Les chacals craignent pour leur peau

Emblèmes piétinéesDonc… Un groupe de soldats, principalement retraités, a adressé une lettre d’alerte aux gougnafiers censés gouverner notre malheureux pays. Sur quoi alertent-ils ? Simplement sur des faits connus de tout le monde, y compris des ordures gauchistes qui, elles, les nient parce qu’elles ont projet d’utiliser le chaos à leurs fins.

-Menace du néo-racisme, entité protéiforme sous les noms de « décolonialisme », « racialisme », « indigénisme », qui vise uniquement les Blancs sous les prétextes les plus fous, ridicules, ignobles.

- Islamisation galopante, terreau du terrorisme, aboutissant à l’installation de zones de charia où l’État n’a plus le droit de faire respecter la loi. Partition de facto.

- Agressions contre le peuple qui n’en peut plus de misère (Gilets Jaunes) avec des consignes de férocité données aux brigades policières et avec l’utilisation de supplétifs hitléro-staliniens (blackblocks et autres « antifas »).

« Les périls montent, la violence s’accroît de jour en jour ». « Aussi, ceux qui dirigent notre pays doivent impérativement trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers. » Le mot « courage », employé ici à bon escient, désigne une force d’esprit dont nos traîtres gouvernementaux sont totalement dépourvus. Messieurs les Officiers, en parlant aux gouvernants de ce pays, vous vous adressez à des lavettes. Vous les prévenez, pourtant : « si rien n’est entrepris, le laxisme continuera à se répandre inexorablement dans la société, provoquant au final une explosion et l’intervention de nos camarades d’active dans une mission périlleuse de protection de nos valeurs civilisationnelles et de sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national. »

Avec tout le respect que je vous dois, Messieurs les Officiers, votre diagnostic est parfaitement exact, mais vous négligez un point crucial : ce boxon que vous dénoncez est voulu par les forces de désagrégation des nations. Les salauds de pleutres qui gouvernent ne sont que les exécutants d’un plan ourdi par les milliardaires mondialistes de la finance apatride. Vous ne serez donc pas entendus par les gouvernants. Mais le Peuple vous entendra.

Naturellement, « Les Chacals Craignent pour leur Peau », chanson que chantent nos paras, sert magnifiquement de commentaire à une vidéo retransmettant intégralement la réaction stupide, ridicule et menteuse de la femme Parly, soi-disant ministre des Armées. Une femme ministre des Armées !  Cette ânerie a commencé avec Chirac : parité et bureaucratie rue Saint-Dominique. Ça hurle au putsch, au pronunciamiento, ça couine parce que l’adresse est parue le 21 avril, anniversaire d’une révolte très légitime -bien entendu, « on » ressort le « quarteron de généraux en retraite ». Côté marxo-pervers, ça braille comme des diables dans un bénitier, écoutez les éructations d’un Mélanchon et de ses démons ! La vérité est que toute cette racaille connait très bien le mal qu’elle fait, et craint pour sa peau de chacal que le Peuple, en sa colère, pourrait lui arracher.

Je ne vois dans votre adresse aucun appel à l’insurrection. Vous restez « factual » comme on dit chez les gens parlant globish. Mais c’est trop pour les ennemis de la Patrie : « qui se sent morveux, qu’ils se mouche », or ils se sentent morveux, merdeux même. Attendez-vous à une chasse aux sorcières, à un fichage des officiers à la petit-père Combes (des peuples ?). Cette rognure de Méchancon voudrait même vous traîner devant les chats-fourrés. Au passage, déplorons l’insigne maladresse de la patronne du RN qui clame tout haut sa volonté de récupérer votre engagement. Elle aurait mieux fait de la fermer !

Vous n’appelez donc pas à la guerre civile. Nous autres, savons que, pourtant, elle devient inévitable, et pensons que nous ne devons pas attendre que l’ennemi la déclenche :  nous estimons que tirer la première salve nous donnerait un avantage stratégique dans une guerre probablement asymétrique et chaotique où les alliances se feront et se déferont au gré des intérêts situationnels des factions.

Vive la France et mort aux cons !

Raymond

Dernière heure : Sud-Radio, chez Bercoff, Philippe de Villiers parle.

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