Il y avait du monde où j’étais hier en « manif’ », et partout en France contre l’oukase totalitaire du tyran fou. Pléonasme : car il faut être fou pour être tyran. Le Sylla transformé en pot de fleur à Tahiti est fou. L’ennui est qu’il suit obstinément un plan ourdi par d’autres fous mondialistes richissimes. Et que ce plan est relayé par une entité insane : l’UE. Car sachez-le ! Le « passeport sanitaire » était dans les projets de la commission européâstre depuis 2019, donc avant que ne se répandent les virus mutatis mutandis.
Cela fait l’affaire des scélérats de l’industrie pharmaceutique. Non seulement ils gagnent des milliards à fourguer une soupe à l’ARNm dont les effets secondaires s’avèrent désastreux et souvent mortels, mais encore ils réalisent la plus grande expérimentation in vivo sur la population humaine de toute la planète. Pire : les cobayes paient le poison avec les deniers que leur extorquent de force les États complices. Un Martien jugerait les Terriens suicidaires d’accepter d’être massacrés sans pendre les massacreurs.
Une fois qu’on a dépassé les bornes, il n’y a plus de limites, selon Alphonse Allais. Dans notre foule manifestante, je suis persuadé que 99% des protestataires ne songeaient qu’à leur autonomie (« liberté ») et à la démocratie consumériste. Eh bien ! La « démocratie » ne connaît que l’aboutissement prévisible de son mauvais génie. Par trop requiere trop grande liberté, si chêt-on en plus gran servaige. Eût-on mis la Démocratie à sa place, en la Commune, le Fédéralisme à sa place, en la Province, la Royauté à sa place, en la Patrie, les bornes politiques eussent été posées solidement.
Hélas, l’on suivit le féroce centralisme des Jacobins coupeurs de têtes. La verticalité, rien que la verticalité d’un pouvoir confisqué au Peuple, servie par une nuée de fonctionnaires furieusement imbus de leurs prérogatives ; le moindre sous-chef de bureau est un petit Sylla. Alors, vous pensez ! Un préfet, un chef d’Agence Régionale de Santé, un concierge… Ah ! Pardon ? Il n’y a plus de concierges ? C’est bien heureux ! Bref : n’importe lequel de ces ratés est un tyraillon en puissance, fort propre à vous empoisonner l’existence. Ne vous étonnez-donc pas qu’il survienne des agents de Police Sanitaire pour vérifier que vous avez déféré aux obligations édictées par Vaccinator Ier, tyran de France. Où est la Démocratie héritée de la Grèce, dans ce pandémonium ?
Je m’égare ; les bornes sont dépassées parce qu’aucune institution n’est là pour s’opposer au tyran. Voyez : ce que l’on appelle à grand tort « représentation nationale », le piètre Parlement, ce que l’on croit être les garde-fous, le Conseil d’État et le Conseil Constitutionnel, loges corrompues, se couchent devant le tyran. Ceterum, tempora illa adeo infecta et adulatione sordida fuerunt… Ô Tacite !
Oui, les bornes politiques sont dépassées, cependant en cela le crime est moindre que cet autre qui est d’avoir dépassé les bornes de l’éthique et de la morale. J’ai appris avec horreur que ce gouvernement d’assassins étendait l’obligation injective aux femmes enceintes et au jeunes enfants, alors que remontent des constatations effrayantes sur la nocivité des pseudo-vaccins à ARNm dans la population jeune ! Il existe des faits patents, des manifestations de nuisance à court terme, nous les avons déjà détaillés ici. Puisqu’un président imbécile a cru bon naguère de fourrer dans la Constitution le principe de « précaution », que n’en fait-on usage maintenant ? Pourquoi cette « pharmacovigilance » très théorique reste-t-elle muette sur les nouvelles qui lui viennent du terrain médical ? Les enregistre-t-elle seulement ? J’accuse le tyran et ses séides d’ethnocide volontairement perpétré contre notre Peuple. C’est un crime punissable de mort.
N’aurions-nous rien de plus que la piétaille des manifestants pour retenir le bras criminel de Vaccinator ? Les « manifs » se suivent et se ressemblent : un cortège bigarré de crieurs de slogans, de porteurs de pancartes, encadrés par des robocops en armure de guerriers Chinois rêvant de gazer le troupeau qu’ils encadrent s’il s’avisait de vouloir prendre l’Élysée ou Matignon ! Au milieu de la foule, je songeais : si la charge de ces miliciens du pouvoir venait un jour à se briser sur une salve de fusils ? L’image me revenait de l’année 1976 : « Les vignerons avaient amené leur fusil. Nous avions tous fait l’Algérie. Alors des CRS… On en avait vu d’autres», «Les CRS se sont fait tirer dessus dès qu’ils sont descendus des camions« . Les adversaires se sont canardés pendant trente minutes : deux morts.
Point de cela aujourd’hui, quelques casseurs patentés délégués par le tyran pour que l’électeur bourgeois croie avoir affaire à des vandales alors que ne défilent que des malheureux craignant pour leur peau. Nous sommes loin, très loin, des Trois Glorieuses de 1830 ! Le tyran ricane dans son Élysée : sa démocratie à lui, c’est « ferme ta gueule sur l’essentiel et cause toujours sur le reste ! ». Il ne cèdera pas.
Bien sûr, si un boycott sévère des lieux accessibles seulement par Ausweis sanitaire contraignait les professions à faire pression sur le tyran craignant pour sa réélection, si une grève paralysait le pays, il y aurait une mince chance de faire plier Sylla. Je n’y crois guère : trop de gens s’imaginent avoir quelque chose de matériel à perdre. C’est pourquoi, écœuré mais non découragé, j’ai quitté la manifestation pour n’y plus revenir. Il faut envisager une autre Résistance, consentir à sortir « de la paille les fusils, la mitraille, les grenades ». Je ne vois plus d’autre solution que de consentir au sacrifice pour sauver de l’attentat mondialiste ceux qui sont et ceux qui viendront.
« Nous partîmes cinq cents; mais par un prompt renfort
Nous nous vîmes trois mille en arrivant au port,
Tant, à nous voir marcher avec un tel visage,
Les plus épouvantés reprenaient leur courage ! »
Sacha
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !