Contre-propagande : les « progressistes » veulent en faire un crime

La propagande ne désarme jamais. Le fanatisme non plus. Exemple : les féministes enragées, appuyées par la bande gouvernementale dont Lily-Marlène est sous-ministre, continuent de répandre l’idée que seules les femmes seraient victimes de « violences conjugales ». Ce qui est faux. Donc, en pleine débâcle corovinasse, alors qu’il y a bien d’autres problèmes, et des graves, à régler, cette bande de crétines a choisi de prendre prétexte de l’emprisonnement de la population pour concocter une campagne de propagande.

Pour cela, ces abruties s’appuient sur une sophistique extrêmement pernicieuse. 1- Les familles sont « confinées » ; 2- Le confinement peut entraîner des pétages de plombs ; 3- (sous-entendu) quand une femme pète les plombs, et agresse son conjoint,  c’est plutôt sympathique ; 4- Mais quand un homme pète les plombs, c’est sa femme et/ou sa fille qui ramassent. 5- Ergo : c’est là, et seulement là qu’est le crime. 6- Conséquence : femmes, appelez le 3919.

Bon, à la rigueur… Mais déjà, cela sous-entend que « la famille », entité haïe par les progressistes, serait un lieu dangereux. Je crois que ces ahuries n’ont pas compris que l’épidémie vient précisément de montrer que la famille est un refuge ; comme diraient les « sachants », il y a eu un changement de paradigme. Passons… On ne peut pas demander à des Shadocks d’être intelligents.

Donc, à l’appui de ces thèses parfaitement saugrenues, on lance une campagne d’affichage. Et là, c’est autre chose ! Un exemple à analyser, l’image ci-dessous.

C’est clair comme de l’eau de roche ! À gauche, l’image originelle où le violent, le bourreau est un mâle Blanc, les victimes sont des femmes bistres. Un facétieux a entrepris de corriger, à droite : le violent est un barbu importé, les victimes sont une femme Blanche et une fille métisse.

Voilà qui remet les choses en place, car le fait de frapper les femmes est bel et bien commandé dans l’alcoran de Mahomet et la manière de procéder est codée dans la charia. Mais un fait aussi patent ne saurait être reconnu par les harpies ultra-féministes. Conséquence : « Le 29 mars 2020 une personne (…) a volontairement détourné, à des fins racistes, une affiche réalisée par l’illustratrice Gomaru dans le cadre d’une campagne pour la lutte contre les violences conjugales pendant cette période de confinement (…)C’est la raison pour laquelle l’illustratrice Gomaru a décidé, en accord avec son conseil (…)de porter plainte pour des faits de contrefaçon, et d’incitation à la haine raciale auprès du procureur de la république. »

Comme d’habitude, inversion des faits. Ce n’est pas nouveau : dans les campagnes d’affichage de propagande l’harceleur, le violeur, le violent, c’est TOUJOURS un mâle Blanc. En dépit, évidemment, des faits réels, patents, prouvés. Autrement dit, cette propagande merdeuse est effectivement RACISTE. Raciste anti-Blancs, androphobie qui plus est. Et voilà qu’un polisson remet les pendules à l’heure et crac ! C’est lui qui est accusé de « racisme » ! On atteint ici un sommet à la fois d’imbécillité, de mauvaise foi et d’ignominie. Ne nous faisons pas d’illusions, les chats-fourrés, engeance rouge, donneront raison à « l’illustratrice », l’authentique raciste.

La seul erreur du polisson est d’avoir conservé le nom de la peu illustre illustratrice sur la photo détournée. Pour le reste, il n’a fait qu’user d’un droit constitutionnellement reconnu mais que des vipères et chacals aimeraient bien voir disparaître.

Le but de cette minable plainte semble évident à première vue. Mais en loucedé, c’est une magouille des « progressistes » pour décourager tout détournement d’images de propagande. Ce qui colle bien avec les mesures totalitaires que nous subissons en ce moment. Les idéologues gauchistes poussent leurs pions à la faveur du malheur collectif. Salauds !

J’espère que la misère des temps permettra d’accumuler chez les Français une énorme quantité de colère, et que l’on règlera leur compte aux « progressistes » et à tous les idéo-idio-logues qui pourrissent la société. Il est plus que temps de changer de paradigme à coups de trique.

Haro & Bastonnade !

Raymond