Il est temps de relire Knock ou le triomphe de la médecine de Jules Romain, ou de regarder le film de 1933 avec Louis Jouvet, Je ne regarderais pas, si j’étais vous, celui de 2017 avec Sy, je m’en fous complètement, car personne, et surtout pas Sy, ne peut rivaliser en froideur manipulatrice avec le grand Jouvet. Cette relecture de la pièce de Jules Romain peut très bien se faire en mettant les arnaques du carabin, auteur d’une thèse de trente-deux pages intitulée « Sur les prétendus états de santé » avec en épigraphe une citation prêtée à Claude Bernard : « Tout homme bien-portant est un malade qui s’ignore. », en perspective avec ce qu’il nous est donné d’observer en ces temps de peste Couronnée Vérole-19.
En 1923, Knock, après avoir enrôlé l’instituteur pour la propagande et le pharmacien pour la thériaque, s’écrie, enthousiaste : « En fait, l’Âge Médical peut commencer ! ». C’était, avec quatre-vingt-dix-sept ans d’avance, le rêve de Guillaume des Grilles (1) et du Groβ-Pharma (2), Knock est un charlatan et un faisan pour qui la Médecine est prétexte à amasser une fortune, il consulte gratuitement deux heures chaque lundi fin de hameçonner une clientèle à devenir captive. On ne consulte plus gratuitement, de nos jours, si l’on est un assuré honnête et non un envahisseur bénéficiant des largesses de l’AME, mais force est de constater qu’à côté du pouvoir judiciaire et du pouvoir didactique, s’est installé un troisième pouvoir modulaire, pas plus légitime que les précédents, le pouvoir thérapeutique. Le robin, le cuistre et le mire, trois Pieds-Nickelés prétendant gouverner le monde. Je ne discuterai pas de deux premiers, extrêmement malades d’idéologie, pour ne me consacrer qu’au troisième,
Il serait très injuste de mettre dans le sac d’opprobre les médecins véritables avec les Dr Knock et les Dr Mengele. Le médecin véritable est celui qui se dévoue à son patient dans un rapport de soin implicitement ou explicitement négocié, Le médecin véritable respecte le serment d’Hippocrate (3) en tous points. Primum non nocere : en premier, ne pas nuire. Il ausculte, il diagnostique, il soigne et prescrit librement en fonction de la maladie et du patient, lequel est une Personne et non un sujet. Il ne fera pas durer le traitement outre mesure, il ne cèdera pas à la tentation de prescrire des médications coûteuses ou douteuses en efficacité ou en effets secondaires plutôt que des remèdes éprouvés et peu coûteux. Il existe encore, Dieu merci, une foule de médecins véritables, voyez le Pr Raoult, et mon médecin traitant, qui n’est pas un perdreau de la rosée, est de ceux-là. Pour parler franchement, je me méfie plutôt de ces jeunes émoulus des facultés de médecine actuelles, qui me semblent incapables d’établir un diagnostic sans recourir aux spécialistes et à tout un arsenal de machines. Mais c’est peut-être un préjugé.
Je traiterai des Dr Knock après avoir examiné les Dr Mengele. On sait que joseph Mengele était le « médecin » SS, vivisecteur et « expérimentateur » des camps de la mort, cherchant peut-être par des travaux en génétique à améliorer la race germanique. Ne nous leurrons pas, Mengele a des successeurs, ce sont tous ceux qui prétendent « améliorer » l’espèce humaine, dans un délire de toute-puissance « transhumaniste ». Bien entendu, on pense à la société Neuralink, d’Elon Musk, qui expérimente des implants cérébraux sous prétexte de traiter des maladies neurologiques liées au cerveau ou à la mœlle épinière, mais dont le but ultime (ils ne s’en cachent pas!) est l’utilisation de ces implants par la population pour des usages douteux, comme de « sauvegarder » ses souvenirs, de recevoir « directement » des informations dans son esprit, voire créer une synergie homme-machine ou transposer sa conscience dans un corps synthétique. Ou encore on pense au brevet WO2020060606A1 de Microsoft (à examiner avec prudence).
Les Mengele ne soignent pas, ils transforment. N’appartiennent cependant pas à cette engeance les liposuceurs, nutritionnistes, tireurs de peau, dont l’activité lucrative consiste, aux frais de rombiasses refusant de vieillir, à « réparer des ans l’irréparable outrage », ni même les trouillologues des « cellules de soutien psychologique », pas même les gynécos « prédateurs d’utérus » (4), ceux-là sont simplement des Dr Knock. Je veux parler de ces apprentis-sorciers sans aucune éthique, souvent atteints d’amputomanie et pratiquant l’eugénisme. De tels énergumènes sont consultés par de personnes atteintes de « troubles dans le genre », dont le délire s’exprime par la conviction profonde de n’être pas « bien » dans leur sexe de nature et espérant guérir en changeant de sexe. Quoiqu’on en dise, surtout depuis 1973 (5), ces personnes souffrent d’une pathologie d’altération, que l’on appelait jadis « perversion ». S’il est des maladies qui méritent des soins psychiatriques, celle-là en est bien une, mais les Dr Mengele vont très exactement dans le sens du délire des patients, ils croient pouvoir soigner le délire par le délire. Par injection d’hormones et souvent par actes de chirurgie qui n’a rien de curative ni de réparatrice, on change le phénotype sexuel du client, sans pour autant modifier ses chromosomes XX, XY (évidemment). Il existe même aux États-Unis des cliniques spécialisées dans cette condamnable opération, auxquelles des charlatans rabatteurs procurent de la clientèle (voir ici). Tels sont les héritiers du sinistre John Money qui, détestant le mot « perversion », l’avait hypocritement remplacé par « paraphilie » (6).
Sans hésitation, l’on peut inclure dans cette coterie Mengele tous ceux qui opèrent sur la reproduction humaine à partir de techniques. Au départ, il s’agissait de remédier à la stérilité en effectuant des fécondations in vitro, mais science sans conscience étant ruine de l’âme, les dérapages allaient se succéder : choix eugénique des embryons, et surtout satisfaction de désirs rendus impossibles par la perversion (PMA pour les lesbiennes, GPA pour les fémelins ), sans compter les manipulations sur les embryons, le génie génétique incontrôlé et ainsi de suite. On ne soigne plus : on fabrique. Ce n’est plus de la médecine, c’est de l’ingénierie. Afin de produite ces « Dieux » destinés à dominer les « inutiles », ainsi que le clamait Laurent Alexandre (7) ? En tous cas, le projet ethnocidaire de toute cette clique est évident.
Venons-en enfin aux Dr Knock, ou plutôt Néo-Knock, car si le fond n’a pas changé depuis 1923 -ils sont toujours aussi avides et manipulateurs-, le phénotype n’est plus tout à fait le même. Le Knockus Vulgaris, vous pouvez le rencontrer malencontreusement au détour d’un centre médical quelconque, plutôt jeune , et vous le reconnaîtrez au premier coup d’œil, ou plutôt d’oreille, car il partage un certain sabir médico-ricain avec le genre Knockus Ferox. Par exemple, il emploiera « cluster » pour « foyer épidémique », parlera de scanner, abusera des sigles comme RMN (l’emploi de ces sigles idiots n’est pas pour autant spécifique à ce genre de Knock). Ils essaiera de vous en mettre plein la vue avec un pathos qui n’est plus le « cabricia arcis turam nominativo hæc musa deus sancus estne oratio latina ? » de Sganarelle, mais une version moderne de la « colonne de Turk » et du « faisceau de Clarck » servant à persuader la fermière qu’elle est malade suite à une chute (parfaitement suggérée) depuis une échelle de 3 mètres. Car c’est un principe : si vous consultez, c’est que vous êtes gravement malade. Car, scripsit Patrick de Funès (voir note 4), « En France, aux yeux de la loi, un médecin qui affirme à un patient qu’il n’a rien prend bien plus de risques que celui qui se met à l’abri en annonçant une maladie imaginaire. » En vertu de quoi, il n’hésitera pas à passer la rhubarbe à un spécialiste qui, en retour, lui passera le séné, exigera un tas d’analyse inutiles et vous prescrira un traitement plutôt long, avec consultations fréquentes, naturellement basé sur une pharmacopée de molécules plus ou moins douteuses, mais recommandée par des « visiteurs médicaux » qui ne sont autres que les commis-voyageurs du Groβ-Pharma. Pour des exemples, suivez Patrick de Funès,,, et votre propre expérience.
Knockus Ferox, lui, est franchement nuisible. Le spécimen archétypal a obtenu son doctorat -thèse de plus de 32 pages mais comparable à un mémoire de Master 2- il y a pas mal de temps, mais ne pratique plus depuis longtemps. Souvent, il a même obtenu une « spécialité », par exemple en neurologie, ou en anesthésie, ce qui ne l’empêche pas de discourir savamment sur tout sujet notamment, ces temps-ci, en épidémiologie ou en traitement des nouvelles maladies infectieuses, alors qu’il n’y connaît rien. Ayant pratiquement abandonné la médecine, il choisit alors la politique ou la télévision, parfois les deux -dame, il faut bien vivre- et peut s’introduire dans des Conseils ou Comités Théodule (par exemple Salomon) et, s’il est bien dans la ligne politique, devenir Ministre de la Santé. Et là, c’est grave et dangereux pour la population, car Conseiller ou Décideur, il collabore avec le Pouvoir et ses bureaucrates et leur fait prendre des décisions désastreuses, par exemple inscrire l’Hydroxychloroquine comme « substance vénéneuse », ou encore embastiller toute une population sous couvert de « guerre » contre un virus peu létal. Pour cela, Knockus Ferox n’hésite pas à s’appuyer sur des prévisions mathématiquement justes mais réellement archi-fausses, voir Fergusson. Et il n’hésitera pas à qualifier de « charlatan » tout médecin véritable, tel le Pr Raoult, en le traînant devant son malencontreux « Conseil de l’Ordre ». Car KF et tellement mesquin qu’il s’abaisse au niveau du sycophante.
Knockus Ferox est assez généralement stipendié du Groβ-Pharma, j’en ai apporté plusieurs fois la preuve dans ces colonnes (voir par exemple ici un tableau provisoire). On voit ce qu’il résulte de la promotion des thériaques des gros laboratoires : des millions d’euros de doses d’un faux médicament, le Remdesivir, à 390 euros le flacon, reconnu inefficace et présentant des effets secondaires néfastes. Or en servant les intérêts des potards milliardaires, l’animal KF se conduit exactement comme les Dr Mengele, en méprisant l’humanité dans l’Homme. En effet, la méthode d’évaluation de l’efficacité et de l’absence de nocivité d’un médicament fait appel à une procédure d’essai en aveugle, où la molécule est administré à un groupe tandis qu’un placebo est injecté à un groupe-témoin, qui n’est pas traité et donc exposé au risque maximum. Belle éthique, en effet ! Alors qu’en même temps on interdit un médicament efficace et peu coûteux.
Le même abus criminel se met en route avec l’histoire du vaccin. Knockus Ferox soutient la commande de millions de doses d’un machin fabriqué à la hâte, selon une technique encore jamais expérimentée chez l’Homme, et dont ne peut garantir ni l’efficacité ni l’innocuité. Tout cela met la population en danger virtuel, tout en faisant réaliser des profits inouïs au Groβ-Pharma. Écrivant cela, je ne puis m’empêcher de penser à la Maladie chez les Shadocks : le Professeur Shadoko a inventé un « vaccin » aux effets déplorables. « Mais les Shadocks inoculés se gonflaient, se gonflaient, et à la fin éclataient », « les Shadocks évidemment essayaient de se cacher, ou de se camoufler en n’importe quoi (…)pour échapper au terrible fléau ou au vaccin du professeur Shadoko. » N’en disons pas davantage, le lecteur sait à quoi s’en tenir, y compris concernant les manigances de Guillaume des Grilles, le Vaccinator fou.
« L’Âge Médical peut commencer ! » En fait, il bat son plein, les nuisances des Knockus Ferox se répandant comme le virus qu’ils prétendent combattre. C’est une tyrannie médicastre, et l’homme avisé ferait bien de se demander si elle n’en prépare une autre, encore plus nuisible pour toute l’Humanité. « Tout homme bien-portant refusant le vaccin est un complotiste qui s’ignore ! », pourrait dire Varan, pardon : Véran. Ah ! Le Dr Knock de 1923 n’était encore qu’un petit joueur, en regard des monstres d’aujourd’hui !
Hé, les gars ! Il serait peut-être temps de se réveiller, non ?
Sacha
(1) Bill Gates
(2) Big-Pharma, les laboratoires tels Gilead, Pfizer etc.
(3) “Au moment d’être admis à exercer la médecine, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité.
Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux.
Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité.
J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences.
Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences.
Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire.
Admis dans l’intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu(e) à l’intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les mœurs.
Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément.
Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. Je n’entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés.
J’apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu’à leurs familles dans l’adversité.
Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré et méprisé si j’y manque.”
(4) Cette plaisante expression est de Patrick de Funès, auteur de « Médecin Malgré moi » (éd. Le Cherche-Midi, 2008), A lire !
(5) En 1973, sous l’influence de certains groupes de pression mercantiles, l’American Association of Psychiatrists raya l’homosexualité du tableau des perversions, sans aucune raison clinique ni théorique.
(6) Ce triste sire évoluant lui-même entre bissexualité, hétérosexualité, homosexualité, sexualité plurielle, est coupable du décès de deux de ses cobayes humains, et il a fondé le concept de « genre » à partir de ses divagations criminelles.
(7) Millionnaire Transhumaniste et eugéniste. Seul point positif : plutôt climato-sceptique et détestant Gretâne Thunberg.
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !