Et Satan conduit le bal

chiffre-de-la-bete-250L’on raconte que les membres du Ku Klux Klan avaient une procédure de reconnaissance : « Ayak ? » demandait l’un ; « Akia » répondait l’autre (1). Les crétins d’OGM, fiers de leur Pfizer double ou triple dose, pourront tout aussi bien de reconnaître : « Étuv ? » dira l’un ; « Vasui » répondra l’autre (2). C’est devenu un rite de « nouvelle société », une autre franc-maçonnerie est née, non moins pernicieuse que l’autre, simplement plus vaste. Les brigands de la macronie ont parfaitement joué leur rôle, en faisant mine d’avoir perdu les pédales (pas toutes, il y en a tellement chez eux !) devant une épidémie monstrueusement organisée et pilotée, ils ont réussi à imposer sous couvert sanitaire une tyrannie hypocrite servie par une fracture durable, peut-être définitive, de ce qu’il restait de la société.

Il est aisé de constater combien les esprits faibles et pleutres sont imprégnés de la religion Pfizer, cette obsession naïve du tout-sanitaire.

- En devisant de choses et autres avec les nouveaux voisins de mon fils, qui vient de s’installer en pleine campagne, j’évoquais ses études en doctorat. Illico, ils marquèrent leur intérêt : « C’est une bonne chose, nous manquons tellement de médecins ! » Ils furent bien déçus d’apprendre que le doctorat en question était en physique, non point en médecine.

- À quelque temps de là, au même endroit, je discutais avec un livreur de matériaux, car nous rénovons la maison filiale, et lui expliquais que je signerai le bon de livraison pour mon fils, car il travaillait « au laboratoire ». Et, sans surprise, le brave homme me demanda : « Vous êtes vacciné ? » J’aurais pu à bon droit me fâcher de cette impertinence, mais je ris de ce coq-à-l’âne qui n’en était pas un, car dans l’esprit de mon interlocuteur, comme, je suppose dans celui de millions de téléspectateurs, un laboratoire est forcément d’analyses médicales.

Je pourrais ainsi raconter des centaines de rencontres du même type : la propagande et les mesures tyranniques ont instillé le virus dans l’esprit d’une majorité de gens, froussards et bien peu raisonnables. La contamination des pensées par les mensonges se manifeste de manière inacceptable lorsque des OGM Pfizer se conduisent de manière ouvertement discriminatoire.

- Récemment, mon fils était invité par un de ses anciens condisciples pour fêter l’anniversaire de la fille aînée de celui-ci. Le déjeuner se déroulerait chez les grands-parents maternels de l’enfant ; la maman demanda à mon fils s’il était vacciné. Personnellement, j’aurais été offensé d’une telle inquisition et j’aurai refusé l’invitation ; mon fils le fut probablement, mais il est plus diplomate que moi : il se soumettrait à un test PCR. Fort heureusement, le samedi veille de l’invitation, le laboratoire (cette fois d’analyses médicales !) était fermé. Incident clôt sans rupture des relations diplomatiques.

J’avais déjà fait état de comportements inacceptables des OGM Pfizer (voir « Fracture » du 16 août). De telles postures sont adoptées par des imbéciles outrecuidants se croyant supérieurement intelligents parce qu’ils font confiance à une coterie de faux scientifiques donnant du son aux ânes gouvernementaux.

Cette fracture, désormais consommée au sein de la société, une de plus, dira-t-on, sert merveilleusement les plans des mondialistes. Pour casser une société, il faut d’abord la diviser, en plus de mentir sur son histoire. C’est fait.

Maintenant, replaçons l’ignominie du « pass » sanitaire dans la perspective des élections pestilentielles. Le loup sort du bois, il demande au parlement-croupion de prolonger cette aberration médicalement inutile jusqu’à l’été prochain, au nom d’un ridicule principe de précaution. Il est raisonnable de faire l’hypothèse de l’obligation du « pass » pour entrer dans les bureaux de vote. Double avantage : cela empêchera les citoyens rebelles d’aller voter, et certains seront tentés par le vote par correspondance ou par le vote électronique (parions qu’il sera adopté) ; or les tricheries des démocrates américains ont montré que la fraude massive était favorisée par ces systèmes. Sous couleur de « démocratie » et de sécurité sanitaire, c’est en fait une tyrannie qui s’installe et entend bien se perpétuer.

Dans cette perspective, l’on conçoit que le tyran n’a pas intérêt à décréter la vaccination obligatoire, car outre que les effets secondaires nuisibles, voire mortels, de la soupe ARNm sont maintenant connus, et que les gouvernants pourraient avoir à rendre des comptes, si tout le monde était vacciné, le « pass » n’aurait plus de raison d’être et le tyran perdrait son moyen de pression sur les électeurs récalcitrants.

Récalcitrants qui adhèrent manifestement de plus en plus à ce que dit Éric Zemmour, que la France peut mourir et que l’enjeu de l’élection n’est pas de choisir entre épiciers labellisés à Bruxelles-Berlin et Washington, mais bien de retrouver souveraineté, identité, et d’en finir avec l’invasion migratoire. Il est intéressant de constater que Zemmour est le trublion gaulliste-bonapartiste qui renverse la table et force les épiciers à évoquer volens nolens les sujets tabous. De là le déferlement de haine à l’encontre de celui qui, pas encore candidat, nous parle de la France et de sa survie. Tous les coups les plus odieux, les plus stercoraires, sont alors permis contre Éric Zemmour, et je ne doute pas que les philistins inventeront un sale tour médiatique, politique et judiciaire, pour s’en débarrasser. Déjà, une tarlope gauchiste, me dit-on, voue les partisans de Zemmour à un nouveau « Bataclan ». Idiotie d’un crétin à poitrine de vélo et cerveau d’aplysie, ou appel déguisé au meurtre ? La « justice », en laquelle aucun homme sensé ne peut plus faire confiance, ne se penchera sans doute pas sur le cas de ce phasme.

Je ne crois pas à la guérison par le vote : tout est truqué de façon à ce que l’adolescent attardé de l’Élysée puisse parachever la destruction du pays souhaitée par ses commanditaires. J’aimerais partager l’optimisme de Papacito qui estime que l’arrivée d’Éric Zemmour au pouvoir serait le premier pas vers la restauration de la royauté. Moi, je suis comme le Juif pessimiste qui, sous Hitler, se retrouve à New-York, tandis que le Juif optimiste finit, le malheureux, à Auschwitz. Nous en sommes là.

À moins qu’enfin le peuple ne se décide à faire parler la poudre. Nous autres sommes prêts et nos fusils aussi.

Sacha

(1) Ayak : Are You A Klan’s man ? Akia : A Klan’s man I Am.

(2) Étuv : Es-tu vacciné ? Vasui : je suis vacciné.

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