La fenêtre d’Overton

Bitaura cannibale (small)Nous vivons dans une société de tarlopes, tu le sais comme je le sais. Tu en souffres comme j’en souffre. C’est forcé dès que des imbéciles font passer les « droits-de-l’homme » avant le bien commun. Conséquence chacun y va de son clabaudage, on se croit le nombril du monde alors qu’on n’est qu’une foutue larve genre Yann Barthès. Je t’ai expliqué la dernière fois comment la tarfiotte (1) a pu devenir l’alpha et l’oméga d’une société pérave, ça a commencé par les dingueries des prétendues lumières succédant au règne du lourd Louis XIV. Quand il n’y a pas de Roi pour manier la trique, de petits esprits se mettent à flatuler jusqu’à la démence. Mon vieux Blaise avait raison, au Grand Siècle, d’écrire dans ses Pensées : « trop de lumière obscurcit ». On perd tout discernement. Des gougnafiers bousculent les tabous et c’est l’enculade en couronne.

Le pire, c’est que la chienlit est désormais parfaitement pilotée par de sales fils de pute qui tiennent le haut du pavé. J’ai déniché chez Polémia une vidéo instructive à propos de la fenêtre d’Overton. Il s’agit non pas de communication mais bien de manipulation, à savoir : comme rendre socialement acceptable ce qui jusque-là ne l’est pas. Autrement dit : comment faire sauter les tabous. Je reviendrai sur la question, en attendant mate la vidéo. Attention : si tu n’es pas capable de lire sans gerber les Recettes Barbares de l’ami Marsault et de son complice Mars (2), ferme les yeux sur une scène assez gerbante figurant dans la démo.

Vu ? Tout y est expliqué, la fenêtre d’Overton est un curseur qui se déplace selon les étapes d’un plan bien fumelard dont le résultat est de pourrir une société. Comme t’es pas idiot, puisque tu me lis, tu as pigé que cette foutrance correspond très exactement, par exemple, à l’entreprise de banalisation des perversions : effacement du sexe biologique, ultra-féminisme, fiottisme intégral, charia et autres cochonneries. T’aura par exemple fait le lien avec les saloperies actuelles de la PMA-GPA. Aux temps où l’on savait vivre, les pervers étaient livrés au bûcher après un procès en règle – et non pas « sans autre forme de procès » comme le diraient les tarés gauchistes, car à l’époque on ne déconnait pas avec le droit. Et puis on les a psychiatrisés. C’était le commencement de la culture de l’excuse, un malade mental étant supposé n’avoir pas tout son discernement. Mais le boulgi-boulga psychiatrique ne suffisait pas, d’ultra-salopes comme Foucault disaient que l’enfermement à l’asile était contraire aux fameux « droits ». Total : en 1973, sous l’influence de groupes de pression, l’association des psychiatres amerloques a rayé Sodome et Gomorrhe de la liste des perversions. Ça devient « socialement acceptable ». Banalisé. Point de départ d’un processus foutraque qui a pour étapes : le « PACS », le « mariage pour tous », maintenant «la « PMA », demain la « GPA », toutes ces saloperies au nom du « droit à ». Mon cul ! C’est du nombrilisme de merde, de l’égoïsme de tafiole, assorti de fausses « lois » qui punissent ceux qui, parce qu’ils gardent les pieds sur terre, ne sont pas d’accord. Le « législateur » qui pond des oukases aussi dégueulasses mérite la malemort. Car ce connard qui prétend nous courber sous sa férule de pédale insane n’est pas capable de considérer le bien commun, celui de toute la société, celui des enfants à naître d’une perversion des mœurs et de la technique. C’est un crime.

Ne te casse-pas la tête, la vidéo semble caricaturale ; en réalité, elle ne l’est pas, et il y a déjà des ordures prônant en loucedé un retour au cannibalisme sous prétexte de surpopulation donc d’insuffisance des ressources (3). Et il y aura bientôt une flopée d’intellectuels, des cloportes ineptes et illettrés se prétendant élite, pour soutenir une abominable transgression. Comme ils n’ont cessé de le faire depuis des lustres à propos d’autres infâmies. Faut bien se gaffer que le tabou est un interdit social ou religieux indispensable à toute société. Chaque société a ses tabous, et cela contribue puissamment à son équilibre. S’attaquer au tabou, c’est porter atteinte à l’ordre social, c’est un acte de profanation, de subversion qui met tout le monde en péril. Le rombier qui profane un tabou est coupable d’hubris, c’est en réalité un criminel. Jadis, aux temps où l’on savait vivre, cet hurluberlu tarlope était puni de mort. Après un procès en bonne et due forme, on le pendouillait, on l’éviscérait encore à-moitié vivant, on lui cramait la tripaille puis on le dépeçait en balançant ses morceaux de barbaque satanique aux clébards ou aux gorets qui traînaient dans le coin. Aujourd’hui, on l’invite sur les plateaux de télé, on rigole avec lui des ploucs qui ne sont pas d’accord. La fenêtre d’Overton se déplace jusqu’à ce que la monstruosité devienne « loi ». Franchement, j’aimerais que l’on revienne au bon-sens médiéval.

Tu comprends qu’une société à ce point pervertie par les « droits à » imposés par un lavage de cerveau n’est pas capable de résister aux bouffeurs de loukoums ! Eux, ils ont des tabous, ils ont un Dieu qu’ils craignent, ils ont de la testostérone à revendre. En face, ils trouvent des lopettes inutiles, des travailleurs sociaux ( !) qui les gavent d’argent public en espérant, ces cons, qu’ils se tiendront tranquilles et s’abstiendront de les empaler le moment venu. Il n’y a plus guère de braves capables de répondre « Deus vult ! » l’épée au clair à un énergumène qui braille « Allahu akbar » sabre au clair. Alors, il serait temps de réagir, de dresser bûcher et gibets pour se débarrasser de ce gibier faisandé de la bien-pensance et de rétablir l’ordre social du bien commun.

Raymond

PS : je sais parfaitement que ce que j’écris est susceptible de me valoir au moins vingt procès. Je m’en fous, je ne reconnais pas les prétendues « lois » de la république et je conchie les sycophantes et leurs chats-fourrés.

(1) « Tarlopes » et « tarfiotte », comme « fiotte », « tarlouze », sont des termes génériques ne visant pas exclusivement les pervers sexuels. Ils désignent tous les « progressistes » à cervelle de piaf, épais comme des cure-dents, dont les cervicales partent en digue-digue à la moindre mandale, qui n’ont jamais reçu ni donné de bourre-pifs, mais qui ramènent quand-même leur gueule en se croyant plus intelligents que les gros ploucs périphériques. Cette engeance va de l’adepte des théories du genre au climatolâtre en passant par le fanatique du « vivre ensemble ». La palette est vaste ! (NdA)

(2) Marsault et Mars, Les Recettes Barbares, chez Ring.

(3) Ce qui ne les empêche pas de déblatérer contre Malthus, ces cons ! (NdA)

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