La guerre, bordel !

Flag2« Wir sind im Krieg » clabaudait l’histrion élyséen. En effet, nous sommes en guerre, mais point contre un minable virus à la noix. En vérité, le ridicule « conseil de défense » tenu par les potentats ne vise pas à protéger le peuple contre une épidémie qui ferait rigoler ceux qui ont connu les pestes respectables, les choléras sérieux, les typhus admirables. Il est temps que les lapins apeurés habitant ce que l’on appelle encore « France » prennent conscience de la réalité : Macron et ses séides sont en guerre contre le peuple.

Qui dit « guerre » dit violence : les poulagas de l’insipide Darmanin vont recevoir 170 000 projectiles anti-émeute, et soyez sûrs qu’ils ne seront pas employés à combattre les débordements de la racaille. Les cibles sont des « dommages collatéraux encore entiers », les prochains Gilets Jaunes révoltés par les excès de la tyrannie. Qui dit « guerre » dit contrôles flicardiers, et Dieu sait si les cognes sont incités à verbaliser à outrance. Qui dit « guerre » dit couvre-feu, pas besoin de dessin. Qui dit « guerre » dit restrictions à l’autonomie des personnes, notamment au droit de circuler. Qui dit « guerre » dit obligations infâmes, et la menace du « passeport vaccinal » en sera une. Qui dit « guerre » dit propagande, ces ordures ne s’en privent pas.

Oui, le Ravi élyséen nous fait la guerre. Ses objectifs sont simples, ce sont les mêmes que ceux de ses maîtres les grands banksters planétaires rêvant d’un gouvernement mondial. Pour cela, il se montre le parfait caniche de l’UE et du IVe Reich. Il vend le pays à l’encan et asservit le peuple. Plus d’industrie, une agriculture mourante, mais en revanche pléthore de bureaucrates inutiles porteurs de stupide arrogance. Et entendez bien : tout se met en place pour bétonner sa réélection, comme il força son élection par la tromperie, la propagande et la manipulation judiciaire.

Dites et redites, clamez partout cette vérité : « Macron et sa clique nous font la guerre ! » Cela ne peut pas durer. Il est temps de désigner l’ennemi, cette hydre aux mille têtes. Banksters apatrides, progressistes, fonctionnaires au front bas, gauchistes, islamo-gauchistes, islamiques, « wokes », décolonialistes, pervers dégénérés : la langue se fatiguerait plus vite à énoncer que la réalité à fournir des monstres.

Ne perdons pas de temps à nous lamenter, l’heure est venue de rendre coup pour coup. Les manifs, les pétitions, les plaintes en justice, tout cela est vain. L’heure est venue de désobéir violemment. L’heure est à causer des dommages à l’ennemi. Passons à la clandestinité, pas celle des restaurants clandestins à l’usage des nantis, mais celle qui, au prix du sang et des larmes, fait payer à l’ennemi le prix du sang et des larmes. Nous sommes en guerre civile : menons-la puisqu’on nous l’impose. « Ami, si tu tombes, un ami sort de l’ombre à ta place ». Il n’y a pas de solution dans la duperie du vote, seule la poudre porte le feu sacré.

Aux armes, citoyens !

Raymond

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