Mettre de grosses tartes !

demeure-smallOuais… Un fellouze a massacré un prof, et voilà le chœur hypocrite des pleureuses bramant à tue-tête, jusqu’à Méchancon qui pourtant n’arrête pas de cirer les babouches au CCIF. Pleurnicheries, nounours à gogo et envolées pas très lyriques mais très vaines de Macronor Terminator. Du déjà-vu, et ça n’a rien changé.

Pas que je n’aie aucune empathie, cela au contraire me fout en renaud de voir tomber un innocent. Mais ma raison demeure froide. Il faut appliquer le bûcher aux traîtres ayant appelé le fléau sur le pays. De ces vermines-là Robert Ménard a fait l’inventaire, le 19 octobre dans son discours de Béziers :

« J’accuse ceux qui, au nom de la tolérance, cèdent et lâchent sur tout. Le voile islamiste, les activités non mixtes, les repas de substitution, les mosquées radicales.

J’accuse ceux qui, prétextant le risque de diviser les Français, commode alibi pour tous les renoncements, refusent de prendre les mesures qui s’imposent.

J’accuse ces élites qui se compromettent avec le séparatisme. Ce séparatisme qui infecte les rues de nos villes, les terrasses de nos cafés, les commerces communautaires.

J’accuse ceux qui disent « Je suis Charlie mais… », mais quoi ?

J’accuse ceux qui, sur les plateaux de télévision et dans les partis politiques, refusent tout débat et toute discussion sur l’islam, sur l’immigration sur le mode de vie et sur l’identité au nom du « pas d’amalgame ».

J’accuse ceux des musulmans de France qui excusent les terroristes et qui refusent de condamner leur barbarie.

J’accuse ceux qui hurlent au racisme systémique et à l’islamophobie chaque fois que l’on fait mine de résister aux fatwas des fous de Dieu.

J’accuse ces élus collabos qui consentent à sacrifier la France, prêts à toutes les compromissions pour gagner quelques voix lors d’une élection.

J’accuse les lâches qui ferment les yeux devant l’évidence, qui refusent de dire la réalité et d’utiliser les bons mots… les vrais mots.

J’accuse tous ces politiciens, tous ces éditorialistes qui depuis plus de 40 ans se mentent et nous mentent.

J’accuse tous ceux qui choisissent la lâcheté et la soumission au détriment du courage et de la résistance.

J’accuse ceux qui laissent la France devenir un enfer, une terre de décapitation. »

Mis à part l’accent un peu trop zolâstre du discours -l’affaire Dreyfus, tout de même, c’est terminé depuis lulure- à peu-près tout y est signalé. Une caste pourrie a fait une politique pourrie, on laisse le fellouze camper dans la cité et il massacre. L’intoxication d’une société par les « drwâââ de l’ohm », et voilà le travail.

Moi, je suis d’accord avec Papacito : « Un mec qui casse les couilles, on lui tire dans la citrouille » et « dès que la France se redonnera le droit de mettre des tartes, l’ambiance changera. » Et pas la baffe-électrochoc que flanque un parent conscient de ses devoirs à son môme gavé de propagande métrosexuelle qui ne « se sent pas bien » dans le sexe que lui a donné la nature, non ! La grosse plaisanterie au 88mm de chez Krupp, tir tendu ou plongeant selon la situation tactique. Avec ça, on fait de la rillette de gauchiste à 52% de salafiste et 48% de phasme citadin à trottinette. On casse tout comme des Attila gogols et après on reconstruit une France purifiée de ses miasmes.

 Avez-vous pris la potion d’urgence, lu Expédition Punitive de Papacito (meilleure vente du mois, éditions Ring) ? Papacito dit faire dans la satire, et c’en est une ; mais cela va plus loin, on y retrouve comme dans ses Carnets de Guerre une galerie de portraits qui correspond en notre temps aux Caractères de La Bruyère. Par exemple : « une nouvelle sorte de têtard humain dont l’épicentre métaphysique semblait faire reposer l’être tout entier sur le rapport que ce dernier entretient avec son anus. » Ou encore : « bien que fines et souples, leurs jambes ne peuvent pas atteindre une grande vitesse de course. Les hanches, élargies par les œstrogènes, empêchent la foulée d’atteindre une vitesse de pointe satisfaisante. Un peu comme une poule qui tenterait de « lever les genoux » dans un sprint, effort illusoire. »

Un gars (je crois que c’est Christian Combaz) remarquait que les romanciers gauchistes ne décrivent jamais le physique de leurs personnages, à l’inverse de Balzac qui nous a régalé de portraits sacrément bien brossés. Papacito sait dépeindre aussi bien le phasme candaule que la grosse brute virile qu’il faut lui préférer. Mais de surcroît il ne manque pas de nous indiquer d’excellentes recettes pour rééduquer les gauchistes et mater les racailles.

À lire d’urgence, c’est bien mieux qu’un vaccin breveté Microfsoft-Gates contre la grippe chinoise !

Raymond  

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