Vrai peuple

apeComme l’ami Vautrin est en ce moment fainéant comme une loutre, je reviens sur une conversation qui me chantisque. Tu t’en souviens peut-être, les neveux de Vautrin nous avaient asséné que le peuple est con. L’aîné vit au contact des bobolchos de la télé (je pense tout de même qu’il est lui-même, heureusement, très nettement plus évolué qu’Hannouna, Barbier ou Caron), et racontait que la preuve de l’ultra-plouquitude du peuple s’évalue au niveau intellectuel des Jennifer et Kévin qui téléphonent en espérant, ces gueux, « passer à la télé ». Là, Vautrin et moi avons tardé à réagir ; nous aurions dû rétorquer que s’il est vrai que Jennifer, Cindy, Kévin ou William sont de sombres crétins, la preuve en étant qu’ils n’ont que la télé pour seul horizon et constituent donc un gibier de choix pour les tarlopes de l’audiovisuel aimant rien mieux que de se moquer des gogols en faisant passer le putain de message macronique suivant lequel le peuple c’est de la sous-merde (« tenez, regardez-le dans la télé-réalité »), il ne faudrait pas en conclure hâtivement que ces trisomiques sont représentatifs du peuple. C’est comme dans les sondages, un infime échantillon de 1200 de guzmen, quoi qu’on en dise, ne peut pas représenter des dizaines de millions de rombiers.

Le malgré tout télévisuel Onfray dit autre chose dans son dernier bouquin(1) et explique à Valeurs Actuelles que le peuple c’est « l’ensemble des gens sur lesquels le pouvoir s’exerce alors qu’eux n’en exercent aucun qui soit notable »(2). Moi, je vois cela autrement, même si j’admets qu’Onfray a raison vu d’un certain côté. Tu peux y aller, il traîne toujours une bande de ruffians prêts à agir contre le peuple, c’est vrai, mais rien ne se ferait sans lui. Le gros triso qui te fait serf crèverait vite fait s’il n’avait pas des bipèdes pour le nourrir, avec le fric qu’il leur extorque, avec ce qu’ils produisent. Macron ou Khamenei, Merkel ou Kim-Jong-il, sans leur peuple, ne seraient rien de mieux que les fils de pute qu’ils sont au vrai, incapable de faire pousser un chou. On peut en dire autant des phasmes métrosexuels à trottinettes qui font les bégueules parce que d’après eux le peuple pue la sueur et ne pense pas recto-humaniste. Demande à une de ces mauviettes d’élever, saigner, plumer, éviscérer, cuire le poulet qu’on lui sert même sous forme Sodexo, tu peux être sûr qu’elle commandera du boulgour ou du fumier tofu plutôt que de se manier le cul. Ça préfère la carence alimentaire végane à un peu de testostérone.

Tu comprends que cette racaille a tout intérêt à mettre le peuple en PLS : qu’il marne pour nous, qu’il nous nourrisse, qu’il obéisse à nos lois de papier, qu’il tremble de frousse devant un bureaucrate épais comme un cure-dent, qu’il roule en caisse électrique, qu’il trie consciencieusement ses détritus, qu’il consomme toutes les merdes qu’on lui propose, et qu’il raque, surtout, qu’il raque ! et tout ira bien. Donc on fait tout pour rendre le peuple idiot. S’il se rebiffe, on lui envoie des autistes robocops pour le civiliser à coups de tonfa, de GLI-F4 et de LBD. Le Grand éborgnement, quoi ! Je ne dis pas que le Peuple est un génie. En tous cas, globalement, il est moins taré que les « élites » d’aujourd’hui nourries de droits-de-l’homme, théories du genre, détestation de sa race et de sa culture, métrosexuelles floues, nombrilistes et errantes comme le chien crevé au fil de l’eau, produit dégueulasse et embusqué de Sciences-Pô, de l’ENA, des écoles de commerce et d’universités auprès desquelles la Sorbonne du temps de Rabelais passerait pour un incubateur de Prix Nobel.

Du temps de Vautrin et du mien, on apprenait à l’école quelque chose d’utile. Il y avait toute la gamme des intelligences style logos, du premier de la classe au cancre radiateur-fenêtre qui n’a rien à branler de la règle de trois, ne comptons pas l’idiot du village. Bref : on apprenait à se tenir, l’instruction parvenait à contenir la bêtise dans des limites acceptables. Ça faisait un peuple, vachement hétérogène, mais cohérent tout de même, pas si niais qu’on le voudrait aujourd’hui. Dangereux pour les margoulins, ça ! Alors on a balancé des Lang, Hamon, Belkassine Belkacem… au Ministère, et l’on a introduit le macramé, les conneries sur le genre, le respect indu aux tarlouzes, l’antiracisme, le vivrensemble , le « réchauffement » et autres sagouineries de gogols, en foutant l’instruction de base et l’Histoire à la poubelle. Résultat : des Jennifer qui rêvent d’être Nabila, des Kevin qui se voient en Lionel Messi, des cortèges de phasmes asexués ou castrés défilant derrière la prêtresse narvalotte Gretâne pour combattre un phénomène naturel de réchauffement qui finira dans quelque 2000 ans, à la fin de l’interglaciaire. Cela ne veut pas dire que c’est ça, le peuple ! Il existe encore des artisans, des cultivateurs, des lettrés, des matheux, dans le Peuple, des gars  et des filles qui refusent cette société de limaces et son art de dé-vivre, et c’est sur eux que nous comptons lorsque viendra l’heure d’exploser les crânes d’Halloween des castes dirigeantes pour refaire une civilisation.

Force est de constater que l’obstination des métrosexuels à abêtir le peuple porte quelques fruits empoisonnés. Le pays recule chaque année au PIS. Pire, le QI moyen tend à baisser (3). Il y a à parier que c’est le résultat d’un double forçage : les politiques de crétinisation, l’invasion de populations de culture archaïque. Une certaine résistance à ce double forçage existe cependant. C’était pas prévu, chez les phasmes, qu’une enquête menée de 2007 à 2016 sur un échantillon cette fois sérieux de 30 000 élèves (4) révèlerait que les Français d’origine Asiatique -et singulièrement les filles- dominent largement le lot et qu’en queue de peloton on trouve la bande à Bilel, celle à Recep Tayyip et celle à Traoré, donc les descendants de maghrébins, de Turcos et de « subsahariens ». Parions qu’il n’y a pratiquement pas de jeunes Asiatiques dans le cortège des phasmes métrosexuels défilant derrière Gretâne ? Putain ! Ça n’est pas politiquement correct, ça. Et ça recoupe la carte mondiale de distribution du QI !

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C’est peut-être pour ça qu’en dehors du Figaro et de VA on évite d’en parler, qu’Apathie et Barbier vont probablement convoquer des « experts » pour allumer des contre-feux si ça vient à se répandre sur le net et que les « sociologues » attristés et inquiets comme des lièvres insistent tant sur l’influence du milieu familial, des traditions sociales et autres pour expliquer que ma foi, quand on vit de la CAF, du chômedu, qu’on est « stigmatisé »  et qu’on a été  bercé trop près du mur… ça ne le fait pas.

Il y a un peu de ça, mais personne n’ose envisager une autre corrélation, un autre forçage, génétique, celui-là, qui se lit très bien dans un arbre phylogénétique des Sapiens, comme ci-dessous :

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Je ne commenterai pas cet arbre, il parle tout seul, il y a des preuves plus récentes de l’existence de différences génétiques entre les races (2008) :

groupes-humains-smallet même si l’on ne connaît pas encore tous les gènes configurant le cerveau, ni la manière dont cela se bidouille dans la matière molle cérébrale une fois sortie de chaîne et rodée pour la route, on constate d’évidentes distances génétiques entre ces races dont on nous dit qu’elles n’existent pas ou, lorsque la génétique nous force à convenir de leur existence, on insiste pour déclarer que l’on n’établit aucune hiérarchie entre elles. Ben voyons !

Mais, au fond, cela n’a pas d’importance, on ne parle là que de moyennes, je me fous de la pigmentation de l’enveloppe ou si une blanche vaut deux noires ou l’inverse, et puis tout le monde ne peut pas être Du Guesclin, monsieur Albert, Nicolas Tesla ou Mike Tyson. La vaillance peut se retrouver partout sur la boule ronde, c’est juste une question de densité variable par millier de rombiers. J’ai mille fois plus de respect pour un Samouraï qui se fait crever conformément au code du Bushido ou pour un Masaï qui affronte Simba à la lance que pour un Macron planqué dans son bunker quand cent Gilets Jaunes désarmés arrivent à deux cents mètres de l’Élysée. Je veux bien d’un peuple où il y aurait des savants (des vrais, pas ceux du GIEC qui bidouillent des ordinateurs fous en buvant du Coca-Cola !) avec aussi des mecs capables de se tailler des escalopes de mammouth au poignard en silex, d’exploser la gueule à un Abdesselam attaquant le Bataclan, d’embrocher un lion avec une sagaie, de délivrer le tombeau du Christ, de bâtir des cathédrales et des fusées martiennes, de décorer la Chapelle Sixtine, un peuple de Titans suant l’intelligence, le talent et la testostérone, plutôt qu’un peuple de phasmes métrosexuels tremblant comme une fieffée tarlope devant de lâches salopes qui le pillent et le forcent à être politiquement correct. Je crois qu’il existe, même s’il roupille encore envapé par la république, le socialisme, l’école socialiste et la propagande des tarfiottes. Qu’il se réveille pour balayer la racaille !

Raymond

(1) Michel Onfray, Grandeur du Petit Peuple, chez Albin Michel (NdlR)

(2) Valeurs Actuelles du 9 janvier 2020 page 21 (NdlR)

(3) Bon, le QI n’est pas une mesure de l’intelligence, rien qu’un thermomètre bricolé dans le fion du monde, qui permet de chiffrer l’éloignement civilisationnel entre ceux qui partiront bientôt pour Mars et ceux qui construisent des cabanes en bouse de vache. Sans surprise, ce sont les Asiatiques (Chinois) qui tiennent le haut de l’échelle (104) et certains Africains (Namibie : 64) qui font les cancres. Ce qui m’étonne, c’est que la Suède, bouffée par la bien-pensance et en voie de submersion islamique, fasse tout de même 99 ! (NdA)

(4) C’est curieux, je n’arrive pas à trouver cette enquête. Ou bien j’ai mal cherché, ou bien on s’est empressé de la cacher pour qu’aucun mal pensant ne s’en serve. (NdA)

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