Vraiment très louche !

macron-a-l_hpLa conduite délirante de ce que l’on appelle gouvernement est décidément très louche.

Sans nous prononcer sur l’efficacité du traitement administré par le Pr. Raoult et son équipe, car aucun d’entre nous n’est virologue et encore moins pneumologue, il est à première vue incompréhensible qu’un abruti de ministre socialiste « de la Santé » fasse tout pour mettre les bâtons dans les roues d’une équipe médicale qui se comporte en parfait respect du serment d’Hippocrate.

Dépister, tester, diagnostiquer, soigner, cela coule tellement de source qu’il faut être un macronique borné pour le contester. Mais c’est bien ce qui se passe, puisque l’administration du traitement à base d’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine ne sera toléré que pour des malades à un stade avancé de la maladie. Donc à des personnes en danger mortel qui auraient pu être débarrassées du virus dès un stade antérieur de l’infection s’ils avaient été déjà traités.

« En somme, si l’État, l’administration et les élites qui nous gouvernent ne sont pas l’instigateur de telle ou telle méthode, de tel ou tel protocole, de telle ou telle idée, si l’imprimatur républicain n’y est pas apposé, alors ce sera immédiatement taxé de dangereux, de voué à l’échec et sera réservé aux cas désespérés (précisément parce qu’alors, on sait que ça ne sert plus à rien). » (1)

Telle est la logique des bureaucrates tyranniques. On ne teste pas massivement, pourtant tester permet de dépister et de confiner ceux qui doivent l’être sans dévaster le pays par un confinement généralisé. Or ce n’est pas fait, parce qu’il n’y a pas de tests dans les officines de l’État socialo-macronique. Cette logique bizarre, qui s’apparente furieusement à des paralogismes ou sophismes est très « républicaine », puisqu’elle vise à tout diriger, jusqu’à la recette de la soupe aux choux, sans jamais laisser place à l’initiative des citoyens. Mais on ne m’enlèvera pas de l’idée qu’il y a derrière ces comportements aberrants du pouvoir macronique quelque chose de très louche.

Au risque de me faire facilement traiter de complotiste, je n’oublie jamais que derrière le pouvoir il existe des agents d’influence (« lobbyistes » en globish). On rencontre partout ces corrupteurs cauteleux dont le travail consiste à obtenir des élus, des ministres, des chefs d’État, les édits qui servent les intérêts des groupes industriels et financiers qu’ils représentent, fût-ce au détriment des citoyens. Ce n’est un secret pour personne, ils envahissent les arrière-cours de la commission européâstre, du machin onusien, des Assemblées, du gouvernement. Ils placent même directement leurs agents dans les rouages des gouvernements, comme le montre le cas de Mme Buzin -et je ne doute pas qu’une enquête serrée révèlerait d’autres compromissions et conflits d’intérêts.

Je soupçonne par conséquent très fort une influence pernicieuse de grands groupes et laboratoires pharmaceutiques d’être à l’origine du comportement du gouvernement dans l’affaire de la chloroquine. Je ne serais pas étonné si prochainement -après combien de décès ?- arrivent sur le marché un vaccin, une thériaque quelconque dûment estampillés et achetés à prix prohibitif, alors que la chloroquine (utilisée massivement dans d’autres pays) coûte fort peu. La diatribe de Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur de l’OMS contre la chloroquine a tout de suspect, venant justement d’un spécialiste … du paludisme ! J’en conclus que de très gros intérêts sont en jeu, et certainement pas ceux des citoyens.

Tout cela est caché derrière le mur du silence, mais j’espère que prochainement des investigateurs s’intéresseront de très près à la question. Je ne me fais pas d’illusions, d’ailleurs, car il y a peu d’espoir que les coupables soient un jour punis comme l’exigerait l’équité. Pas davantage d’espoir de voir abandonnées les pratiques révélées criminelles du mondialisme sans frontières, de l’économie planétaire. Le retour à l’indépendance des nations, même si la crise économique en route casse les rouages du système, n’est pas encore à l’ordre du jour et les peuples d’Europe vont souffrir quelques décennies encore de l’UE, de son euro, de sa politique de grand remplacement. J’espère être trop pessimiste !

Je lis chez Dreuz.Info qu’en Chine vingt-et-un millions de téléphones portables se seraient tus au cours des trois derniers mois. L’article précise que les dispositions prises par le régime communiste pour espionner en permanence les citoyens de Chine à l’aide de ces téléphones peuvent avoir découragé plus d’un utilisateur, mais chez nous les GAFA et les gouvernements nous espionnent bien également sans que les intoxiqués du portable disparaissent des statistiques. De là à faire de l’occultation des téléphones Chinois un proxy accompagnant une mortalité gigantesque en Chine, Coronachose oblige … je trouve cela un peu exagéré. Mais pas absurde en soi. La dendrochronologie et le comput du prix des céréales au Moyen Age sont tout aussi bien des proxys allant dans le sens d’autres observations paléoclimatiques attestant la survenue d’un optimum climatique médiéval, lorsqu’il faisait bien plus chaud qu’aujourd’hui où règnent les délires des climatolâtres. L’ennui est qu’un seul proxy ne suffit pas, alors dans l’affaire des téléphones disparus, il y a lieu de douter. Sans exclure le pire, naturellement.

Les bobards sont monnaie courante, davantage encore en cas de crise et d’épidémie.  Il est inacceptable qu’ils soient répandus par les gouvernants, mais tel est bien le cas, n’est-ce pas, Sibeth ? En tous cas, on dit que la prêtresse autiste Greta et son paternel seraient positifs au Coronachose. Ce n’est peut-être pas un bobard. Ces deux énergumènes ne pouvaient pas renoncer à leur juteuse entreprise, donc à rencontrer les foules de disciples imbéciles : le summum de l’échange, c’est celui des virus. Pôv’ Gretâne ! Cela prouve au moins qu’elle n’est pas en odeur de sainteté, puisqu’elle subit le sort commun, mais en fait je la plains parce qu’elle n’est que la marionnette inconsciente d’une bande de filous et de salopards qui font commerce de vent.

«  Cette môme est un poison. Mais je lui souhaite bon rétablissement.

Je lui souhaite de se soigner – exclusivement avec des plantes médicinales cultivées dans une ferme équitable et organique qui ne recourt pas à l’énergie fossile, évidemment.

Strictement aucun médicament emballé dans du plastique, un dérivé du pétrole, fabriqué dans des usines qui tournent à l’énergie destructrice du climat. » (2) écrit plaisamment Jean-Patrick Grumberg. Je m’associe à ces vœux-là. Quant à l’autisme, il ne se guérit pas, voyez le cas des macroniques !

Sacha

(1) © H16. Publié avec l’aimable autorisation de l’auteur (son site)

(2) © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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