Le coronavirus ? Ça me barbe. « En même temps », comme dirait l’ardélion élyséen, cela me fait doucement rigoler. Peut-être en crèverai-je ? Bah ! J’ai fait mon temps, et au train où va la décadence, je n’ai nulle envie de connaître la suite de l’Histoire.
Je rigole, donc, parce que toute une frange délirante de l’humanité croit avoir pris l’ascendant sur la Nature (ou, si vous êtes croyant, sur la Création). L’Homo Sapiens (pas si sapiens que ça !) multiplie les imbécillités pour « corriger » les « injustices » de la Nature, selon les vœux de quelques perverses, comblant les attentes des Docteurs Frankenstein et surtout des labos pharmaceutiques, des fabricants de compères-loriots électroniques, que sais-je ? Et de temps à autre, la Nature lui botte le séant, au Sapiens : un raz de marée par-ci, un tremblement de terre par-là, une belle éruption volcanique, et voilà toute cette belle illusion technologique renversée cul par-dessus tête.
C’est que l’Homo Crétinissimus n’a pas encore compris qu’il fait intégralement partie de la Nature, qu’il ne peut pas dominer celle-ci, mais simplement composer avec elle qui a toujours le dernier mot. Là, pour le coup, Natura nous rappelle qu’elle sait réguler les populations par la pandémie. Au vrai, ce n’est pas encore la pandémie, mais les crieurs de thériaque ne manquent pas de terroriser les peuples. La Peste qui ravagea le monde réapparaît sous forme d’un sale petit virus qui a fait d’abord éternuer les Chinois puis, à cause du délire mondialiste, se répand un peu partout. Alors on s’affuble de masques, pas seulement de ceux qui font ressembler le bobo peureux à un phacochère à trottinette, mais également du masque de l’hypokrisis, celui qui interprète avec plus ou moins de bonheur un rôle sur la scène. Et, mon Dieu ! Ces masques-là ne manquent pas sur les plateaux de télé-voyeurisme !
Mis à part le fait que la maladie ne tombe que rarement là où il serait souhaitable et utile qu’elle ravageât, reconnaissons tout de même que c’est bien fait. Quand on est assez stupide, assez cupide, pour « délocaliser » les activités productives, quand on multiplie les cargos flottants ou volants, quand on fait disparaître les frontières, il est normal de faire aussi commerce de sales microbes. Les grandes pestes du passé l’ont montré : l’épidémie est une affaire d’import-export. Deux-trois pestiférés sur une nef, et vlan ! Avec la promiscuité urbaine, le mal germe, rampe, chemine. Mondialisation et urbanisation outrancières aggravent l’extension du mal. C’est que la Nature avait soigneusement isolé des écosystèmes, que la culture, jusqu’aux délires des dernières décennies, avait de son côté isolé des pays. Un système apatride et « l’open-society » ont balayé ce sage agencement. Il est temps de payer ces inconséquences. Ce temps-là serait-il venu ?
Naturellement, personne ne tirera des leçons de la peste, dût-elle être terriblement ravageuse. Tenez, on craint finalement moins la Mort que l’abrogation du traité de Schengen, aussi les frontières demeurent-elles ouvertes. Forcément, cela favorise les invasions, et pas seulement les invasions virales.
Le propre d’une maladie naturelle est de disparaître. Elle perdure, confinée, dans des réservoirs en quelque coin de la planète, la prudence dictant de ne pas y aller fourrer son nez. Les infections de l’esprit, elles, sont plus redoutables car elles tuent sûrement les civilisations. Je ne vous fais pas un dessin, vous comprenez de quoi je veux parler, mais prenons le cas du virus ortho-humaniste, plus connu sous le nom de « droits-de-l’homme » ; celui-ci détruit les peuples et livre leurs terres à des énergumènes bas de plafond, incapables d’en tirer parti. Ce virus mute très rapidement, il prend des formes infiniment variables : Coranovirus, Androphobia Gomorrhæ, Thermothéisme, Autophobia, Heautontimoroumenos etc.
Il paraît qu’un énergumène que l’on fit naguère « ministre de l’éducation » offrit sur C-News un bel exemple d’infection par Coranovirus ; le pitre en question vantait l’excellence de la « civilisation » islamique qui aurait tout inventé -sauf la science positive, corrigerais-je. Pour faire bonne mesure, ce vieux kinaïdos voudrait que l’on enseignât à l’école le patois coranique dans le but de favoriser l’insertion des barbares dans la société. Vous avez mal à l’œil droit ? Crevez-vous l’œil gauche, vous verrez plus clair ! Le pétulant caprinidé fut, me dit-on, sévèrement tancé d’être un idiot utile de l’islamisme par un Zemmour aux anticorps bien actifs contre Coranovirus.
Bref : je crains bien moins l’épidémie naturelle que les corruptions virales de l’esprit.
Sacha
PS : excellent articles sur les méfaits du virus Soros dans la CEDH, à lire dans Valeurs Actuelles n°4343 (20-26 février 2020). Autrement plus dangereux que COVID-19 !
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !