Ces temps sont regrettables, comme sans doute toutes les époques de décadence civilisationnelle.
Par exemple, l’hystérie du masque. On ne pouvait imaginer pareille imbécillité que lorsque, longtemps avant la médecine positive, l’on croyait que les épidémies se propageaient par des miasmes, ou souffles méphitiques volant dans l’air : «c’est un souffle mortel qui jadis sur la terre de Cécrops remplit les campagnes de funérailles, rendit les chemins déserts, vida la ville de ses citoyens » (1). On a beau savoir que la contagion, dans le cas de la peste Chinoise, vient du contact notamment par les mains, et que la peste a bien perdu de sa virulence, rien n’y fait : d’inutile, le masque est devenu obligatoire et malheur à qui ne le porte pas, lorsqu’on ne le matraque pas, il est spolié par l’État faible avec la racaille, fort avec les citoyens sans défense.
On ne m’enlèvera pas de l’idée que tout incohérent qu’il soit, le prétendu gouvernement suit un plan terroriste (au sens propre du mot) destiné à museler le Peuple, de peur que celui-ci ne vienne à s’insurger contre les conséquences d’un confinement imbécile et criminel, destructeur de l’économie et semeur de misère. Aussi tâche-t-on d’entretenir la peur toujours irrationnelle d’un retour de la peste tout en favorisant la délation et suscitant chez les mougeons la hargne contre ceux qui, sachant raison garder, refusent la muselière.
Force est de constater que le peuple n’est plus celui de Bouvines, d’Austerlitz, : l’usure de l’Histoire et passée par là. L’Histoire et surtout les républiques, régimes démovores(2) s’il en est, capables de détruire en un peu plus de deux siècles un ouvrage de mille ans. La preuve : presque personne ne se rebiffe, alors qu’en Allemagne des dizaines de milliers de protestataires contre le port de la muselière étaient prêts à submerger le Reichstag. Voyez les images avant que les youtubards ne suppriment la séquence, de peur que l’exemple soit suivi.
En France, il n’y eut qu’une poignée, deux ou trois cents, pour protester. Ce pays est fichu.
Autre exemple : la tempête dans un verre d’eau, soufflée par les totalitaires poststaliniens à cause d’une facétie imaginée par l’hebdomadaire Valeurs Actuelles. La fanatique raciste anti-française Obono y vivait une aventure fantastique où elle était esclave, vendue par des Noirs à d’autres Noirs qui la vendirent aux Arabes avant qu’un prêtre chrétien ne la rachète pour la libérer. J’ai lu attentivement l’historiette, et à moins d’être vicieux comme un disciple de Mélanchon (ou autre gauchiste), l’on n’y trouve pas trace de « racisme ». Las ! La harpie ne goûta point le sel de la plaisanterie et mena grand tapage, couinant au racisme, rapidement relayée et amplifiée par tout ce que le cloaque politicard compte d’ordures.
Mais enfin, l’Obono est tout de même la quintessence de ce que l’extrême-gauche « intersectionnelle » compte de pire : anti-française, anti-Blancs, atteinte du délire « décolonisliste », et effectivement RACISTE. Eh oui, Danielle Obono, chante avec nous : « Je suis raciste, R comme résolument raciste, A comme absolument raciste, C comme carrément raciste, I comme insolemment raciste, S comme sacrément raciste, T comme totalement raciste, E comme entièrement raciste. » (3)
Je pense qu’en réalité, le « scandale » tient surtout au fait que dans l’historiette, le rôle prépondérant des négriers Africains est mis en évidence, ainsi que la traite arabo-musulmane. Or c’est là un fait historique, que l’on constate dans des textes très anciens, et que rappelle opportunément Bernard Lugan dans Breiz-Info. Et c’est bien là où le bât blesse les « décolonialistes » et autres LDN de grands chemins. Le prétendu « racisme » que couine Obono n’est qu’une manière de balayer sous le buffet les incontinences du chat (noir).
Le vrai scandale tient au chœur hypocrite des pleurnicheurs politicards, de l’extrême-gauche nord-coréenne jusqu’au RN. Toutes ces larves y vont de leur couplet vengeur contre une revue de bonne tenue (et privée des généreux subsides que le « gouvernement » verse à nos frais à la presse et aux médias à sa botte). Naturellement, l’histrion élyséen, qui n’a rien d’autre à faire lorsqu’il ne soutient pas les activistes Biélorusses et ne donne pas de leçons aux Libanais -la France, il s’en fout !- s’est fendu d’un message de réconfort à Obono. Pauvre type ! En tous cas, la réaction ridicule du RN a ceci de bon qu’elle montre que tous les fondamentaux du Front National fondateur sont oubliés et qu’à force de « dédiabolisation » le Ramassis est devenu de plein droit un parti du système. Conséquence : à moins que ne surgisse miraculeusement une Jehanne salvatrice, la voie est libre pour qu’en 2022 Choupinet ou un substitut plaisant aux financiers mondialistes soit élu et achève la destruction de la France. Ce pays est foutu.
J’aime bien Valeurs Actuelles, que j’achète chaque semaine avec gourmandise, aussi suis-je consterné de constater que la rédaction de cet hebdomadaire se soit fendue d’un communiqué d’excuse à l’endroit d’Obono. C’est une FAUTE. Qui, en 1945, aurait eu l’idée de s’excuser auprès d’Hitler pour l’avoir qualifié de criminel ? Regrettons que Goldnadel refuse la caricature, mais concluons avec lui : « Madame Obono fait partie de ces gens qui fomentent le racisme en France, qui fomentent même la violence. Elle est, je le rappelle, très très proche de Houria Bouteldja des Indigènes de la République, à qui elle a décerné le titre d’antiraciste alors que Bouteldja a écrit un pamphlet antisémite. Donc moi, pardon, à ce degré de racisme, je ne présente pas d’excuses aux racistes. » (4).
Voilà, tout est dit.
L’Imprécateur
(1) Lucrèce, De rerum natura. Le livre VI se termine par la description de la peste d’Athènes : « Hæc ratio quondam morborum et mortifer æstus finibus in Cecropis funestos reddidit agros, vastavit vias, exhausit civibus urbem. » Les traits de l’épidémie sont empruntés par Lucrèce à Thucidyde.
(2) Dévoreurs de peuples.
(3) « Elle conjugue à la fois l’extrémisme le plus total – c’est une femme, quand même, qui réclame la libération du terroriste Abdallah, lequel a notamment assassiné un diplomate américain et un diplomate israélien sur le territoire français.
C’est quelqu’un qui explique qu’elle a mal à la République et mal à la France, alors qu’elle défend mordicus « nique la France », et qu’elle ne veut pas chanter la Marseillaise. C’est quelqu’un qui, quand elle parle de Jean Castex le Premier ministre, fait sa fiche signalétique en commençant par « homme blanc » – Jean Castex, homme blanc.
On est dans le racialisme, et même dans le racisme le plus indigent, et je ne parle même pas de son niveau intellectuel. On est au ras des pâquerettes. » (Goldnadel chez Dreuz-Infos.)
(4) Ibidem.
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !