Il est évident que la nouvelle vague d’invasion migratoire ourdie par l’infame Hitlerdoğan est dangereuse à plus d’un titre. Notamment c’est une guerre djihadiste, dans toutes ses composantes, contre l’Europe Chré-tienne, ce qui implique l’installation d’une diaspora musulmane quérulente, l’introduction de terroristes, la création d’isolats de tribus barbares dans les villes, le risque désormais connu de partition des pays voire de subversion totale. Et en sus l’introduction de maladies épidémiques, dont Ebola fut un exemple récent. Avec, aujourd’hui, l’expansion du coranovirus -pardon : coronavirus- par l’importation « humanitaire » de porteurs potentiels.
Il est non moins évident qu’en dépit des rodomontades de la bande de « mollassons d’élite » (1) qui est censée gouverner la France, le pays n’est pas préparé à l’épidémie de coronavirus pas plus qu’à celle de coranovirus. Il est notable que la dévastation du secteur hospitalier public, perpétrée à la demande injonctive de l’UE, traduit la baisse des crédits alloués par l’État à la Santé. D’où des pénuries d’agents hospitaliers, de lits, de matériel. Il est tout aussi notable qu’en dépit de l’annonce répétée d’une « lutte contre les déficits publics », la France, enfin les contribuables Français, financent lourdement les envahisseurs. On enlève à tous les Français ce que l’on donne à quelques centaines de milliers d’illégaux animés de mauvaises intentions.
Tout le monde ne fait pas ce rapprochement, mais il est contraignant pour l’esprit. L’Italie, notre sœur en contamination par le coronavirus et par le coranovisrus est dans la même panade. Il y a en Italie des gens pour s’en rendre compte, si j’en crois un article de Giuliano Zulin paru le 5 mars sur le site du Libero Quotidiano, et intitulé :
Coronavirus, i soldi della sanità spesi in accoglienza: così miliardi sono finiti ai migranti
J’en ai traduit de larges extraits, avec peut-être quelques inexactitudes, ne pratiquant pas autant l’Italien que je pratique l’Espagnol et l’Anglais. Le mieux, pour les italophones, est de de référer à l’article d’origine :
https://www.liberoquotidiano.it/news/italia/20642311/coronavirus_i_soldi_della_sanita_spesi_in_accoglienza_cosi_miliardi_sono_finiti_ai_migranti.html
05 marzo 2020
« Peu de médecins, peu d’infirmières, peu de services de soins intensifs, risque d’obstruction, peut-être d’effondrement.
L’urgence coronavirus a mis en évidence ce que les citoyens et les administrateurs locaux savaient depuis longtemps. Au cours des dix dernières années, au cri de « l’Europe nous le demande », les fonds destinés à la santé publique ont été réduits. Eh, c’était l’austérité, le spread, la dette à contenir (qui a plutôt explosé). Mais pour les migrants, curieusement, on a trouvé des ressources .
Vous vous souviendrez tous de la déclaration d’Emma Bonino, qui expliquait comment le gouvernement Renzi a obtenu la flexibilité (c’est-à-dire possibilité de faire des déficits) en échange de l’accueil de clandestins. Pour l’accueil, il y avait donc de l’argent. Et non pas deux sous. Il n’y a pas de comptes précis, mais depuis 2010, l’Italie a dépensé environ 20 milliards pour accueillir et soutenir les demandeurs d’asile ou autres. Au cours de la même période, le système national de santé a perdu 37 milliards.
(….)
Un des derniers rapports de l’OCDE montre que si aujourd’hui en Italie le pourcentage du PIB consacré aux dépenses de santé totale (y compris privée) est égal à la moyenne des pays de l’OCDE (8,8%), nous sommes désormais à la traîne parmi les pays de l’Europe du Nord-Ouest (…) Notre péninsule se rapproche plutôt des États d’Europe orientale, où le financement public est en forte croissance. Nous sommes les premiers parmi les « pauvres ».
(…)
Nous devons remercier le Parti Démocrate pour tous ces beaux chiffres, puisqu’il est au pouvoir depuis 2011. Et c’est précisément la poussée démocrate qui a été décisive pour ouvrir les ports pour accueillir des centaines de milliers d’aspirants réfugiés. Coûteux. Argent de poche quotidien, frais de santé, personnel : les dépenses sont passées d’un peu moins d’un milliard en 2012 à plus de 4 milliards en 2018. Sur la seule période de trois ans 2014-2016 l’urgence migrants nous a coûté – révélée une recherche du Centre d’Études d’Entreprise – environ 6 milliards 145 millions. Au total, les contribuables ont en fait versé des impôts pour avoir plus d’immigrés dans leur pays. Avec Salvini, grâce à la réduction des débarquements et à l’introduction des décrets de sécurité, les dépenses pour les migrants ont diminué de 1,5 milliard. Un début de réduction des dépenses étouffé dès que les gauchistes sont revenus au pouvoir. Récemment, la ministre Lamorgese a de nouveau augmenté l’argent de poche quotidien de 3 euros par demandeur d’asile. En outre, selon le dernier rapport de la Cour des comptes européenne, publié en 2018, les 115 ONG de notre péninsule qui ont publié leurs propres budgets ont raflé environ 943 millions d’euros, dont 60 % proviennent de donateurs institutionnels. »
Voilà voilà ! Quand l’épidémie se combine avec l’invasion, il ne faut plus chercher à comprendre, il n’y a plus qu’à prier. Ou à prendre les armes et à se porter en masse à la frontière Gréco-Turque (gloire aux patriotes Grecs qui le font aujourd’hui !) et, dans les ports d’invasion, couler les barcasses des ONG Sorosastres.
Sacha
(1) Expression heureuse empruntée à Ph. Colin-Olivier, auteur de Qui a tué le maire de Paris ? : « La démocratie suscite le mollasson d’élite ».
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !