La censure bien-pensante se porte très bien, hélas, TROP bien. Contre la Grande Fumisterie de la grippe chinoise, des médecins et des scientifiques parlent le langage de la Raison tandis que les stipendiés du Groβ Pharma et leurs valets gouvernementaux parlent le langage de Sainte Pétoche. Et la majorité des mougeons de bêler derrière son masque ridicule, obéissante comme seuls savent l’être les stupides ovins. Rappelons ce qu’a dit le Ministre des Sports : « les décisions aujourd’hui ne sont pas prises en fonction d’une réalité qui serait celle de la circulation du virus, (…) c’est pour dire : ‘dans votre vie personnelle et de loisirs il faut continuer à être disciplinés comme vous l’êtes (…). » L’aveu est de taille, l’imposture également.
En vertu de quoi, si l’on n’hésite pas à publier une déclaration de six ou sept stipendiés du Groβ Pharma (dont la Lacombe), au JDD on censure tranquillement un manifeste signé par plus de 270 chercheurs, médecins, sociologues, appelant ce gouvernement de rencontre à plus de réalisme et de raison. Nous ne pouvons que participer à la publication de ce manifeste :
« Tandis que le gouvernement prépare une nouvelle loi (la quatrième en 6 mois !)
prolongeant le « régime d’exception » qui a remplacé « l’état d’urgence » sanitaire, le ministère de la Santé a encore annoncé mercredi 23 septembre des mesures restrictives des libertés individuelles et collectives qu’il prétend fondées scientifiquement sur l’analyse de l’épidémie de coronavirus. Cette prétention est contestable. Nous pensons au contraire que la peur et l’aveuglement gouvernent la réflexion, qu’ils conduisent à des interprétations erronées des données statistiques et à des décisions administratives disproportionnées, souvent inutiles voire contre-productives.
Que savons-nous de cette épidémie et de son évolution ?
Le SARS-CoV-2 menace essentiellement les personnes dont le système immunitaire est fragilisé par le grand âge, la sédentarité, l’obésité, des comorbidités cardio-respiratoires et des maladies sous-jacentes de ces systèmes. Il en découle que la priorité sanitaire est de protéger ces personnes fragiles : le respect des gestes barrières et le lavage des mains en sont deux des clés.
Le SARS-CoV-2 circule dans le monde depuis environ un an. Il continuera à circuler, comme l’ensemble des autres virus qui vivent en nous et autour de nous, et auxquels nos organismes se sont progressivement adaptés. L’espoir de faire disparaître ce virus en réduisant à néant la vie sociale est une illusion. D’autres pays, en Asie comme en Europe, n’ont pas eu recours à ces pratiques médiévales et ne s’en sortent pas plus mal que nous.
Quant à l’évolution, l’idée d’une « deuxième vague » reproduisant le pic de mars-avril 2020 n’est pas un constat empirique. C’est une théorie catastrophiste issue de modélisations fondées sur des hypothèses non vérifiées, annoncée dès le mois de mars et ressortie des cartons à chaque étape de l’épidémie : en avril lors du soi-disant « relâchement » des Français, en mai avant le déconfinement, en juin pour la Fête de la musique, en été pour les « clusters » de Mayenne ou les matchs de foot, et à nouveau cet automne face à une augmentation des cas certes significative, mais lente et grevée d’incertitudes diagnostiques. Au final, cette prétendue « deuxième vague » est une aberration épidémiologique et l’on ne voit rien venir qui puisse être sérieusement comparé à ce que nous avons vécu au printemps dernier.
On ne compte plus les mêmes choses
Nous voyons enfin que, pour des raisons difficiles à cerner (panique, pression politique ou médiatique… ?), les autorités sanitaires françaises ne parviennent pas à stabiliser une communication honnête sur les chiffres de l’épidémie. Elles ont surtout abandonné l’indicateur fondamental, la mortalité, pour ne retenir que celui de la positivité de tests pourtant incapables de distinguer les sujets malades des personnes guéries. Cette politique du chiffre appliquée aux tests conduit à une nouvelle aberration consistant à s’étonner du fait qu’on trouve davantage aujourd’hui ce qu’on ne cherchait pas hier. Elle conduit par ailleurs à des classements des départements ou des régions en zones plus ou moins « dangereuses » à qui l’on donne de jolies couleurs qui cachent la fragilité et l’arbitraire du comptage : untel se retrouvera en « zone rouge » alors qu’il y a moins de dix patients en réanimation, un autre verra tous ses restaurants fermés sans que l’on ait la preuve que ce sont des lieux de contamination majeurs. Tout cela n’est guère cohérent.
Les autorités sanitaires ne s’interrogent pas non plus sur la surmortalité à venir des autres grandes causes de décès (cancers, maladies cardio-vasculaires) dont la prise en charge est délaissée, ni sur le fait qu’une partie des sujets classifiés parmi les personnes « décédées de la Covid » sont en réalité mortes en raison d’une autre pathologie mais classifiées Covid parce qu’elles étaient également porteuses du virus. Or des études récentes montrent que ce groupe pourrait constituer jusqu’à 30% des décès au Royaume Uni ces dernières semaines. Cette façon de compter de plus en plus comme « morts du Covid » des personnes en réalité atteintes avant tout d’autres maladies est probablement l’explication principale du fait que, comme cela est écrit en toutes lettres sur le site de l’INSEE : « depuis le 1ᵉʳ mai, on ne constate plus en France d’excédent de mortalité par rapport à 2019 ».
Il découle de tout ceci qu’il n’y a pas de sens à paralyser tout ou partie de la vie de la société en suivant des raisonnements qui sont parfois erronés dans leurs prémisses mêmes. Il est urgent d’arrêter l’escalade, d’accepter de remettre à plat nos connaissances scientifiques et médicales, pour redéfinir démocratiquement une stratégie sanitaire actuellement en pleine dérive autoritariste. »
Parmi les premiers signataires :
Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’Université de Paris ; Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS ; Bernard Bégaud, professeur de pharmacologie à l’Université de Bordeaux ; Gilles Bœuf, professeur de biologie à Paris-Sorbonne Université ; Pierre-Henri Gouyon, professeur de biologie au Muséum national d’histoire naturelle ; Jean Roudier, professeur de rhumatologie à l’Université d’Aix-Marseille ; Louis Fouché, médecin, anesthésiste-réanimateur à l’Hôpital de la Conception ; Olivier de Soyres, médecin, réanimateur à la clinique des Cèdres ; Christophe Lançon, professeur de psychiatrie à l’Université d’Aix-Marseille ; Laurent Toubiana, épidémiologiste à l’Inserm ; Mylène Weill, biologiste, directrice de recherche au CNRS ; Anne Atlan, généticienne des populations et sociologue, directrice de recherche au CNRS ; Bernard Swynghedauw, biologiste, directeur de recherche émérite à l’Inserm ; Marc-André Selosse, professeur de microbiologie au Muséum national d’histoire naturelle ; Jean-Louis Thillier, médecin, immunopathologiste ; Jean-François Lesgards, biochimiste, chercheur au CNRS ; Alexandra Menant, biologiste, chercheuse au CNRS ; André Comte-Sponville, philosophe ; François Gastaud, chirurgien orthopédiste à Strasbourg ; Éric Desmons, professeur de droit public à l’Université Sorbonne Paris Nord ; Dominique Andolfatto, professeur de science politique à l’Université de Bourgogne Franche-Comté ; Charalambos Apostolidis, professeur de droit public à l’Université de Bourgogne-Franche-Comté ; Nicolas Sembel, professeur de sociologie à l’Université d’Aix-Marseille ; Dominique Crozat, professeur de géographie à l’Université de Montpellier ; Marnix Dressen-Vagne, professeur de sociologie à l’Université Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines ; Thomas Hippler, professeur d’histoire contemporaine à l’Université de Caen-Normandie ; Nicolas Leblond, maître de conférences en droit à l’Université Polytechnique Hauts-de-France ; Dominique Labbé, politiste, enseignant émérite à l’Université de Grenoble-Alpes ; Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS ; Mathias Delori, politiste, chercheur au CNRS ; Jacques Tassin, écologue, chercheur au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad) ; Sylvie Gourlet-Fleury, écologue, chercheuse au Cirad ; Emmanuelle Sultan, docteur en océanographie physique, ingénieure de recherche au Muséum national d’histoire naturelle ; Christophe Leroy, biologiste, docteur en biologie moléculaire et cellulaire ; Bernard Dugué, docteur en pharmacologie, docteur en philosophie.
Mais le pire est que la censure est désormais réclamée haut et fort, par un incertain phasme « antifa » nommé Geoffroy de Lagânerie (pardon : Lagasnerie). L’énergumène ose blatérer : » Les gens de ma génération, ça fait 40 ans que nous vivons sous la droite et on en peut plus. Il y a un sentiment d’étouffement politique« . Heu… QUI il y a 40 ans était au pouvoir ? La gauche mitterrandesque ! Puis nous avons subi cinq années de « gauche plurielle sous Jospin, puis nous avons eu cinq ans de Hollande avec ses Taubira et Belkacem. Au total, 14+5+5= 24 ans de socialisme avéré. Sans perler du règne de fausse-droite. Il faudra que Lagânerie apprenne à compter, le drôle ! Si des gens étouffent sous le rouleau compresseur de la politischer korrektheit, ce sont plutôt les gens censés, et non les fous de gauche qui détiennent tous les médias. Mais attendez, ce « Prix Nobel » n’hésite pas à bramer :
« Je suis contre le débat. Il faut rétablir la censure pour que les idées justes prennent le pouvoir sur les idées injustes.” On ne voit pas en quoi les délires pervers de la gauche seraient « justes », ils sont simplement ethnocidaires. Et QUI décide de la « justice » ou de « l’injustice » d’une idée ? Lagânerie ? Pauvre crétin !
Le fait est que cet abruti de phasme ne fait que réclamer ce qui EST déjà pratiqué par les médias appartenant aux milliardaires, par le CSA, par le parquet (pas de majuscule) et la XVIIe chambre à coucher avec les islamistes : la censure bien-pensante, « progressiste », européâstre, mondialistes. Lagânerie ne fait que la déclarer ouvertement sur une chaîne pourrie du « service public » gavée d’argent extorqué aux citoyens. Tout comme sur la même chaîne une fanatique « madame médias », Devillers, somme carrément le président du CSA de censurer les malpensants, sous prétexte de « pluralisme ». Pour des fripouilles de cet acabit, le « pluralisme », c’est l’entre-soi pratiqué par tous les pervers gauchistes.
On ne peut qu’acquiescer à ce commentaire posté sur lesObservateurs.ch par un lecteur : « « Le fascisme retrouve tranquillement ses sources, bien à gauche! »
Un certain Grégory Roose sur twitter »
Moi j’étouffe, mais de rage et de haine à l’encontre de toutes ces ordures.N’espérant plus le réveil d’un peuple parfaitement abruti, je ne vois plus que l’activisme violent pour secouer le cocotier. À la baïonnette !
Sacha
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !