaient des mouchards : ils les envoyaient ad patres. Les élections étant truquées, la « justice » étant de leur côté, ne devrions-nous pas songer nous aussi, pour le bien commun, à recourir à des méthodes expéditives contre les sycophantes et les traîtres ?

Sacha

(1) Ardélion : Importun faisant sans cesse des promesses qu’il ne tiendra évidemment pas. Dans l’article de Vautrin, il est synonyme de « bon à rien ». (NdlR)

(2) Sycophante : en Grèce antique, ce mot désignait ceux qui dénonçaient les voleurs de figues. Devenu synonyme de « mouchard ». (NdlR)

(3) Thermolâtre : adorateurs du réchauffement climatique. Leur Grande Prêtresse est une ignorante autiste appelée Greta. (NdA)

(4) Valeurs Actuelles Hors Série n°21 : Algérie Française, les vérités interdites.

(5) Ortho-humanistes : idolâtres des « droits-de-l’homme » (NdlR)

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