Il nous fait la guerre : répondons par la loi du Talion.

Flag2« Nous sommes en guerre ! Nous sommes en guerre ! » clabaudait l’adolescent élyséen au début de la grosse arnaque covidique. Nous, nous avions compris dès le début : « Je suis en guerre ! Je suis en guerre ! Contre vous, sales Français ! » La suite nous a donné raison. Nous vivons un tournant très dangereux, puisqu’avec sa saleté d’Ausweiss le délirant vient d’inaugurer une nouvelle phase de sa guerre contre le Peuple.

Mi-août : encore des manifestations monstres aujourd’hui, des centaines de milliers par toute la France. C’est bien de dire que l’on n’est pas d’accord, mais nous ne comprenons pas ce que vient faire un drapeau palestinien dans une manif française, ni cette inscription : « No pasarán ». Que nous sachions, ce ne sont pas des manifestations de communistes espagnols de 1936, et du reste : « Han pasado ! ». Bref, il y a des couacs gauchistes, sauf dans la manif de Philippot.

Au passage, le type qui jusqu’ici a fait de plaisantes affiches contre Sylla a cette fois dépassé les bornes en mélangeant le tyran élyséen et le Maréchal Pétain. Si graves qu’aient pu être les fautes de Pétain, adoubé par une chambre issue du Front Populaire désirant se débarrasser de sa responsabilité dans l’humiliante défaite de 40, il reste que le Maréchal fut un grand soldat dans la Grande Guerre. L’ado, lui, n’a gagné aucune bataille, mais il entend bien vaincre son peuple. On a la gloire que l’on peut !

De toute façon, l’exemple du long épisode des Gilets Jaunes l’a montré, ces butors d’euro-mondialistes du gouvernement entendent ne pas céder, et sont prêts à toutes les crapuleries pour réussir leur coup d’état. Ni mille manifs ni grève illimitée ni boycott ne feront changer d’avis le sale petit Sylla d’opérette : il est borné comme un schizophrène.

Donc il faudra consentir à des sacrifices énormes dans les mois qui viennent. Les jours seront mauvais. Ce sera probablement « les jours les plus sombres de notre histoire », car si nous laissons le fou mettre nos doigts dans l’engrenage, nous serons broyés. Il faut consentir à verser le sang, celui de l’ennemi et le nôtre. Il n’y aura plus d’alternative : « Nous sommes en guerre ! » Cela pourrait commencer par un nouveau Montredon et se poursuivre dans les maquis. « Quand faut y aller, faut y aller ! » L’Histoire nous regarde !

Pour La rédaction

Share
Cette entrée a été publiée dans A la Une. Vous pouvez la mettre en favoris avec ce permalien.

Les commentaires sont fermés.