Nous vivons une époque où les sociétés décadentes sont devenues tellement absurdes que l’ouest de l’Occident est en tous points semblable à la Nef des Fous. Par exemple « ils » hyperbolisent une grippe et minimisent les perversions dont l’inquiétante prolifération -relayés par l’imbécillité des politiques et le dévoiement des médias pose d’énormes problèmes civilisationnels auxquels l’on ne peut apporter de remèdes bénins : il faut des remèdes de cheval.
Une énigme parmi d’autres : les sujets transgenre ou dysphoriques du genre sont-ils plus nombreux à présenter des cas diagnostiqués d’autisme, ou des traits autistiques, que les personnes normales (« cisgenres ») dans des populations étendues prises hors clinique ?
J’ai déjà parlé de l’étude de Littman (Littman L. 2018) intitulée « Rapid-onset gender dysphoria in adolescents and young adults: A study of parental reports » que j’ai traduite ici sous le titre « Apparition rapide de la dysphorie du genre chez des adolescents et de jeunes adultes : étude de témoignages parentaux ».
Pour rappel, 256 questionnaires remplis par les parents ont satisfait aux critères de cette étude. Les enfants adolescents et jeunes adultes (AJAs) décrits étaient majoritairement de sexe féminin (82,8%) et de 16 : 4 ans d’âge moyen. Beaucoup de ces AJAs (62,5%) avaient été diagnostiqués comme présentant au moins un désordre mental ou neurodéveloppemental avant la manifestation de la dysphorie du genre (de 0 à 7 pour le nombre de diagnostics).
Une autre étude s’intéresse aux « transgenres », on la trouve sur le site de nature.com et elle est intitulée « Elevated rates of autism, other neurodevelopmental and psychiatric diagnoses, and autistic traits in transgender and gender-diverse individuals » (Taux élevés d’autisme, d’autres diagnostics de troubles neurodéveloppementaux, et traits autistiques chez les transgenres et sujets dysphoriques du genre.)
Ce qui découle à l’évidence de l’étude de Littman portant sur 256 cas, à savoir que les dysphoriques et trans sont probablement des cas pathologiques, est conforté cette fois par le croisement de cinq bases de données concernant un effectif total de 641 860 sujets ayant fourni des informations sur leur « genre » (naturel ou farfelu, i.e. « choisi »), leurs troubles neurodéveloppementaux ou psychiatriques, autisme inclus, l’évaluation de leurs traits autistiques (sensibilité sensorielle, systémisation, empathie)(1). L’ennui est que l’on a procédé semble-t-il, par questionnaires auto-évaluatifs : cette méthode est plus soumise à dérive que l’observation clinique, toutefois les résultats peuvent constituer des indicateurs épidémiologiques -jamais explicatifs.
Comparés aux populations de sujets normaux, les populations de transgenres et dysphoriques du genre présentent en moyenne des taux plus élevés de traits autistiques, de troubles neurodéveloppementaux et psychiatriques. On pouvait s’y attendre. Qu’ils soient ou non autistes, les transgenres et les sujets à genre farfelu déclarent en moyenne un taux évaluatif plus élevé en matière de traits autistiques, de systématisation, de sensibilité sensorielle, et, toujours en moyenne, un taux évaluatif plus bas concernant l’empathie (2). Selon les cinq séries de données, il apparaît que les transgenres et sujets à genre farfelu pourraient être 3,03 à 6.36 fois plus probablement autistes que les sujets normaux et sont plus nombreux à penser qu’ils seraient malades d’un autisme non diagnostiqué.
Les groupes de pression minoritaires pourront toujours nous raconter des salades : même s’ils ont réussi depuis 1973 à faire retirer leurs troubles des tableaux des pathologies, même s’ils occupent dans les médias une place disproportionnée à leur importance, même s’ils ont l’oreille des politiques naïfs ou stupides, même s’ils parviennent à faire interdire les recherches, nous n’avons pas affaire à des sujets en bonne santé psychologique. Cette étude, comme bien d’autres malheureusement censurées, ramène le transgénérisme et la dysphorie du genre à la case « pathologie » et les « théories du genre » au rang des mythes urbains nocifs.
Sacha
(1) On ne compte pas moins de six échelles d’évaluation de l’autisme, plus trois tests de QI. Parmi les éléments de diagnostic, on compte : a) l’altération de la qualité des relations sociales, b) l’altération de l’interlocution, c) caractère restreint et stéréotypé des comportements, d) activités restreintes et stéréotypées, e) intérêts restreints. Les critères c) et d) correspondent grosso modo à la « systématisation ». Il existe aussi des signes très précoces applicables aux enfants.
(2) « Empathie » est un terme très vague et très technoricain. Il englobe les relations affectives et les relations sociales avec les congénères, ce qui n’est pas fait pour clarifier les approches !
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !