La France est devenue un panier de crabes faisandés. Bon gu ! Que ça daube ! Entre toutes ces tarlopes « intersectionnalistes », on se demande s’il reste encore quelques rombiers qui ont quelque chose dans le caberlot. Faut croire qu’il y en a encore quelques-uns, si l’on considère le niveau d’abstention aux élections. Les coteries politicardes sont tellement vérolées et rances que presque 68% des zélecteurs leur ont dit « va te faire voir chez les Grecs ».
Tiens, je lis chez Boulevard Voltaire que les petits métrosexuels gauchistes de « Sccccience-Pot » ont invité une décervelée ricaine, une incertaine Mathilde Cohen, professaillonne dans une foutue université du Connecticut, pour baver des âneries à propos de « la domination blanche à travers la gastronomie française ». Purée, il fallait oser ! Eh, la bourrique, tu sais ce qu’elle te dit, la gastronomie française ? Elle te dit merde, perruche ! L’auteur de l’article signale : «N’avait-elle pas déclaré, lors d’une précédente crise de démence antiraciste, que « la blancheur de la nourriture française » maintenait la « domination blanche » ? » Remarquez que l’annonce faite aux marris ne manquait pas non plus de style décadent : «Une République blanche ? Blanc.he.s et blanchité en France ». L’écrÉTINure est la marque des cerveaux au fromage… blanc ! Science Pol-Pot est devenue un asile d’aliénés. Et dire que cette volière de faisans est censée former des zélites politiks ! Pour ces gogols, le sommet de la culture c’est une Traoré payée par Louboutin ou un rappeur baveux dégueulant des saloperies sur la France. Il est vrai que l’exemple vient de haut -enfin du haut du très bas. Machinchose a préféré détruire l’ENA plutôt que de la réformer. En revanche, il faudra carrément effacer Science Pol-Pot, c’est irréformable.
Des zélites comme ça, ils peuvent se les carrer dans l’oigne (c’est souvent ce qu’ils font, mais pas comme je l’entends). Parce qu’il n’y a rien de mieux pour foutre un pays dans la panade. Remarquez, la France y est déjà jusqu’aux yeux.
L’Urope aussi. Voilà que le concert des connards bien-pensants s’élève et nous casse les esgourdes parce que la Hongrie vote une loi interdisant aux pervers LG-hébétés d’aller faire leur propagande dégueulasse dans les écoles. Un abruti batave déclare : « Pour moi (avec cette loi) ils n’ont plus rien à faire dans l’UE, mais je ne suis pas seul à décider. Il y a 26 autres pays ». Pauvre cloche ! Je hais l’Urope, et de telles conneries me donne mille fois raison. L’école, c’était à l’origine pour instruire : lire et écrire, compter, connaître les sciences, l’histoire et la géographie. Du temps du vieux Jules Ferry, on la voulait neutre (ce qui n’était pas tout à fait vrai, puisqu’elle était républicaine) : on voulait qu’aucun père de famille ne fût choqué par ce qu’il s’y enseignait. Ben mon colon ! L’école d’aujourd’hui, où les pervers sont autorisés à embrigader les gamins dans leur saleté, est bien loin de cet idéal. Vous trouverez des zassoc’s de pervers débitant leur venin, jusqu’aux désaxés « trans », sans compter les oligophrènes de la « théorie du genre ». Le savoir ? Balancé aux oubliettes, il ne reste que la perversion morale. Pas étonnant que le niveau scolaire soit dans les catacombes.
Les Hongrois ont raison ! L’ami Z a bien analysé le spintz sur CNews. Il souligne que les organisations perverses non seulement ont l’oreille des bâtards de la politique, mais encore disposent d’un flouss kolossal pour déverser leur propagande malpropre. On pense à la main occulte de Soros, mais il y a bien d’autres salopards pour leur refiler de l’artiche. Car ces campagnes merdiques ont un but : foutre en l’air quinze siècles de civilisation européenne pour instaurer le règne de Satan. Le satanisme, ce n’est pas le RN qui n’est plus qu’un parti du système, mais bien le bordel de l’indistinction généralisée, l’absence complète de morale. La vérole s’insinue partout, y compris dans le sport, voir les abrutis à genoux et les couleurs perverses affichées sur les stades et dans les villes.
Z a bien fait le distinguo entre les zhommos, qui vivent peinardement sans emmerder les autres, et les zassocs tapageuses, impudiques et ridicules des « gays » dont la « pride » n’est pas la fierté, mais la meute des fous lâchés dans les rues. On ne peut pas être homophobe, selon moi, car ce serait aussi con que de détester un type en train de crever du crabe : on ne déteste pas les malades. Mais on peut légitimement réprouver les crétins qui font du tapage pour réclamer des « droits » particuliers en dehors du droit commun. Idem, on n’est pas « râââciste » si l’on considère que tous les hommes ont les mêmes rationalités mais que l’on considère inacceptables les méchantes pitreries des Traoré. De même que l’on n’est pas « misogyne » si on aime les femmes mais qu’on déteste les harpies féministes.
Alors ? Je dis qu’il est temps de choper tous ces gugusses par le colback et de leur administrer une bonne râclée pour leur apprendre le respect, faute de les guérir de leur connerie.
Raoul
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !