Le groupuscule raciste et nazi LDNA a donc donné son spectacle pour « réclamer des comptes » à Valeurs Actuelles, consécutivement aux couinements de l’Obono et au chœur des pleureuses politicardes. « À travers l’insulte contre Danièle Obono, ce sont les Africains que vous attaquez…, a-t-il aboyé. Les Gaulois n’ont jamais existé, c’est un mythe… » a braillé le meneur fou de la bande, spécialiste de l’antisémitisme. Pauvre connard ! Et il a continué : « Face à la communauté juive, vous claquez des fesses. Vous êtes comma ça, comme des enfants. Même vous, les policiers. Parce que votre président, on le voit, quand il va au dîner du CRIF et qu’on lève sa main comme une marionnette. » Naturellement, sa poignée de cannibales l’a applaudi. Naturellement, le Parquet, si prompt à s’autosaisir, ne fera rien.
Sur sa lancée, le raciste tribaliste discute le goût de bras : « Si vous écrivez contre les noirs, alors vos bras nous allons les arracher, et vous n’aurez plus de bras pour écrire quoi que ce soit. Nous allons vous arracher vos bras… C’est comme ça, dorénavant, ce sera dans l’autodéfense. » Ah ? C’est bon à savoir, nous savons maintenant quoi faire : pan sur le groin ! Depuis le temps que je m’égosille à dire qu’il n’y a pas de solution légale, puisque tout est truqué, vendu, dans ce pays, et que nous ne pourrons pas faire l’économie d’une guerre civile, l’ignoble énergumène vient de le prouver.
Il nous donne aussi la preuve que l’Obono ne mérite de recevoir aucune excuse, cette harpie qui prétend avoir « mal à sa république ». Quelle république, espèce d’oligophrène ? Donc Valeurs Actuelles a failli en présentant des excuses, j’en suis d’accord avec le billet d’hier de l’Imprécateur. Et je suis d’accord avec Éric Zemmour disant que non seulement l’Obono ne mérite pas d’être défendue, mais qu’elle doit être combattue. Pour ma part, je pense qu’elle doit être combattue avec autre chose que des arguments.
Bien, maintenant considérons que le « yovogan »(1) de la meute affiche son nom de guerre : Egountchi Behanzin. Tilt ! Ayant longtemps vécu en Afrique, je savais que ce nom était celui de la dernière dynastie de rois du Dahomey, dont la capitale était Abomey, naturellement esclavagiste comme les dynasties précédentes. Le roi Béhanzin fut capturé en 1894. Bon, je n’ai rien contre les actuels Béninois (2), je veux simplement signaler que, comme les Touré, les Traoré et tutti quanti de la côte ouest il est des noms trahissant l’origination dans des familles de tyrans esclavagistes. Dans le cas de notre énergumène, ce n’est pas une filiation de sang (encore que…) mais un pseudonyme pour faire oublier que son vrai nom est Sylvain Afoua, natif du Togo. Il n’empêche : la filiation est idéologique, et si l’on a perdu l’Afoua, on garde le Béhanzin. Les gauchistes aussi, qui ne voient dans le dernier Béhanzin authentique qu’un vaillant résistant à « l’impérialisme Français » (poil au nez). Ben voyons !
Or l’Histoire nous en apprend sur les mœurs des Noirs esclavagistes de cette époque. Parlons par exemple de la Grande Coutume telle qu’elle est relatée par divers témoignages dont cet extrait de la Revue de Géographie, janvier 1870, pages 64-66 :
Lorsque meurt un roi de Dahomey, on place le corps dans un cercueil, la tête sur les crânes des rois qu’il a vaincus, « puis on fait entrer huit danseuses de la cour et cinquante soldats volontaires » et l’on sacrifie tout ce beau monde pour accompagner le défunt. L’héritier régente le pays durant une année, puis il se proclame roi. « Dès ce moment une soif de sang indicible s’empare de la population dahoméenne. Des milliers de victimes humaines, destinées à porter au feu roi la nouvelle du couronnement de son successeur, sont immolées pendant qu’avec de l’argile pétrie dans le sang des victimes, on modèle un grand vase, de forme bizarre, dans lequel le crâne et les os du feu roi sont définitivement scellés.
Cette cérémonie terminée, les massacres commencent dans tout le royaume. » Passons sur le prologue assez croquignolet des fêtes, où l’on sacrifie encore des personnages et animaux choisis, et voyons ce qui suit : la Grande Coutume. « Le lendemain, au point du jour, cent hommes et cent femmes sont mis à mort dans l’intérieur du palais. Le roi sort de sa demeure au bruit de la mousqueterie, et quatre-vingt-dix officiers, cent-vingt princes ou princesses viennent le saluer en lui offrant chacun quatre ESCLAVES (3) destinés au sacrifice, puis des bœufs, des moutons, des chèvres, de l’argent et du rhum. Le roi se rend ensuite au sépulcre royal dans lequel on ensevelit soixante hommes vivants, cinquante moutons, cinquante chèvres (…) Il se dirige vers son palais dont il fait le tour ; arrivé devant la porte, on met à mort en sa présence et en son honneur cinquante ESCLAVES. Cette hécatombe faite, (… le roi) adresse à son peuple un prêche de guerre, lui promettant beaucoup d’ESCLAVES, de fait distribuer des cauris, des vêtements, du rhum. » On décapite ensuite pas mal de gens, puis « on apporte ensuite vingt-quatre mannes ou corbeilles contenant chacune un homme vivant dont la tête seule sort. On aligne ces corbeilles devant le roi, puis elles sont précipitées sur le sol de la place, où une multitude ivre de sang se dispute les victimes. » Quiconque parvient à en décapiter une reçoit en récompense une filière de cauris.
Arrêtons-là l’horreur, il y aura encore des massacres le lendemain. Si vous êtes curieux, vous trouverez le numéro de la Revue aux archives nationales. Alors ? La colonisation a fait cesser ces massacres. Elle a mis fin à la razzia et au commerce des esclaves, aux guerres tribales, aux famines. En apportant la médecine, elle a réduit les épidémies. En apportant l’instruction… Au fond, ce que nous reprochent les Obono, les « Béhanzin » et consorts, c’est d’avoir apporté tout ce que leurs complices arabo-musulmans ont refusé à tous ces peuples qui vivaient dans la peur. Et ils osent, ces crétins à crânes de piafs, nous le reprocher ? Aujourd’hui, ils sont gavés d’argent public et ils couinent ?
Mais la place de ces régressifs dévastés du bulbe n’est certainement pas sur les plateaux de télévision où des salopards de journalopes aussi cons que déplaisants sont tellement complaisants avec eux que cela donne envie de vomir. En tous cas, ILS N’ONT PAS LEUR PLACE CHEZ NOUS ! Je pense qu’ils sont minoritaires au sein d’une population Noire de France qui ne songe qu’à vivre en paix sans être embrigadée de force par tous ces enragés à cerveau d’aplysie. Raison de plus pour les mettre hors d’état de nuire. Les « décolonialistes » et autres « intersectionnistes » et leurs complices de chez Méchant Con, DEHORS !
Sacha
(1) Dans le dialecte du Dahomey, le « yovogan » (« chef des Blancs » !) était en quelque sorte le PDG de l’entreprise négrière royale, chargé de vendre les esclaves razziés aux négriers Blancs.
(2) Au contraire, ayant côtoyé nombre de Béninois, notamment à Parakou, j’ai rencontré des gens fort bien élevés et parlant un Français très pur qui n’est hélas plus pratiqué chez nous.
(3) Les majuscules sont de moi. On comprend pourquoi.
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !