Le bal des pourris

joe-corrupt-cheater-smallLe coup d’état ourdi par la tourbe « démocrate » américaine a donc réussi. Malgré les preuves patentes de corruption du processus électoral, la Cour Suprême, le Sénat, au lieu de faire preuve de courage, ont préféré plonger dans l’égout. Joe-le-pourri va donc détricoter tout ce que Donald Trump avait fait de positif pour son pays. Joe-le-tricheur finira pas abandonner le pouvoir à cette méchante Mélanchon femelle de Kamala Harris. Toute la bande des clients d’Epstein revient au pigeonnier. C’est cela, ce « progressisme » né de la propagande communiste sur les campus américains au moment de la guerre du Vietnam, lorsque les petits bourges ont été appelés à partager le sort des prolos envoyés mourir au loin. Ce « progressisme » destructeur de la civilisation, cette idéologie mortifère nourrie des insanités perverses des déconstructivistes français : Sartre, Deleuze, Foucault … voilà qui fait gronder le mérite et rougir la vertu.

Nous devons de nouveau considérer les États-Unis comme une puissance ennemie, et redouter l’éclosion de guerres imbéciles un peu partout dans le monde, à cause de l’impéritie et de la lâcheté des « démocrates ». Année par année, l’Occident s’enfonce dans la décadence et finira par disparaître, et ce n’est pas leur grande réinitialisation (great reset) qui empêchera l’issue fatale. Seuls les peuples dissidents osant faire sécession pourront survivre. Ah ! Qu’il est ridicule, l’histrion élyséen, d’avoir hurlé au « coup d’état » contre une simple manifestation alors qu’il sait bien que le vrai coup d’état est celui organisé par la cour des miracles « démocrates ». Il ne suffit pas de faire des démonstrations à l’intérieur des Capitoles, le salut est de prendre les armes et opposer la violence des peuples opprimés à celle des castes oppressives.

Chez nous, dans cet hexagone ravagé de « progressisme », le peuple, s’il a des yeux pour voir et des oreilles pour entendre, doit se rendre compte que les margoulins qu’il a stupidement laissé prendre le pouvoir depuis des décennies constituent une secte perverse de la plus belle eau. Le scandale « Olivier Duhamel » montre plusieurs aspects de la pourriture de ce pays. Le premier est l’extrême perversité de la gauche germanopratine champagne-caviar, les soixante-huitards ravagés et pédérastes devenus, au gré de l’inconséquence électorale et des copinages endogames, maîtresse du pays. Ces pédérastes-là sont partout, ils distillent leur idéologie « progressiste », donc totalitaire et perverse à travers les médias, les universités, les grands corps de l’État. Le second aspect est que le pays n’a pas d’élites. L’homme d’élite est doué de raison, de vertu et de courage, de bon-sens, de tout ce qu’il manque à ceux qui de nos jours se réclament de « l’élite ». Quoi ? Ces eunuques de l’esprit, emperruqués et poudrés nous gouvernent ? C’est un non-sens !

Oyez ! Le Duhamel sévissait à « science-pô », plutôt à « science Pol-Pot », prétendue pépinière des prétendues « élites » mais infiniment corrompue par toutes formes abjectes du « progressisme », pédérastie comprise. Voilà une institution publique tenue en main par des groupes de pression, coteries de banksters et de décadents, d’où sortiront les hauts bureaucrates de l’ENA et tous les grouillots des médias et des coteries d’influence. C’est insupportable ! Il faudrait bien qu’un jour l’on mette le feu à ce pandémonium. Tout comme il faudra, pour le bien du pays, réformer en esprit et en mœurs cette ENA qui ne fournit plus de serviteurs à l’État mais seulement une bureaucratie (en cubain dissident : « burrocrácia », gouvernement par les ânes) stalinienne et dévastatrice. Principes de Peter et de Dilbert !

En tous cas, dans cette affaire « Duhamel », toute la coterie « progressiste » savait mais ne pipait mot. Question : combien de ces chiens-là figurent-ils au répertoire des clients de feu Epstein, combien ont-ils voyagé par le Lolita-Express en compagnie ou non de Bill Gates ou de quelque « démocrate » américain ? Ils feront tout pour étouffer l’affaire, mais j’espère que d’autres révélations fuiteront au fil des mois. Car tout cela, ce pouvoir illicite et illégitime, mensonger et destructeur, est mille fois plus important et urgent de détruire que les minables épisodes de grippe chinoise que l’on agite comme des muletas pour terrifier le mougeon.

Cela suffit ! De ce chaos sciemment suscité par d’infâmes personnages avides de pouvoir peut sortir le pire. Les pervers, peu à peu, instaurent le Goulag. Cela a commencé par la prophylaxie sociale visant à éliminer les « mal-pensants » sous des prétextes dignes de l’invention des tortionnaires de la Tchéka ou du Gépéou. Si nous ne déclenchons pas contre ces infâmes tyranneaux une Saint Barthélémy populaire, notre avenir est décrit par Soljenitsyne dans L’Archipel du Goulag.

Sacha

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