« Crise de la masculinité » : pas si fou, les Chinois !

Je pense que nos lecteuno-tarlopers et surtout nos lectrices en ont marre de contempler de jeunes énergumènes épais comme des cure-dents, imberbes et épilés, se trémoussant comme des gonzesses. Ces êtres-là sont de purs produits de la désagrégation culturelle sous l’influence de tas d’idéologies pourries, parmi lesquelles bien entendu l’ultra-féminisme 2.0 à la mode De Haas-Cofin et autres pintades criardes. Ces rombiers-là, on les appelle « fémelins » selon Maurras, « tarlopes » selon Papacito. Balancez-leur une solide baffe, ils décollent de leurs pompes et sont propulsés à dix mètres de hauteur. Un pays qui n’a que ce genre de lavette métrosexuelle pour le défendre est nécessairement foutu.

De mon temps, un mec qui commençait à être travaillé par la testostérone était vachement fier de se raser la tronche -même si c’était encore du poil de lapin noir au lieu d’une barbe rêche- et à exhiber un thorax poilu, des pattes velues, à rouler des mécaniques. On forçait parfois un peu la note, sans trop se prendre au sérieux, et ça plaisait aux filles qui, à cette époque, n’étaient pas choquées qu’un gars viril lorgne leurs gentilles courbes et rêve de leur faire admirer l’envers des feuilles. Aujourd’hui, des connasses voudraient que les mecs leur ressemblent, ne soient plus des mecs, tandis qu’elles deviennent hommasses. Et puis quoi encore, dindes ?

Donc on fait de la contre-éducation, des idiots essaient de persuader les mecs qu’ils peuvent choisir d’être des gonzesses voire des pommeaux de douche non-genrés. La virilité ? Que tchi ! On aime les frêles damoiseaux moitié pédés moitié hermaphrodites qui ramènent leur absence de culture à tout bout de champ et se planquent sous le plumard dès qu’un castar leur fait « Bouh ! » La mode suit, les marchands d’emplâtres à la graisse de hérisson se font des couilles en or en fourguant des épilatoires, crèmes de beauté et autres conneries de tarlouzes : surtout plus de poils au cul !

Des qui ont bien pigé le topo, ce sont les Chinetoks. Vous allez me dire « ouais, c’est des communistes ! » D’accord, je n’aime pas du tout leurs manières de fliquer les gens, caméras et note de conformité et tout le bazar, sans compter qu’ils fourrent le blaire partout dans nos combines occidentales et nous fourguent des compères-loriots que nous pourrions bien fabriquer nous-mêmes. N’empêche ! Ils ont l’art et la manière de satonner les noix aux emmerdeurs Ouïghours allah-mords-moi-le-nœud.

Donc ils en ont ras la casquette Mao du manque de masculinité des morveux éduqués par des gerces enseignantes, et par une foutue culture populaire un peu trop pourrie par les conneries des Occidentaux. Du coup, leur ministère de l’éducation entend bien corriger cette tendance au tarlopisme qu’ils appellent « crise de la masculinité ». Du coup, on va renforcer les cours d’éducation physique à l’école et embaucher des instructeurs sportifs. Je ne sais pas si ça va suffire, mais c’est un bon début. L’esprit du yang, en somme, doit être restauré. Bien entendu, des métrosexuels couinent à la discrimination sexuelle et perpétuation des discriminations de genre, comme les chèvres des campus amerloques, preuve que même en Chine cette engeance existe, mais je suppose que les cocos leur colleront une marmule sur le groin pour qu’ils la ferment. Quant aux pédalifères occidentales, elles vont encore glapir, mais les Chinois s’en tamponnent le coquillard et ont raison.

Moi, j’applaudis. Je ne suis pas coco, mais on va me traiter de fâââcho. Ben d’accord, si être fasciste c’est dire merde à toutes les conneries du progressisme, alors oui, je veux bien être facho. Je sais bien que c’est devenu impossible, puisque nos sociétés occidentales sont faisandées, de retrouver cet équilibre que le bon Dieu ou la Nature, comme vous voudrez, a créé en faisant des femmes et des hommes complémentaires mais bien différenciés en forme et en pensarde. Il n’y a que des mutilés du bulbe pour vouloir le contraire. Il faut aux mectons une éducation virile, leur apprenant à crapahuter, à se fatiguer, à aller plus loin que leur fainéantise, à chier des grenades, pisser du napalm, à se durcir face au danger, à s’épauler, à botter le train aux invasifs. T’en fais pas : dans la société qui remplacera celle-là, trop pérave pour être sauvée, ça sera comme ça, parce que ça a toujours commencé comme ça.

Non mais ! Pas vrai, les filles ?

Raymond

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